Jean-Jacques Rousseau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Jacques Rousseau, né le à Genève et mort le (à 66 ans) à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. La vie de Jean-Jacques Rousseau est une vie d'indépendance et d'instabilité. Il quitte d'abord Genève à seize ans pour la Savoie, où il reçoit un complément d'éducation et une initiation à l'amour par Mme de Warens avant de gagner Paris en 1742, pensant faire carrière dans la musique. Rousseau entre dans l'histoire des idées avec ses brefs essais : Discours sur les sciences et les arts (1750) et Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), en opposant l'état de nature qui faisait le bonheur de l'humanité, à l'état social, source des insatisfactions générales. Biographie Famille et enfance Raymond Trousson, dans la biographie qu'il consacre à Jean-Jacques Rousseau, indique que la famille était originaire de Monthléry, près d'Étampes, au sud de Paris[1]. Débuts difficiles
Biographie de Montesquieu : auteur des Lettres Persanes, de "L'Esprit des Lois" "Si les triangles faisaient un Dieu, ils lui donneraient trois côtés" (Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu / 1689-1755 / Lettres Persanes / 1721) "Quand il n'y aurait pas de Dieu, nous devrions aimer toujours la justice, c'est-à-dire faire nos efforts pour ressembler à cet être dont nous avons une si belle idée, et qui, s'il existait, serait incessamment juste. Libres que nous serions du joug de la religion, nous ne devrions pas l'être de celui de l'équité." (Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu / 1689-1755 / Lettres Persanes / 1721) "Une religion qui peut tolérer les autres ne songe guère à sa propagation." "Lorsque les lois d'un état ont cru devoir souffrir plusieurs religions, il faut qu'elles les obligent à se tolérer entre elles." "La force principale de la religion vient de ce qu'on la croit; la force des lois humaines vient de ce qu'on les craint. "L'entêtement pour l'astrologie est une orgueilleuse extravagance.
Voltaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Compléments François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le à Paris, ville où il est mort le (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Son œuvre littéraire est variée : son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle mais elle comprend également des contes et romans, les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une importante correspondance, plus de 21 000 lettres retrouvées. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. Biographie Débuts (1694-1733) Études chez les Jésuites (1704-1711) Notes
Charles de Secondat baron de La Brède et de Montesquieu Écrivain français (château de La Brède, près de Bordeaux, 1689-Paris 1755). Nom Charles-Louis de Secondat de La Brède, dit Montesquieu. Naissance Le 18 janvier 1689 au château de La Brède, près de Bordeaux. Famille Vieille noblesse provinciale d’origine protestante. Formation Élève au collège oratorien de Juilly (diocèse de Meaux), puis études de droit. Début de sa carrière Membre de l’Académie des sciences de Bordeaux ; ses discours ont un grand succès. Premiers succès Les Lettres persanes, écrites entre 1717 et 1720, première œuvre de Montesquieu, paraissent anonymement en 1721. Publications majeures : L’Esprit des lois, en 1748. Mort Il meurt le 10 février 1755, à Paris. Tradition et modernité Né au milieu du Grand Siècle, disparu avant les années décisives de la bataille encyclopédiste, Montesquieu n'a pas vécu les grands combats des lumières. S'il inaugure un siècle cosmopolite, ce n'est cependant guère dans ses aspects futiles et superficiels. Montesquieu et la science politique Introduction
Œuvres de Denis Diderot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article contient la liste des œuvres de Denis Diderot triées par genre. La liste est suivie par une liste des éditions collectives de références et d'un tableau de synthèse. La catégorie correspondante regroupe les titres qui font déjà l'objet d'un article détaillé. Pour une étude détaillée de la bibliographie matérielle de Diderot, on consultera avec intérêt l'importante bibliographie rassemblée par David Adams[1]. Fictions[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Contes[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Dialogues[modifier | modifier le code] Essais[modifier | modifier le code] Critique et comptes rendus[modifier | modifier le code] Peinture[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Auteurs[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Articles de l'Encyclopédie[modifier | modifier le code]
Montesquieu. Bibliographie de ses œuvres/1872 bookMontesquieu. Bibliographie de ses œuvresLouis VianDurand et Pédone-Lauriel1872ParisTMontesquieu. Bibliographie de ses œuvresVian - Montesquieu. Bibliographie de ses œuvres, 1872.djvuVian - Montesquieu. Bibliographie de ses œuvres, 1872.djvu/51-32 Je ne connais pas d’écrivain dont la vie et les ouvrages aient été plus négligés que ceux de Montesquieu. La quantité surtout d’erreurs commises à l’occasion de ses livres est inouïe. Brunet, dans le Manuel du Libraire [2], prête à l’édition princeps de l’Esprit des Lois un titre en cinq mots, tandis qu’il en a quarante-neuf. Le commentateur de Montesquieu, dans la collection des classiques français de Lefèvre, qui se vante d’avoir collationné toutes les leçons de son auteur, dit que le premier texte des Considérations sur la grandeur des Romains approuve le suicide et que le dernier semble le blâmer (ce qui a été admis par tous ses successeurs), quoique la moindre vérification prouve absolument le contraire. Lettres Persanes. 1721. — 1721.
