Aide médicale à mourir: comment se dérouleront les derniers instants?
Avec l’aide médicale à mourir qui sera prochainement offerte au Nouveau-Brunswick, nombreux sont ceux qui se demandent avec justesse de quelle façon sera administrée cette aide médicale et quel sera le décorum qui entourera cette étape ultime de la vie. Le guide sur l’aide médicale à mourir du Collège des Médecins et Chirurgiens du Nouveau-Brunswick demeure pour l’instant plutôt vague au sujet de la méthode d’assistance pour mourir. Le Collège estime que les méthodes devront s’appuyer sur les normes courantes et sur les volontés du patient et que la décision de la Cour suprême laisse entendre que deux méthodes sont acceptables, soit l’utilisation de la voie orale ou la voie intraveineuse. «Les médecins du Nouveau-Brunswick font équipe avec les patients afin de choisir leurs soins et cela ne changera pas une fois que la législation fédérale sur l’aide médicale à mourir sera en place», a indiqué John Whelan, le président de la Société médicale du Nouveau-Brunswick.
L'euthanasie et les religions
Catholicisme L’euthanasie est en opposition directe avec le 5ème commandement : « tu ne tueras point ». L’euthanasie est donc un crime qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer. Le pape Benoit XVI a ainsi dit, fin janvier 2009, "Jésus a souffert et il est mort sur la croix par amour. Protestantisme Certains courants du protestantisme ne partagent pas l'idée catholique sur ce point. Jésus dit : « Ne vend-t-on pas deux moineaux pour un sou ? Le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine dénonce les dérives envisageables de la nouvelle proposition de loi sur l’euthanasie débattue au Sénat le 25 janvier. Islam Dans l’Islam, l’homme représente l’œuvre divine la plus importante et la plus complexe. M.Ahmed Gharbi, prédicateur estime qu' «en Islam l’euthanasie ne se pratique pas, car l’être humain ne possède pas son corps, c’est Allah qui en dispose. Le Coran Judaïsme Si l'euthanasie active est condamnée sans appel, les juifs font une distinction avec l’euthanasie passive.
Mes 14 bonnes raisons de dire non à l'euthanasieKoztoujours
Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d’Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité ». Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l’euthanasie, et son sondage mortifère. Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l’euthanasie. En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu’ils auraient tout de même pu partir plus tôt. Cette année, l’information se répand : 94% des Français sont favorables à l’euthanasie et l’ADMD – c’est un autre marronnier – « réclame un débat ». Voilà mes quatorze bonnes raisons de m’opposer à l’euthanasie. Une société ne rompt pas avec l’interdit de donner la mort sans conséquences. On ne doit pas se résoudre à l’impuissance. p style= »text-align: center; »>* * * crédit photo : Adrián Afonso
Point de vue religieux sur le suicide
Le suicide est un acte traditionnellement condamné par les doctrines religieuses. En effet, si le fait de se suicider est d'abord un acte contre soi-même, dans certaines conceptions religieuses la destinée de l'homme appartient à Dieu et le suicide constitue alors une rupture dans la relation de l'homme avec la souveraineté de son Dieu. Dans d'autres cas, l'acte est plus simplement considéré comme une action négative. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Selon les enseignements de Bouddha, ce qu'un individu fait à tout moment aura une conséquence sur son avenir, dans cette vie ou dans la suivante (voir le principe de la réincarnation). Le premier précepte des bouddhistes étant d'empêcher la destruction de la vie, y compris la sienne, le suicide est clairement considéré comme une forme d'action négative entraînant un karma négatif, mais moins grave que le meurtre[réf. nécessaire]. En revanche l’acte d’assistance au suicide est assimilé au meurtre d’un point de vue religieux.
