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Avec les “Fab Labs”, deviendrons-nous tous designers ? - Arts et scènes

Avec les “Fab Labs”, deviendrons-nous tous designers ? - Arts et scènes
Les “Fab Labs” ? Des coopératives futuristes intégrant ordinateurs, marteaux, tournevis, perceuses et imprimantes 3D dans un joyeux foutoir participatif. Une nouvelle révolution industrielle portant la “bricolabilité” au pinacle ? Nous sommes en 2022. Un nouveau modèle économique émerge, où l'on répare au lieu de jeter, où l'on fabrique soi-même. De la science-fiction ? « L'équipement est mis gratuitement à disposition du public sous trois conditions morales : participer, documenter, partager » Olivier Gendrin Ce jour-là, Josiane, une femme au foyer venue pour l'atelier couture discute avec Charles, un ingénieur électronicien qui veut se tailler un sac à dos à ses mesures. « L'équipement est mis gratuitement à disposition du public sous trois conditions morales : participer, documenter, partager », précise Olivier Gendrin. Le FacLab est l'un des premiers Fab Labs français (avec La Forge des possibles à La Roche-sur-Yon, Artilect à Toulouse, Ping à Nantes, et quelques autres).

Créer une entreprise solidaire - Bouge pour ta planète Dimanche 19 juillet 7 19 /07 /Juil 19:14 Qu'est ce qu'une entreprise solidaire ? C'est une entreprise non cotée : - dont un tiers des salariés sont en contrats aidés ou reconnus travailleurs handicapés. - qui est constituée sous forme d'associations, de coopératives, de mutuelles, d'institutions de prévoyance ou de sociétés dont les dirigeants sont élus par les salariés, les adhérents ou les sociétaires. (Définition élaborée par un décret de la loi de modernisation de l'économie du 4 aout 2008) Il existe des dispositifs d'aide spécifiques pour ceux qui souhaiteraient créer une entreprise solidaire et par extension une entreprise sociale ou une entreprise des quartiers : - La Ruche : une pépinière pour entreprises sociales de 1500 mètres carrés, au bord du canal St Martin à Paris. - Les business angels sociaux peuvent donner un coup de pouce (même si encore embryonnaire). Les conseils pour se lancer ? Partager l'article ! inShare Par ALJ - Publié dans : Pratique 0

Ce que les patients changent à la santé Par Hubert Guillaud le 13/07/11 | 4 commentaires | 1,850 lectures | Impression “Voit-on des changements radicaux dans la santé, le bien-être ?”, s’interrogeaient les organisateurs de la 3e édition de la Conférence Lift France. Les soins sont des systèmes souvent mal aimés et coûteux, rappelle Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération. Y-a-t’il des changements dans la façon dont on apporte les soins aux gens ? Y-a-t-il, plus encore, un changement dans la façon dont les patients gèrent leur santé ? Un des phénomènes les plus importants pour la transformation de la relation patients-médecins ces dernières années repose sur la naissance des réseaux de patients dont PatientsLikeMe demeure le symbole. La valeur de l’ouverture Pour Paul Wicks, directeur de la R&D de PatientsLikeMe, la science-fiction n’avait pas prévu le web. Image : Paul Wicks, directeur de la R&D de PatientsLikeMe sur la scène de Lift France, photographié par Pierre Metivier. On pourrait !

Les fab labs en route vers le Grand Soir Le Parti communiste français met le nez dans les fab labs. Avec comme une vieille envie de se remuer un peu le logiciel. Et convoque Sabine Blanc pour déminer le terrain de la valeur d'usage du DIY et de ces nouveaux moyens de production. Gonzostory entre quatre murs ambiance Paco Rabanne. Celui de la déco 70's, pas de la fin du monde. Conférence de Sabine Blanc sur les Fab Labs au siège du PCF à Paris, le 2 décembre 2012. - cc Ophelia Noor/Loguy (logo via le site officiel des fablab du MIT) Si le PC vous auditionne aujourd’hui sur les fab labs, c’est d’abord parce que Yann Le Pollotec n’a pas arrêté de nous faire chier. Hier, j’ai passé trois bonnes heures devant une poignée de membres du Parti communiste français, dont quelques cadres, pour leur expliquer en quoi consistait les fab labs, ces espaces collaboratifs de prototypage rapide nés au MIT qui font fantasmer aussi bien à droite qu’à gauche en raison de leurs supposées vertus à répondre aux défis posés par les crises actuelles.