François-René de Chateaubriand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. François-René, vicomte de Chateaubriand[N 1], né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française. Il participera aussi au goût pour l'exotisme de l'époque en évoquant l'Amérique du Nord où il a voyagé dans Atala (1801) ou Les Natchez (1826) ou encore dans le récit de son voyage en Méditerranée dans Itinéraire de Paris à Jérusalem en 1811. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et mariage[modifier | modifier le code] En janvier 1789, il participe aux États de Bretagne. Son frère présente pour François-René une demande d'admission à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem auprès du prieur d'Aquitaine Louis Joseph des Escotais et justifie de ses quartiers de noblesse. L’exilé[modifier | modifier le code] Chateaubriand à l'armée de Condé.
Courte biographie de Montesquieu "Toupinoscope", les biographies de la Toupie Biographie de Montesquieu Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu est né en 1689 d'une famille de magistrats de bonne noblesse au château de la Brède près de Bordeaux, dont il porte d'abord le nom et auquel il sera toujours très attaché. Ses parents ont choisi un mendiant pour être son parrain pour que toute sa vie il se souvienne que les pauvres sont ses frères. Après ses études de droit, il devient conseiller auprès du parlement de Bordeaux en 1714. En 1716, il hérite de la fortune de son oncle, de la charge du président à mortier (bonnet de velours) du parlement et du nom de Montesquieu. Délaissant sa charge dès qu'il le peut, Montesquieu s'intéresse au monde et aux plaisirs. Très critique envers l'absolutisme et ses travers sociaux, Montesquieu qui croit à la nécessité des réformes souhaite pour la France une monarchie constitutionnelle à l'anglaise. Principales oeuvres : Accueil Biographies Haut de page Contact Licence CC
Cesare Beccaria Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Beccaria. Cesare Beccaria Cesare Beccaria Bonesana, marquis de Gualdrasco et Villareggio[1] (né le 15 mars 1738 à Milan où il est mort le 28 novembre 1794), est un juriste, philosophe, économiste et homme de lettres italien rattaché au courant des Lumières. Dans Des délits et des peines, il fonde le droit pénal moderne et se signale notamment en développant la toute première argumentation contre la peine de mort. Biographie[modifier | modifier le code] Cesare Beccaria, fils de Giovanni Saverio di Francesco et dr Maria Visconti di Saliceto, subit d'abord, selon ses propres dires, « huit années d'éducation fanatique et servile » de 1747 à 1755 dans un collège jésuite pour jeunes aristocrates à Parme. Désireux de réduire les sources du droit à la seule loi du souverain, il développe une théorie (sans doute excessive et d'ailleurs inapplicable) de l'herméneutique judiciaire, dite « théorie du syllogisme ».