Aide médicale à mourir: des pour et des contre
SHIPPAGAN – Le jugement de la Cour suprême du Canada est une avancée importante sur le plan de l’éthique de fin de vie, estime Valois Robichaud, gérontologue et fondateur de l’Association Jusqu’à la Mort Accompagner la Vie du Nouveau-Brunswick. Un jugement unanime rendu vendredi par la Cour suprême du Canada donne raison aux militants pro-euthanasie. Les adultes canadiens qui sont atteints de problèmes de santé graves et irrémédiables auront le droit de réclamer un soutien médical pour mettre fin à leurs jours. Les cas de deux femmes de la Colombie-Britannique, Kay Carter et Gloria Taylor, ont propulsé de nouveau le débat sur le suicide assisté à l’avant-plan de l’intérêt public. Les deux femmes, qui sont maintenant décédées, souffraient de maladies dégénératives et souhaitaient avoir le droit d’obtenir de l’aide médicale à mourir au Canada. «Je crois que c’est une avancée. «Il y a eu toute une évolution qui fait qu’aujourd’hui ce n’est pas un meurtre.» Opposition
L’euthanasie et le suicide assisté : pourquoi pas? - Campagne Québec-Vie
Vous avez des questions sur l'euthanasie? Cliquez l'une des questions ou opinions suivantes pour en connaître la réponse-éclair (tirées d'une publication de l' OCVF ): 1. L’euthanasie et le suicide assisté ne sont pas des questions privées. Pour nombre de citoyens vulnérables, la légalisation de l’euthanasie n’offrirait que l’illusion d’un choix – un mensonge, en fait. Le fait d’amender la loi canadienne pour autoriser l’euthanasie aurait de sérieuses conséquences pour nombre de personnes vulnérables. Nul n’est une île. 2. Il n’y a rien de particulièrement digne à avaler un cachet ou à recevoir une injection qui provoque une mort rapide, qui n’est pas toujours sans douleur comme certains aimeraient le croire. La dignité ne dépend pas de la santé physique ou mentale, de l’autonomie ou de l’utilité pour la société. Nous sommes des êtres de relations capables d’aimer et de prendre soin des autres. 3. Au Canada, la loi n’oblige personne à se soumettre à un traitement. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
Les enjeux éthiques de l'aide médicale à mourir
“Connaissez-vous la différence entre Dieu et un médecin? Dieu ne se prend pas pour un médecin ! Un médecin n’est pas non plus un juge, un ministre ou un officier de police. C’est un professionnel qui est censé délivrer des soins à un patient en fonction de ce que celui-ci considère être des soins. Désormais, les médecins ne sont plus ceux qui décident ce qui est bon ou ce qui ne l’est pas pour leurs patients, mais assistent ces derniers -ils ne sont pas obligés de le faire- quand ceux-ci veulent prendre des décisions capitales concernant leur vie ou leur mort, en respectant leur liberté. C’est aujourd’hui le principal enjeu de la bioéthique.” Médecin et écrivain réputé -il est l’auteur du roman autobiographique La maladie de Sachs, best-seller adapté au cinéma-, le Dr Marc Zaffran -son pseudonyme d’auteur est Martin Winckler- a une position des plus catégoriques sur l’épineuse question de l’aide médicale à mourir. “Je suis Juif moi aussi.
Angleterre : le suicide assisté décrié par les musulmans
Comme la majorité des religions en Grande-Bretagne dont l’Eglise anglicane, la religion officielle du pays, les responsables musulmans se sont prononcés contre la légalisation du suicide assisté, qui doit être débattue vendredi 18 juillet à la chambre des Lords, la chambre haute du Parlement britannique. Le Conseil musulman de Grande-Bretagne (MCB) dit « se joindre aux autres communautés religieuses et médecins qui estiment que le suicide assisté ne doit pas être légalisé » dans un communiqué en date du jeudi 17 juillet. Le projet prévoit d’autoriser le suicide médicalement assisté aux adultes à qui il reste moins de six mois à vivre, après l'avis favorable de deux médecins.
Sahra !! c Diane ;) contente que ça t'ai cultivé, mais nous pique pas tout ;) <3 by euthecjs7 Apr 10
koùùkoùù j'adoureuhh ton pealtree, ça màà cultiveyyyi <3<3<3 by sarahhanifi Apr 10