Aide médicale à mourir: comment se dérouleront les derniers instants?
Avec l’aide médicale à mourir qui sera prochainement offerte au Nouveau-Brunswick, nombreux sont ceux qui se demandent avec justesse de quelle façon sera administrée cette aide médicale et quel sera le décorum qui entourera cette étape ultime de la vie. Le guide sur l’aide médicale à mourir du Collège des Médecins et Chirurgiens du Nouveau-Brunswick demeure pour l’instant plutôt vague au sujet de la méthode d’assistance pour mourir. Le Collège estime que les méthodes devront s’appuyer sur les normes courantes et sur les volontés du patient et que la décision de la Cour suprême laisse entendre que deux méthodes sont acceptables, soit l’utilisation de la voie orale ou la voie intraveineuse. «Les médecins du Nouveau-Brunswick font équipe avec les patients afin de choisir leurs soins et cela ne changera pas une fois que la législation fédérale sur l’aide médicale à mourir sera en place», a indiqué John Whelan, le président de la Société médicale du Nouveau-Brunswick.
Où en est l'affaire Vincent Lambert ?
Est-ce l'ultime décision de justice concernant Vincent Lambert ? Le Conseil d'État a estimé, mercredi 19 juillet, que son médecin devait se prononcer sur la procédure d'arrêt des soins concernant cet ancien infirmier en psychiatrie, tétraplégique et victime de lésions cérébrales irréversibles. Il est hospitalisé au centre hospitalier universitaire de Reims (Marne), après un accident de la route en septembre 2008. Ce que disent les médecins Vincent Lambert a reçu de nombreux traitements. En avril 2013, à l'issue d'une procédure collégiale, l'équipe médicale décide alors d'arrêter l'alimentation artificielle qui maintient Vincent Lambert en vie. Une nouvelle médecin est alors chargée de suivre Vincent Lambert. Ce que demandent les parents de Vincent Lambert Les parents de Vincent Lambert, des catholiques traditionalistes, sont fermement opposés à l'arrêt des soins. Ce que demandent sa femme et son neveu Ce que dit la justice
Chemin de Vie La position des principales religions - L'Avortement ? - Nos grands dossiers Site www.chemindevie.be
Elisabeth BOURGOIS - Les jeunes, le sexe et l'amour, Parole et Silence, 2003, p. 143 Les religions opposées à l'avortement L'Eglise catholique. La vie humaine commence dès la conception et doit être respectée à tout prix. Les Eglise othodoxes. L'Islam. Les religions qui admettent l'avortement Les Eglises protestantes. Le judaïsme.
Aide médicale à mourir: des pour et des contre
SHIPPAGAN – Le jugement de la Cour suprême du Canada est une avancée importante sur le plan de l’éthique de fin de vie, estime Valois Robichaud, gérontologue et fondateur de l’Association Jusqu’à la Mort Accompagner la Vie du Nouveau-Brunswick. Un jugement unanime rendu vendredi par la Cour suprême du Canada donne raison aux militants pro-euthanasie. Les adultes canadiens qui sont atteints de problèmes de santé graves et irrémédiables auront le droit de réclamer un soutien médical pour mettre fin à leurs jours. Les cas de deux femmes de la Colombie-Britannique, Kay Carter et Gloria Taylor, ont propulsé de nouveau le débat sur le suicide assisté à l’avant-plan de l’intérêt public. Les deux femmes, qui sont maintenant décédées, souffraient de maladies dégénératives et souhaitaient avoir le droit d’obtenir de l’aide médicale à mourir au Canada. «Je crois que c’est une avancée. «Il y a eu toute une évolution qui fait qu’aujourd’hui ce n’est pas un meurtre.» Opposition
L’interdit de tuer doit être préservé