« Citoyens en transition La nouvelle science des amateurs La science est-elle le dernier bastion de la recherche individuelle ou devient-elle aussi l’enjeu des nouvelles technologies de la communication ? Doit-elle s’ouvrir aux perspectives de l’intelligence collective et adopter à son tour le « web 2.0 » ? C’était un peu l’enjeu des questions posées mercredi 23 novembre à la faculté d’Orsay lors d’un séminaire du centre d’Alembert où sont intervenus François Taddei (@FrancoisTaddei) chercheur à l’Inserm, directeur du Centre pour la recherche et l’interdisciplinarité et responsable de l’initiative Universités X.0, et Thomas Landrain (@t_landrain), doctorant à l’Institut en biologie synthétique et cofondateur du biohackerspace de la Paillasse. Les nouveaux défis de l’éducation à l’heure des nouveaux défis de la science Comment passer du questionnement individuel à l’exploration collective ? Tout n’est pas uniquement question d’ordinateurs. Aujourd’hui nul ne peut connaître « toute » la physique. Du jeu d’échecs à la recherche scientifique

Fab Labs: la grande bidouille «Do it yourself, do it with others» («faites-le vous-même, faites-le avec les autres») : telle est la devise des Fab Labs, ou Fabrication Laboratories. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Normal, le mouvement est encore underground. Créés il y a une dizaine d’années au Massachusetts Institute of Technology (MIT) par Neil Gershenfeld, un professeur de physique qui proposait un cours de prototypage rapide intitulé «comment fabriquer (à peu près) n’importe quoi», les Fab Labs sont les ateliers de fabrication communautaires de l’ère numérique. Leur objectif ? Donner à ceux qui ne sont ni ingénieurs, ni designers, ni même geeks les moyens de fabriquer toutes sortes d’objets manufacturés comme à l’usine. Des plans en open source, quelques machines-outils à commande numérique, un peu d’apprentissage collectif, beaucoup de patience et d’ingéniosité… et voilà un meuble sur mesure, une pièce pour réparer sa machine à laver ou carrément le prototype d’un vélo électrique ! Apprendre ensemble

KissKissBankBank — Soutenons la création ensemble ! Qui sont donc les amateurs : l'analyse de Patrice Flichy (Visuel : L'extension des « espaces de réception créatrice » : quand les fans détournent les productions manga Naruto, via la pratique du cosplay). Et si on laissait de côté, quelques minutes, la discussion sur la qualité des contributions des non-professionnels en ligne pour mieux comprendre les ressorts qui les poussent à participer ? Voilà la proposition, simple, formulée par Patrice Flichy, professeur de sociologie à l’université Paris-Est Marne-la-Vallée et directeur de la revue Réseaux, dans Le sacre de l’amateur, publié en novembre 2010, dans la collection La République des Idées (éd. Le Seuil). Elle lui permet d'examiner cette question dans des perspectives plus lointaines, et, surtout, détachées des habituelles passions entretenues par les inconditionnels de l’UGC - comme de de ses contempteurs. – Les postulats de départ – C’est donc uniquement de l’évolution des pratiques amateurs dont il est question dans l’ouvrage. – Les arts – Commentaire de Patrice Flichy : – La chose publique –

Fab Lab fabulous !* Les 7, 8 et 9 décembre derniers, l’association S[cube], qui a vocation à diffuser la culture scientifique en Ile-de-France Sud, organisait « Agora 4.0 ». Retour sur un événement original et surprenant. « Agora 4.0 » proposait de faciliter les discussions et les découvertes par l’utilisation d’outils numériques. Le public était invité à rencontrer des scientifiques, des artistes, et des designers autour du thème du « temps », problématique phare de S[cube] pour l’année 2012. Plusieurs types d’animations étaient proposées aux visiteurs. Pêle-mêle, on peut citer : l’exposition « Sous l’œil de Chronos », des rencontres avec André Brahic, astrophysicien ou avec Hervé Chneiweiss, neurobiologiste et neurologue, une pièce de théâtre « Bouvard et Pécuchet Paradise » et… un Fab Lab ! « Fab… quoi », direz-vous peut-être ? Dans le Fab Lab d’Agora 4.0, un petit groupe s’est constitué mêlant professionnels aguerris, étudiants, et curieux.

La librairie Tartinerie | A Sarrant dans le Gers Mark Suppes, l’homme qui fusionne des atomes dans son garage Le chercheur Mark Suppes s'adonne à un loisir bien particulier, qui pose in fine la question de l'alternative à la technique utilisée actuellement dans les centrales. Rassurez-vous, ce n'est pas un savant fou. Mark Suppes et son Fusor. Musique, voyages et fusion nucléaire Depuis l’été 2010, Mark Suppes doit souvent rassurer les voisins de l’entrepôt qu’il a investi à Bedford–Stuyvesant : “ne vous inquiétez pas, je ne ferai pas exploser Brooklyn.” Les travaux de ce trentenaire hyperactif, chercheur obsessionnel et entrepreneur compulsif inspirent tantôt la crainte, tantôt l’espoir mais toujours l’étonnement car son petit hobby et sa grande passion, c’est la fusion nucléaire. Un soir de juin dernier, Mark Suppes est prêt à mettre en route son Fusor, ou plus précisément son Farnsworth-Hirsch Fusor du nom d’un autre autodidacte dont les bidouillages ont conduit aux premières expérimentations en fusion nucléaire et à l’invention de la télévision. Et ça a pris ! Fusion vs Fission Un joli rêve

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