Les Indiens d Am rique: FAQ Am rindien pour les enfants et les tudiants American Indian Information (English version) Bonjour et bienvenue sur le site «Native Languages of the Americas / Langues autochtones des Amériques»! Nous sommes une organisation à but non lucratif visant à préserver et à promouvoir les langues des Indiens d’Amérique, en particulier à travers la technologie d’Internet. En raison de la mission de notre site, dans la plupart des informations que nous apportons il s'agit de tribus individuelles. Il y a beaucoup de tribus et de peuples indiens différents, et chacun a sa propre culture et ses propres traditions. Questions les plus fréquemment posées (FAQ) sur les Indiens d’Amérique 1. Q: Quelle est la différence entre «Indigènes», «Autochtones», «Premières nations», et «Amérindiens»? Certaines personnes ont une préférence pour l’un ou l’autre des termes, mais aucun de ceux mentionnés ici n’est offensant. Q: Les Inuits et les Esquimaux sont-ils considérés comme des Indiens? Q: A quoi ressemblait la culture amérindienne dans le passé?
Le peuplement de l'Amérique, revu et corrigé? Un texte d'Alain Labelle La théorie largement répandue actuellement veut que les premiers peuplements de l'Amérique aient emprunté le détroit de Béring pendant la dernière grande glaciation à partir de la Russie pour se répandre dans les Amériques. Selon cette explication, ces groupements auraient effectué la traversée par un ancien corridor terrestre, entre la Sibérie et l'Alaska, libéré par le recul de deux importantes calottes glaciaires recouvrant le nord du continent. C'était avant que le paléogénéticien danois Eske Willerslev de l'Université de Copenhague et ses collègues canadiens et britanniques décident d'analyser l'ADN d'espèces animales et végétales qui composaient l'écosystème préhistorique de ce corridor, long de 1500 km. Ils ont ainsi pu créer une image précise montrant comment et quand la faune et la flore ont émergé dans ce passage à la suite du retrait des glaces. Ce travail exhaustif de reconstruction représente une première scientifique. Résultats déroutants
La vie de tous les jours Texte de George Sioui, historien des Premières nations Il y a très longtemps, bien avant l'arrivée des Européens, la nature fournissait à nos ancêtres tout ce dont ils avaient besoin : un toit, de la nourriture, des outils, des moyens de transport et de quoi se vêtir. Nos ancêtres micmacs vivaient dans des wigwams faits de branches d'arbres recouvertes d'écorce qu'on pouvait facilement détacher des arbres au printemps. On fixait ensemble les branches et l'écorce avec des racines et des fibres de plantes. L'hiver, lorsque le froid s'installait, on recouvrait la structure de fourrures et de peaux d'animaux. Les Micmacs avaient accès à de la nourriture très variée et en quantité abondante qu'ils puisaient à même les ressources terrestres et aquatiques. La nature fournissait également tout les instruments et outils dont nos ancêtres avaient besoin : des os qui servaient d'aiguilles et des pierres qu'ils transformaient en haches pour couper le bois.
Les Autochtones du Québec │ ICI Radio-Canada Abénaquis On dénombre plus de 2700 Abénaquis au Québec, mais seulement 419 vivent dans les communautés d’Odanak et Wôlinak situées sur la rive sud du Saint-Laurent, près de Trois-Rivières. Algonquins Sept des neuf communautés algonquines du Québec sont situées en Abitibi-Témiscamingue. Atikamekw Quelque 6000 Atikamekw vivent dans les communautés de Manawan, au nord de Lanaudière, ainsi qu’Obedjiwan et Wemotaci, en Haute-Mauricie. Cris Avec environ 18 000 membres inscrits, les Cris sont la deuxième nation la plus populeuse au Québec, après les Mohawks. Huron-wendats La communauté de Wendake, en banlieue de la ville de Québec, est le seul territoire Huron-Wendat de la province. Inuits Plus de 11 000 Inuits vivent dans 14 villages répartis le long du littoral de la baie d’Hudson, du détroit d’Hudson et de la baie d’Ungava. Innus (Montagnais) Avec plus de 19 700 membres, la nation innue est la troisième nation la plus populeuse du Québec. Malécites Micmacs Mohawks Naskapis
