background preloader

A-t-on vraiment marché sur la Lune ?

A-t-on vraiment marché sur la Lune ?
L'empreinte de pas de Buzz Aldrin sur la Lune (AFP) Le 21 juillet 1969, l'astronaute américain Neil Armstrong est le premier homme à poser le pied sur la Lune. Depuis ce jour, quantité de livres et de documentaires ont accusé le gouvernement américain d'avoir monté de toutes pièces la mission Apollo 11. "Un petit pas pour l'homme, un bond de géant pour l'Humanité". 21 juillet 1969 : l'astronaute américain Neil Armstrong prononce cette phrase devenue mythique en posant pour la première fois le pied sur la Lune, suivi par Buzz Aldrin. 18 juin 2009 : la Nasa lance deux sondes pour préparer le retour des Américains sur l'astre en 2020. Entre ces deux dates, quantité de livres et de documentaires ont remis en cause la mission spatiale Apollo 11. Des clichés contestés Point par point, Bill Kaysing remet en cause tous les aspects de la mission Apollo 11. Les images de la Nasa de la mission Apollo 11 Les acteurs du film "Capricorn One" de Peter Hyams (AFP) Un faux documentaire en 2002

Adaptation humaine à l'espace L'adaptation humaine à l'espace est l'ensemble des études et des techniques qui doivent permettre à l'humain de combattre les conséquences négatives de l'absence de pesanteur sur sa physiologie durant ses séjours dans l'espace. Il s'agit d'un axe de recherche important pour les projets de conquête et de colonisation de l'espace, qui imposeront des séjours et des voyages de longue durée dans le milieu spatial. Les recherches actuelles portent sur l'analyse des effets de l'impesanteur sur les cosmonautes ayant séjourné dans l'espace. Risques liés à l'exploration spatiale[modifier | modifier le code] La NASA, dans son document intitulé « Bioastronautics Roadmap: A Risk Reduction Strategy for Human Exploration of Space »[1],[2] définit 45 risques - répartis en 15 disciplines - associés à la santé, la sécurité et les performances d'un équipage durant une mission spatiale : L'environnement spatial[modifier | modifier le code] Les conséquences physiques[modifier | modifier le code]

WR 104 : Le danger vient de l'espace...une étoile de la mort ? - :: ScientoX - Web :: Plus de six années d’observation ont conduit l’astronome Peter Tuthill et ses collègues de l’Université de Sydney à une évidence, qui pourrait être synonyme d’extinction de la race humaine. Wolf-Rayet, plus communément nommé WR 104, représente un danger potentiel, son explosion pourrait avoir des conséquences dramatiques pour notre planète. Les principales observations ont eu lieu au Mauna Kee, sur l’île d’Hawaï, avec le téléscope KECK. A l’origine, les astronomes pensaient qu’il s’agissait d’une étoile simple, il n’en est rien. Pour vous donner une idée de la taille impressionante de ces deux étoiles. L’explosion de ces deux étoiles pourrait avoir des conséquences dramatiques. Toutes ces observations sont consignées dans l’Astrophysical Journal.

Pourquoi la conquête de l'espace profite à tous HISTOIRES DE SAVOIR - Jean-Luc Nothias rappelle que de nombreuses technologies de pointe sont dérivées d'innovations destinées dans un premier temps à l'aérospatiale. Photo prise depuis la navette Atlantis juste après la saisie du téléscope Hubble par le bras robotisé d'Atlantis. Crédit photos : NASA La conquête spatiale a déjà fait rêver de nombreuses générations d'hommes et de femmes. Ainsi, les avancées technologiques réalisées pour conquérir l'espace ont envahi notre quotidien. Et ce n'est pas fini. Il y a un mois et demi, la fusée Ariane mettait en orbite les ­télescopes européens Herschel et Planck. Une démarche devenue une référence mondiale Un autre grand domaine ayant bénéficié des retombées du spatial est celui des matériaux. Mais l'une des retombées les plus spectaculaires de la conquête de l'espace, et la moins connue, est celle de l'alimentation. Mais c'est ailleurs que l'influence des programmes spatiaux a joué. » Retrouvez toutes les chroniques de Jean-Luc Nothias