Nicolas de Condorcet La bibliothèque libre. Nicolas de Condorcet Condorcet Condorcet.jpg Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de Condorcet, philosophe, mathématicien et politologue français 1743 1793 Œuvres, Didot, 1847, volume 7 Œuvres[modifier] Œuvres posthumes[modifier] Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain (1795) Voir aussi[modifier]
Hector Bianciotti Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hector Bianciotti Hector Bianciotti dans les années 1990. Biographie[modifier | modifier le code] Hector (en espagnol, Héctor) Bianciotti est élevé au sein d’une famille de fermiers d’origine piémontaise. En 1956 il participe au film División Azul - Embajadores del infierno, dont le livret a été écrit par Torcuato Luca de Tena[3], ainsi que dans le film 091 Policía al habla, (1960). Il ne s’installe à Paris qu’à partir de février 1961. Naturalisé français en 1981, il cesse l’année suivante d’écrire dans sa langue maternelle. Deux ans plus tard, son premier roman en français, Sans la miséricorde du Christ (1985), se voit décerner le prix Femina. En 1986, il quitte ses fonctions de critique littéraire du Nouvel Observateur pour les exercer au Monde. À partir du 1995, il fait partie du jury du prix de l'écrit intime[4]. Atteint de troubles de la mémoire, il cesse son activité littéraire. Prix et distinctions[modifier | modifier le code]
Alain de Benoist Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Benoist. Alain de Benoist Alain de Benoist le 2 avril 2012 à la Deltastichting d'Anvers. §Biographie[modifier | modifier le code] En 1961, il fait la connaissance d'Amaury de Chaunac-Lanzac, futur François d'Orcival, et adhère à la Fédération des étudiants nationalistes (FEN). Son livre Vu de droite obtient le « Grand Prix de l'Essai » en juin 1978 par l'Académie française. §Autre droite[modifier | modifier le code] Alain de Benoist ne se cache pas d'avoir été dans sa jeunesse militant d'extrême droite, il se défend[9] depuis longtemps — fustigeant du même coup la « suspicion » qu'entraîne selon lui le règne de la « pensée unique », expression dont il est probablement l'inventeur[10] — de tout penchant pour le racisme et le totalitarisme, malgré les accusations[11],[12] dont il est l'objet. §Œuvres (en langue française)[modifier | modifier le code] §Ouvrages rédigés en collaboration[modifier | modifier le code]
Angelo Rinaldi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rinaldi. Angelo Rinaldi à l'Académie française. Angelo Rinaldi, né le 17 juin 1940 à Bastia, est un romancier et critique littéraire français. §Biographie[modifier | modifier le code] Angelo Rinaldi a travaillé successivement à L'Express, au Point et au Nouvel Observateur avant de devenir directeur littéraire du Figaro et responsable du Figaro littéraire jusqu'à sa retraite, en 2005[4]. Il a reçu le Prix littéraire Prince-Pierre-de-Monaco pour l'ensemble de son œuvre et été élu au premier tour le 21 juin 2001 à l'Académie française (20e fauteuil), où il rejoint son voisin Hector Bianciotti. En avril 2007, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur. En mars 2011, il démissionne de la présidence de l'association Défense de la langue Française pour protester contre la remise d'un prix à Éric Zemmour[5], à la suite de la condamnation du journaliste polémique pour provocation à la discrimination raciale.
Érasme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Érasme, également appelé Érasme de Rotterdam (Desiderius Erasmus Roterodamus), né dans la nuit du 27 au 28 octobre[1], en 1467[2] (ou en 1466, ou en 1469) à Rotterdam, comté de Hollande, et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, est un chanoine régulier de saint Augustin, philosophe, écrivain latin, humaniste et théologien des Pays-Bas bourguignons, considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive. Onomastique[modifier | modifier le code] Les noms de famille, à l'époque, n'étaient pas forcément stabilisés. Il appelle lui-même son père (en latin) Gerardus, et son frère aîné Petrus Gerardus ; d'autre part, un bref du pape le désigne comme Erasmus Rogerii. On en déduit que son père devait s'appeler en néerlandais Rotger Gerrit ou Gerrits. Biographie résumée[modifier | modifier le code] Érasme est né en 1466 ou 1467 ou 1469, selon les biographes, à Rotterdam. Entre 1499 et 1514, Érasme a parcouru l’Europe. Il meurt le à Bâle.