Épisode «les premiers canadiens» Publicité Désolé, le contenu demandé n'est plus disponible. Le Canada fêtera ses 150 ans le premier juillet prochain. Mais en réalité, notre pays est habité depuis bien plus longtemps… près de 15 000 ans. D’où viennent les premiers Canadiens? Les recherches récentes apportent de nouveaux éclairages sur ces moments fondateurs de l’histoire de l’humanité. La piste des origines nous emmène ensuite en Colombie-Britannique, où des chercheurs tentent de remonter encore plus loin, jusqu’aux premiers habitants de la côte ouest. Puis jusqu’en Arctique, dernière frontière du peuplement humain de la planète, un environnement hostile qui est pourtant habité depuis plus de 4000 ans. Au passé que nous racontent les archéologues sur le terrain, s’ajoutent dans ce documentaire des reconstitutions spectaculaires et inédites de ce qu’a pu être la vie au moment où l’humanité foulait le territoire canadien pour la première fois. Journaliste:Gaëlle Lussiaà-Berdou Réalisateur:Yves Lévesque
Famille iroquoienne Le Centre est maintenant fermé au public pour la saison hivernale. De retour le 25 mai 2019! Plongez dans l’univers des Iroquoiens du Saint-Laurent! Ne manquez pas Les Iroquoiens du St-Laurent, une exposition éducative du Musée virtuel du Canada! À Saint-Anicet, dans le Haut-Saint-Laurent, serpente un petit cours d’eau : la rivière La Guerre. Les archéologues attribuent les restes matériels de ces villages à des populations qu’ils appellent les Iroquoiens du Saint-Laurent, pour désigner les groupes amérindiens de la famille linguistique et culturelle que rencontrera Jacques Cartier. L’événement historique le plus important qui marqua l’est du Canada avant l’arrivée de Samuel de Champlain en 1603 fut la dispersion de ces Iroquoiens du Saint-Laurent. Ces nations ont peut-être été dispersées, mais elles ont laissé des traces indélébiles témoignant de leur passage dans la vallée du Saint-Laurent. La reconstitution d’un village iroquoien, un projet de taille qui a vu le jour à Saint-Anicet.
Un village autochtone découvert sous le centre-ville | Pierre-André Normandin | Grand Montréal « C'est une découverte importante. On avait un peu de traces par-ci par-là de l'occupation de Montréal par les Iroquoiens du Saint-Laurent, mais ça, c'est le seul site de village qu'on a sur l'île », s'emballe Roland Tremblay, archéologue pour la firme Ethnoscop. Pendant les travaux pour l'aménagement de la promenade Fleuve-Montagne en 2016 et 2017, la Ville de Montréal avait chargé des archéologues de mener des fouilles. Malgré l'urbanisation du secteur et la présence de nombreuses infrastructures sous terre, des portions de sol jamais perturbées ont été relevées en cours de chantier sous l'intersection des rues Sherbrooke et Peel. « On s'est dit que s'il restait quelque chose, on allait le trouver. Ces quelques lopins ont en effet représenté une véritable mine d'or historique, recelant pas moins de 2200 tessons de poterie. En plus des objets, la sépulture d'une jeune adulte a aussi été trouvée quelques jours avant Noël 2016.
Les Cris et La Baie d'Hudson : 350 ans d'histoire Un texte de Jean-Michel Leprince Le 22 septembre 1668, des Cris du camp d’été de Waskaganish, au sud de la baie James, ont vu arriver dans l’estuaire de la rivière Rupert une étrange embarcation. C’était le Nonsuch, un cotre (ketch) battant pavillon britannique. À son bord, une douzaine d’hommes avec l’explorateur et coureur des bois Médart Chouart, sieur Des Groseillers. Charles Hester est le responsable de la culture, des sports, des loisirs et de la jeunesse au conseil de bande de Waskaganish. Le responsable de la culture, des sports, des loisirs et de la jeunesse au conseil de bande de Waskaganish, Charles Hester Photo : Radio-Canada Les Cris de la Baie-James avaient déjà vu des voiliers européens auparavant : celui d'Henry Hudson (dont la baie d'Hudson porte le nom) en 1610. Le Nonsuch est aperçu le 22 septembre 1668, lorsqu’il double la pointe nord de l’estuaire de la rivière Rupert (Namaska en cri). Le contact avec l’équipage est cordial. Déjà, le commerce! Des échanges équitables?
