75% des étoiles auraient une compagne Une étude vient de prouver que les trois quarts des étoiles de grandes masses auraient une étoile plus petite à proximité et interagiraient avec elle de manière violente. Cela aurait des conséquences sur notre vision de l'espace et notamment sur la formation des galaxies. Parue ce 27 juillet 2012 dans la revue Science, une étude vient de montrer que la plupart des étoiles de grandes masses très brillantes ne vivent pas seules. Ces astres qui conditionnent l'évolution des galaxies auraient en effet une "compagne", plus petite, à proximité. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La majorité de ces binômes connaîtraient alors des interactions les perturbant, notamment des transferts de masse d'une étoile à l'autre. Le principal auteur de l'étude, Hugues Sana de la University of Amsterdam, explique : "Ces étoiles sont de véritables monstres. "La vie d'une étoile est fortement affectée s'il y a une autre étoile dans son voisinage"
Fascinant : des cours gratuits d’astrobiologie et de recherche en vie extraterrestre Qui n’a jamais imaginé qu’une vie existait sur une autre planète ? Une initiative de l’Université d’Édimbourg va sûrement en intéresser plus d’un : des cours gratuits sur Internet d’astrobiologie et de recherche sur la vie extraterrestre ! L’Université d’Édimbourg devrait proposer ce mois-ci des cours sur l’astrobiologie et la recherche d’intelligence extraterrestre gratuitement sur Internet. Les cours, 4 heures par semaines, seront assurés par Charles Cockell, directeur du Centre britannique d’astrobiologie. Intéressés par cette initiative ?
Video - Ceci est le son de l’espace Des chercheurs de l’Université de l’Iowa, aux Etats-Unis ont capté les sons produits par la magnétosphère terrestre. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Pour se faire entendre, il suffit parfois d'utiliser un microphone approprié et ce, même dans les lieux les plus incongrus comme... l'espace. En effet, des chercheurs de l’Université de l’Iowa, aux Etats-Unis sont parvenus à enregistrer dans la magnétosphère entourant la Terre, les sons de l’espace. D'où l'intérêt de la séquence concoctée par les scientifiques. "Ce bruit est connu depuis des décennies" rappelle dans un communiqué Kletzing Craig, responsable de l’Emfisis.
Vidéo : découvrez de superbes étoiles filantes et d'autres astres dans un ciel à 360° En deux minutes, la nouvelle vidéo de Stephane Vettel, photographe français, dévoile un ciel nocturne à 360°, immortalisé le 17 novembre 2012 lors du passage d’étoiles filantes appelées Léonides. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Depuis quelques temps, les vidéos de ciels étoilés fleurissent sur la toile. Cette fois-ci, c’est au tour d’un Français, Stephane Vettel, de se démarquer par une de ces dernières réalisations. Stephane Vettel a ainsi profité d’un belvédère remarquable pour immortaliser les Léonides, des étoiles filantes formées par le passage de la Terre à travers un nuage de poussière toujours au même moment de l’année.
Un mystérieux rayonnement cosmique gravé dans les cernes d'arbres Publiant leurs travaux le 3 juin dans Nature, des chercheurs nippons ont découvert, dans les anneaux de croissance d’arbres centenaires, un taux de carbone 14 qui ne peut qu’avoir été consécutif à un rayonnement cosmique intense survenu en 774 ou en 775 après J.-C., et dont l’origine et la nature restent inconnues. L’équipe de Fusa Miyake, de l'Université de Nagoya, au Japon, a analysé la composition isotopique de deux cèdres du Japon centenaires et trouvé, dans les anneaux de croissance correspondant aux années 774 et 775, un taux de carbone 14 supérieur d’environ 1,2 % à la normale, qui ne peut s’expliquer, selon eux, que par un mystérieux événement cosmique, ayant eu sur ces arbres un effet 20 fois supérieur à celui des pics normaux de l’activité solaire. Avez-vous déjà partagé cet article?
Pluie d'étoiles filantes : les Draconides ont encore illuminé le ciel Tête en l'air, yeux fixés sur le ciel. Certains ont eu la chance, les nuits des 7 et 8 octobre, de contempler une superbe pluie d'étoiles filantes. Comme chaque année, à la même époque, les Draconides ont illuminé le ciel. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'était le moment à ne pas rater pour les astronomes. Une bonne année Cette année, la pluie des Draconides a été facilement observable. Les Draconides sont des météores très imprévisibles, ce qui signifie qu'il est très difficile de prévoir si les années seront bonnes ou non. Les astronomes conseillent à ceux qui veulent voir les Draconides de trouver une zone éloignée des lumières de la ville, afin d'habituer l’œil à l'obscurité pendant au moins 20 minutes. D'où viennent les Draconides ? La plupart des pluie de météores sont nommées d'après la constellation où se situe leur radiant. Cette dernière a été aperçue pour la première fois en décembre 1900.
L'énergie fulgurale Quelle que soit l'époque, l'activité humaine n'a pu se passer de sources énergétiques. A certains égards, l'histoire de l'énergie est un raccourci de l'histoire des hommes : une saga passionnante et totalement méconnue. Stupeur à tous les étages. Au fil des âges, on a recouru à différentes sources d'énergie : avant les énergies renouvelables, avant le nucléaire, avant le pétrole, nos ancêtres ont utilisé l'hydro-électricité, le charbon, l'énergie animale ou humaine. Les Atlantes ont utilisé l'inépuisable énergie de la foudre : ils produisaient de l'énergie dans des centrales fulgurales comme Areva en produit aujourd'hui dans ses centrales nucléaires. On peut admettre que leur civilisation fut plus avancée sur le plan spirituel, par exemple. Les Atlantes avaient une parfaite maîtrise de la gravitologie et de l'électro-magnétisme. Les centrales à foudre se composaient donc de trois machines principales :1- une antenne ou capteur qui attire l'éclair.
Spatiales | La petite gazette du système solaire Découvrez la fantastique nébuleuse du Casque de Thor La beauté de notre galaxie ne cessera jamais de nous impressionner. Aujourd’hui DGS vous propose de découvrir une image inédite de la nébuleuse du Casque de Thor publiée par l’Observatoire Européen Austral. Pour leur 50ème anniversaire, l’Observatoire Européen Austral a publié une superbe image inédite de la nébuleuse du Casque de Thor. Ce nuage moléculaire est appellé ainsi car, ses parties les plus lumineuses ont une forme qui ressemble à un casque qui détient deux cornes. Une beauté de la galaxie à couper le souffle et qui se trouve pourtant à 15 000 années lumières, en direction de la constellation du Grand Chien. Impressionnés par la nébuleuse du Casque de Thor ?