Les retombées de la conquête spatiale L'espace est un domaine rentable malgré ce que pensent certains et la majorité des acteurs du secteur soutiennent cette initiative. Selon les statistiques de l'Université de Sherbrooke du Canada, en 2002 les dépenses en recherche et développement (R&D), c'est-à-dire l'ensemble des dépenses courantes et de capital qu'elles soient publiques ou privées engagées dans la recherche fondamentale ou appliqué, représentaient 2.8% du PIB des Etats-Unis soit 308 milliards de dollars actualisés. C'est un chiffre élevé comparé à ceux des autres pays occidentaux. A titre de comparaison, ailleurs dans le monde les dépenses en R&D représentent environ 1% du PIB en Russie et en Chine, 2% du PIB en Belgique (6 milliards de dollars), en France (35 milliards de dollars) et au Royaume-Uni et atteignent 3% au Japon. Par nature, depuis plus d'un demi-siècle, le domaine spatial est un secteur d'avenir qui est également à la pointe de la technologie. Que coûte une charge utile ? Deuxième partie

Pourquoi aller dans l'Espace ? - Portraits d'astronautes et de cosmonautes L’occupation de l’Espace est utile pour le bénéfice et la survie de l’humanité. Elle apporte des solutions à des problèmes terrestres, rend des services plus efficaces et plus rapides que les moyens traditionnels, permet d’économiser de l’argent, rapporte des revenus par la vente des services rendus et sauve des millions de personnes. Dépenses : On ne peut pas affirmer qu’elles auraient permis de résoudre certains problèmes sur Terre. On peut donner aussi de l’argent pour les solutionner. Peut-être que certains d’entre-eux auraient été réglés si ceux qui s’en occupent, étaient plus rigoureux dans la gestion des fonds publics. APPLICATIONS : Les satellites, les vaisseaux et stations habités bénéficient du recul pour mieux observer toute la Terre et obtenir rapidement et de manière répétitive des photos globales qui révèlent des particularités. EMPLOI. MOTEUR DU PROGRES. RETOMBEES. SCIENCE. AVENTURE. PRESENCE HUMAINE. DESTIN. CULTURE. PHILOSOPHIE. POLITIQUE. MILITAIRE. SURVIE. Satellites.

Tout ce que nous devons à la conquête spatiale Dans quelques jours, la NASA, l’agence spatiale américaine, célébrera ses cinquante ans. Un demi-siècle qui nous aura valu, outre des images inoubliables de la Lune, de bénéficier après coup d’innombrables trouvailles scientifiques préparées pour les astronautes. Tour d’horizon de ces bénéfices scientifiques quotidiens avec le chercheur de l’UNIL Claude-Alain Roten. C’était il y a cinquante ans. Le 1er octobre 1958, la NASA débutait ses activités, quelques mois après la signature du National Aeronautics and Space Act. Avec ce texte, le président américain Eisenhower ordonnait la mise en place de l’agence spatiale états-unienne, et répondait au fameux «bip-bip» envoyé un an plus tôt par Spoutnik-1. Ce petit signal avait alors fait grand bruit sur la Terre, en démontrant que les Soviétiques venaient, les premiers, de mettre en orbite un satellite. Qu’y a-t-on appris en cinquante ans? Sans compter les nombreuses retombées de l’espace qui sont difficilement chiffrables. Elisabeth Gordon

Les messages envoyés dans l’espace…Attention danger ? Dangereux, les messages d'amitié vers l'espace…? En 2008, la NASA a diffusé dans l'espace la chanson des Beatles "Across the Universe", à l'intention d'éventuels extraterrestres. Une initiative alors saluée par Paul McCartney. Mais des experts s'inquiètent de la profusion de messages filant vers le cosmos. Est-il sage de signaler notre présence à d'éventuels voisins hostiles…? Beaucoup de messages sont "responsables, mais je m'interroge sur certains autres trucs qui sont transmis", a déclaré Albert Harrison, professeur de psychologie sociale à l'Université de Californie, lundi au cours de la conférence organisée par la Royal Society (Académie des sciences britannique). Il énumère "des photos de célébrités, de deux candidats politiques -l'un identifié comme bon, l'autre comme mauvais-, des publicités alimentaires, des lettres d'amour de rock stars". 40.000 ans de voyage… La chanson des Beatles n'arrivera qu'en 2439 à d'éventuels destinataires à proximité de l'étoile polaire.