Une carte interactive pour découvrir sur quel territoire autochtone vous habitez @What traditional territory is your city on? Are you on unceded xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), and Səl̓ílwətaʔ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh) territory? The territory of the Huron-Wendat and Petun First Nations, the Seneca and Mississaugas of the Credit River? Or unceded Abenaki/Abénaquis, Kanien'kehá:ka, Haudenosauneega (St Lawrence Iroquois), and Huron-Wendat territory? If you don't know, a website called Native Land can help answer the question for you. The crowd-sourced, interactive website mapping traditional territories of Indigenous people, treaties and language has grown to become so much more, and has just become a Canadian not-for-profit. Victor Temprano launched Native Land almost five years ago, while working on a pipeline-related website. His company, Mapster is his full-time job, and Native Land became more of a side passion project, which is one of the reasons crowdsourcing the information is so important to him. 'I really believe in the tool'
New map of Beringia 'opens your imagination' to what landscape looked like 18,000 years ago Thousands of years ago, a stretch of land connected the continents of Asia and North America, in the place the Bering Strait now occupies. The Bering land bridge was exposed at various times over an almost three million year period, when wide scale glaciation lowered sea levels by as much as 150 metres. The land bridge was part of "Beringia," which refers to the stretch of land between present day Siberia and Yukon Territory. It's been home to woolly mammoths, steppe bison and humans. Now, researchers have a better idea of what this region looked like and how our ancient relatives used the landscape. Jeff Bond, a geologist with Yukon Geological Survey in Whitehorse, has produced a map showing what Beringia looked like 18,000 years ago. Bond says the map gives us a better idea of how humans used the landscape. Bond compiled the map using sea floor data from the University of Alaska Fairbanks. "The bathymetry data is the most current compilation available," he said.
Guide pédagogique Wapikoni : découvrez la diversité des nations, des cultures et des expressions autochtones au Canada Comment aborder l’histoire des pensionnats autochtones ou expliquer la notion de bispiritualité ? Que diriez-vous de diffuser en classe le court métrage L’enfance déracinée, de Réal Junior Leblanc, avant de discuter de la question des pensionnats ou de présenter le film The Hearing (Entendre) de Russell Ratt Brascoupe, pour servir d’élément déclencheur pour parler de bispiritualité? Ces films et bien d’autres, produits par de jeunes cinéastes autochtones dans le studio du Wapikoni mobile, sont suggérés par le nouveau Guide pédagogique Wapikoni : Introduction à la diversité des cultures autochtones au Canada. Outil d’enseignement, il comprend des textes clairs et concis au sujet des cultures autochtones, des cartes géographiques, des statistiques, des suggestions d’activités pédagogiques et une sélection de douze films réalisés par de jeunes cinéastes autochtones, accompagnés de fiches informatives. En route vers la réconciliation Des contenus complets et variés
Les Iroquoiens du Saint-Laurent | Mémoires des Montréalais À l’automne 1535, l’explorateur Jacques Cartier remonte le fleuve Saint-Laurent et fait la rencontre d’un groupe autochtone habitant l’île qui abritera Montréal. Il prend le temps d’une visite à son village nommé « Hochelaga » et d’une petite reconnaissance sur le mont Royal, et repart aussitôt. Ce bref épisode a suscité la seule mention écrite qui nous soit parvenue d’une rencontre directe entre ce groupe et les Européens. Au cours des décennies suivantes, les Hochelaguiens quitteront définitivement l’île et, quand Champlain passe en 1603, ils n’y sont plus. Des Iroquoiens parmi d’autres Les récits de Cartier nous permettent d’abord de constater qu’il s’agissait de locuteurs de la grande famille linguistique iroquoienne, qui regroupait vers les années 1500 environ 25 langues différentes. On estime que les Iroquoiens du Saint-Laurent comptaient entre 10 000 et 12 000 individus au moment des premiers contacts avec les Européens. Un (ou plusieurs?)
Centre d'interprétation du site archéologique Droulers-Tsiionhiakwatha Suite aux mesures gouvernementales de santé publique, toutes les institutions culturelles sont présentement fermées. Le Centre ouvrira normalement ses portes le 23 mai 2020. Nous mettrons à jour notre site internet lorsque la situation reviendra à la normale. Plongez dans l’univers des Iroquoiens du Saint-Laurent! Une expérience culturelle unique! La reconstitution grandeur nature d’un village iroquoien, c’est un projet de taille qui a vu le jour à Saint-Anicet. Pour information ou réservation contactez-nous! Ne manquez pas Les Iroquoiens du St-Laurent, une exposition éducative du Musée virtuel du Canada! À Saint-Anicet, dans le Haut-Saint-Laurent, serpente un petit cours d’eau : la rivière La Guerre. Les archéologues attribuent les restes matériels de ces villages à des populations qu’ils appellent les Iroquoiens du Saint-Laurent, pour désigner les groupes amérindiens de la famille linguistique et culturelle que rencontrera Jacques Cartier.