Cinq représentants des trois grandes religions monothéistes unissent leurs voix pour dire leur opposition à l’emploi de la sédation pour donner la mort. Nous, représentants des trois grandes traditions religieuses monothéistes, conscients des évolutions qui traversent notre société, des nouvelles situations qu’elles génèrent et de la nécessité de rechercher des adaptations, voire des améliorations, des dispositifs législatifs et réglementaires pour accompagner ces évolutions, considérons qu’une telle recherche doit être le fruit d’un débat serein, démocratique et respectueux de la personne humaine et de sa dignité. Le contexte actuel manque de lisibilité, et la période que nous traversons est difficile, secouée par des crises à répétition, politique, économique, financière et morale. Un nouveau débat sur la fin de vie risque d’y ajouter de la confusion. Le droit français, qui exclut l’acharnement thérapeutique, condamne l’euthanasie. Nouvelle tentation Lire aussi Le dernier voyage
Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi Leonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie est une loi française adoptée le 12 avril 2005, promulguée le 22 avril 2005 et publiée au Journal officiel le 23 avril 2005. Cette loi est promulguée à la suite de la loi du 4 mars 2002 sur le droit des malades. En 15 articles, cette loi modifie plusieurs dispositions du Code de la santé publique et du Code de l'action sociale et des familles. Elle porte le nom du député Jean Leonetti qui l'a proposée au vote du Parlement, avec l'agrément explicite du gouvernement. Contenu[modifier | modifier le code] Le texte a pour objet d'éviter les pratiques d'euthanasie, et d'empêcher également l'acharnement thérapeutique (qualifié d'« obstination déraisonnable » dans le traitement des malades en fin de vie). Suites législatives[modifier | modifier le code] Un projet de loi sur ce thème devait être proposé en juin 2013 par le gouvernement[2] ; cela a été fait par M.
L’aide médicale à mourir plus populaire
Plus de six Canadiens par jour ont obtenu l’aide médicale à mourir au cours de la première moitié de l’année, révèle un bilan gouvernemental rendu public vendredi. Pas moins de 1179 décès médicalement assistés ont eu lieu au pays entre le 1er janvier et le 30 juin dernier, selon le deuxième rapport intérimaire publié par Santé Canada depuis l’adoption de la législation en juin 2016. « Ça illustre que l’aide médicale à mourir répond vraiment à un besoin, et que c’est une réforme qui était absolument nécessaire pour respecter la dignité des gens », estime la députée de Joliette, Véronique Hivon, qui a piloté le projet de loi sur les soins de fin de vie à Québec. Photo d'archives, Simon Clark Véronique Hivon, députée de Joliette Il s’agit d’un bond de 46,8 % comparativement aux six derniers mois de 2016, durant lesquels 803 patients s’étaient prévalus de l’aide médicale à mourir. « C’est tout à fait normal, puisque la loi fait tranquillement son chemin dans la tête des gens », explique-t-il.
Pour l'euthanasie et le suicide assisté : médecin, j'ai aidé plusieurs patients à mourir
Une chambre de patient hospitalisé en fin de vie à la maison médicale Jeanne Garnier, à Paris (PFG/SIPA) Il y a plus de 30 ans, installé comme généraliste en milieu rural, j'ai été amené à soigner une toute jeune fille atteinte d'un cancer évolutif (rhabdosarcome). Avec l'aide de sa famille, elle a lutté deux ans (chirurgie, radiothérapie, chimio, etc.) mais la maladie a gagné. Quand elle l'a compris, elle a décidé de fêter ses 14 ans avec ses copains et copines (dans le midi, on dit ses "collègues") et m'a demandé de l'aider ensuite à mourir. Elle a eu un bel anniversaire, puis, avec l'accord de ses parents, je l'ai aidée. J'aidais des patients à mourir 1 ou 2 fois par an Techniquement, je savais faire ; lors de mes études au CHU de la Pitié, comme tout étudiant, j'avais participé à des euthanasies avec le "DLP" ou "cocktail lytique", parfois appliqué sans l'accord du patient, souvent sans en informer la famille. À l'hôpital, on refoule la volonté des malades
Sahra !! c Diane ;) contente que ça t'ai cultivé, mais nous pique pas tout ;) <3 by euthecjs7 Apr 10
koùùkoùù j'adoureuhh ton pealtree, ça màà cultiveyyyi <3<3<3 by sarahhanifi Apr 10