La navette spatiale décolle pour la dernière fois Atlantis clôt vendredi un chapitre prestigieux mais controversé de la conquête spatiale. Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie. Cette fois, c'est bel et bien fini. Si les orages ne viennent pas gâcher la fête, Atlantis devrait clore vendredi l'un des chapitres les plus prestigieux et les plus controversés de l'histoire de la conquête spatiale. Pas moins d'un million de visiteurs sont attendus vendredi après-midi (17 h 26, heure française) autour du centre spatial Kennedy (Floride), pour assister, avec un sentiment mêlé de fierté et de nostalgie, au 135e et dernier lancement d'une navette depuis le vol inaugural de Columbia, le 12 avril 1981, il y a un peu plus de trente ans. Mercredi soir, le président Barack Obama a rendu hommage à la navette, qu'il a qualifiée «d'accomplissement extraordinaire», et assuré que «les États-Unis restent un leader dans l'exploration spatiale». La navette Atlantis sur le pas de tir du centre spatial Kennedy. 38 fois plus cher que prévu

Tourisme spatial Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Courbure de la terre vue de l'espace Concepts[modifier | modifier le code] Vol orbital et surborbital[modifier | modifier le code] De manière conventionnelle on considère qu'un séjour dans l'espace nécessite de dépasser l'altitude de 100 km (ligne de Karman). Les défis techniques du vol suborbital[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Premiers vols de touristes spatiaux à bord de la station spatiale internationale[modifier | modifier le code] Le projet de Virgin Galactic[modifier | modifier le code] La société Virgin Galactic de Richard Branson, créée en 2004 propose, quant à elle, d'emmener des touristes pour un vol suborbital à plus de 100 km d'altitude (altitude retenue de manière arbitraire comme étant la limite inférieure d'un vol spatial) à bord d'un avion spécialement conçu à cette fin. Autres sociétés ayant des projets de tourisme spatial[modifier | modifier le code] Dennis Tito : du 28 avril au 6 mai 2001.

Histoire du vol spatial Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire du vol spatial retrace au cours du temps l'exploration de l'univers et des objets célestes du Système solaire par l'envoi soit d'engins robotisés (satellites, sondes et robots), soit de vaisseaux pilotés par des équipages humains. L'idée d'envoyer un objet ou un homme dans l'espace est évoquée par des philosophes et des romanciers plusieurs centaines d'années avant que cela ne devienne matériellement possible. Au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, grâce au développement de moteurs-fusées adéquats, aux progrès de l'avionique et à l'amélioration des matériaux, l'envoi d'engins dans l'espace passe du rêve à la réalité. Les balbutiements[modifier | modifier le code] Les utopies[modifier | modifier le code] Soldat chinois allumant une fusée. Columbia, le vaisseau-obus de Jules Verne. Les premières fusées furent des armes, loin de la vision spatiale que nous en avons aujourd'hui. Robert Goddard posant devant sa fusée. Tir de V2.

six raisons pour lesquelles l’homme ne doit pas quitter le berceau terrien (Partie 1) La Terre est le berceau de l’humanité, mais on ne passe pas sa vie entière dans un berceau. … à moins que comme Hercule-enfant des serpents ne viennent nous chercher noise – il est vrai un poncif du cinéma hollywoodien de science-fiction, qu’il s’agisse d’extra-terrestres désireux d’étendre leur Lebensraum au détriment de nous autres humains (Independence Day, 1996 ; Transformers, 2007-2011 ; Skyline, 2010 ;Battle: Los Angeles, 2011 et récemment encore Battleships, 2012) ou d’astéroïdes pressés de bousculer une fois encore la Terre et ses habitants (Armageddon, 1998 ; Deep Impact, 1998 ou de manière plus originale Melancholia, 2011). Pourquoi, pourquoi ne pouvons-nous pas rester sur Terre ? Ce qui suit se veut bien entendu léger et amusant. Sans plus attendre… 1) (Dure) retour à la réalité L’espace n’a rien de romantique. 2) Une entreprise risquée 3) Un voyage solitaire Il faut cependant noter que le trio d’astronautes d’Apollo 18 (2011) n’a guère fait mieux.

Related: