Déclaration de conscience des animaux Bien que cela puisse ne pas sembler beaucoup pour les scientifiques de déclarer que de nombreux animaux non humains possèdent un état de conscience, c'est la première reconnaissance officielle. L'ensemble des preuves scientifiques de plus en plus importante montre que la plupart des animaux sont conscients de ce qu'ils font, de ce qu'ils sont par rapport à l'autre. De la même manière que nous le sommes et nous le faisons. Ce qui est aussi intéressant à propos de cette reconnaissance de la conscience, c'est qu'il est maintenant admis que ce degré de conscience peut émerger chez les animaux qui sont très différent de l'homme, à savoir les oiseaux (la pie par exemple qui est considérer comme un animal nuisible en France) et certains céphalopodes. Le chien agit t-il uniquement par imitation ou conscience de soi ? L'une des caractéristiques de l'auto-organisation des systèmes est que le système est toujours plus intelligent que la somme de ses parties. Partager:
Anne Dambricourt-Malassé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anne Dambricourt-Malassé est une paléoanthropologue française, née en 1959. Depuis 1987, elle est paléoanthropologue à l'Institut de paléontologie humaine, une fondation scientifique du prince Albert de Monaco. Elle obtient le premier titre de docteur du Muséum national d'histoire naturelle en paléontologie humaine en 1987. Entrée en 1990 au CNRS, elle est attachée au département de Préhistoire du Muséum national d'histoire naturelle (UMR 7194). En 2011, l'Université de technologie de Compiègne, lui décerne l'habilitation à diriger des recherches. Dambricourt-Malassé a déjà acquis une notoriété auprès du grand public en 1996 (voir le dernier ouvrage de Patrice Van Eersel "Du Pithécanthrope au Karatéka, Grasset, 2010) qui justifia sa participation à un documentaire[1] où sont exposées des thèses violemment critiquées par des chercheurs appelés à juger le film[2]. Recherches[modifier | modifier le code] Polémique[modifier | modifier le code]
Shop Cruelty Free Many of the products on our supermarket shelves, from lipsticks and deodorants to floor cleaners and washing liquids, have either been tested on animals or contain ingredients that have. Products bearing Cruelty Free International’s Leaping Bunny mark are certified ‘cruelty free’ under the internationally-recognised Humane Cosmetics and Household Products Standards. By only buying brands certified by the Leaping Bunny you are helping to save animals from a life of suffering in a laboratory - and sending out a strong message that consumers do not want cruel cosmetics or household products. Certified companies have all met our rigorous criteria, including a comprehensive independent audit, ensuring that no animal testing is conducted or commissioned for finished products and ingredients throughout the supply chain after a fixed cut-off date. A number of retailers and groups promote their own ‘cruelty-free’ schemes. Only the Leaping Bunny can provide peace of mind.
Les vaches n'ont pas de sentiments: l'auto-persuasion qui nous permet de manger de la viande Pourquoi un caniche aurait-il plus de sentiments qu’un agneau? Votre chat est-il plus intelligent qu’un veau? Des questions auxquelles des psychologues australiens ont indirectement soumis des étudiants via des tests sur leur perception des pensées des animaux. Pas de sentiments pour la boucherie Trois tests ont été menés par les psychologues. Le deuxième test a démontré que les mangeurs de viande avaient tendance à nier la souffrance animale lorsqu’on leur rappelle le lien entre la viande et la mort des animaux. 66 carnivores ont observé deux photos: une vache et un mouton dans une prairie. Le «paradoxe de la viande» Enfin, le dernier test a montré que lorsqu’on est sur le point de manger de la viande, le déni est encore plus fort. Selon les chercheurs, ces études montrent que manger des animaux ne va pas de soi dans l’esprit humain: le «paradoxe de la viande» s’illustre par le conflit entre le souci du bien-être animal, la compassion pour les bêtes, et les habitudes alimentaires.
Roman de Renart Roman de Renart est un ensemble médiéval de récits animaliers écrits en ancien français et en vers. Ces récits disparates, rédigés par différents auteurs, sont appelés à partir du Moyen Âge « branches ». Ils sont composés principalement en octosyllabes à rimes plates. Le Roman de Renart (avec l'article défini) est le titre des éditions modernes, qui considèrent cet ensemble comme une œuvre cohérente. Contexte[modifier | modifier le code] Interprétations[modifier | modifier le code] Ces textes ont des fonctions diverses : de critique sociale des classes dominantes, incapables de nourrir les petites gens ; de parodie des chansons de geste et romans courtois, mêlée d'anticléricalisme ;psychologiques (voire cathartiques) : transgression de tabous religieux (Dieu est absent et les formes sociales de la religion — pèlerinage, croisade ou simplement le clergé — sont méprisées et ridiculisées) alors que l'antagonisme central entre Renart et Primaut fait appel à la scène primitive.
Thomas Johnson répond aux accusations de créationnisme - Actualités Lettre ouverte Réponse à la mise en accusation du film documentaire Homo Sapiens, une nouvelle histoire de l'homme Diffusé sur ARTE le 29 Octobre 2005 Un film au pilon Par Thomas Johnson Réalisateur Le film que j'ai réalisé, Homo Sapiens, une nouvelle histoire de l'Homme, diffusé sur Arte, fait débat. Le film documentaire raconte que l'East Side Story, la théorie généralement admise de l'évolution de l'homme, est remise en cause par les récentes découvertes en paléontologie : l'adaptation au changement climatique ne serait pas le seul facteur du redressement de l'homme. Surprise ! Quel "débat" ! Et c'est bien là le problème ! Je leur réponds que je m'appelle certes Thomas Johnson, mais non je ne suis pas américain. Play Film qui a produit le documentaire, n'est pas non plus, malgré son nom, une entreprise américaine, mais une maison de production française, fondée il y a dix ans à Paris, par Mahmoud Chokrollahi, un français, d'origine iranienne. Alors que s'est-il passé ? Thomas Johnson
(1) «Pour un petit morceau de viande…» Les animaux: êtres sensibles, sujets de droit LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Catherine Vincent Que dit la science de l'aptitude des bêtes à ressentir la douleur ? Comment ces connaissances sont-elles prises en compte dans les textes de loi ? Ces questions étaient au coeur des journées sur "La souffrance animale, de la science au droit", organisées à Paris les 18 et 19 octobre par La Fondation droit animal, éthique et sciences (LFDA). "Dans ce domaine, les recherches françaises sont essentiellement menées par l'Institut national de recherche agronomique (INRA), dans le but de réduire la douleur dans les techniques d'élevage ou d'abattage, précise Thierry Auffret Van der Kemp, directeur de la LFDA. Chez l'homme comme chez l'animal, la douleur remplit une fonction d'alerte : elle signale à celui qui la ressent la présence d'une menace sur son intégrité physique, et lui permet de déclencher des mécanismes de défense ou d'adaptation. Variables physiologiques Mais chez les autres ? Et pourtant ! Décapodes Trois groupes
Goethe Goethe Observer le vivant pour le comprendre et pour agir en respectant sa nature profonde, tel aura été un des leitmotivs de Goethe tout au long de sa vie. Que cela signifie-t-il ? Une approche vivante, une pensée vivante ? Nombreux sont ceux qui s’élèvent contre la manipulation du vivant (manipulation génétique, clonage, etc.) car ils sentent que l’on transgresse certaines lois du vivant. Mais par contre les démarches scientifiques proposant une méthode rigoureuse adaptée au vivant et respectant son intégrité sont rares. Goethe pensait cela possible et il a ouvert des pistes fécondes en ce sens. Bref historique Il est important de comprendre l'urgence de développer une approche que l’on peut qualifier de goethéenne. Aristote peut être considéré comme l’ancêtre de la « phénoménologie » de la nature : il attachait une grande importance à l’observation concrète des phénomènes de la nature, qui le conduisit à créer sa théorie des quatre éléments, feu, eau, terre, air. Jean-Michel Florin
Sentience des animaux : Sensibilité et conscience des animaux sauvages Qu’ils soient grands singes, éléphants ou même oiseaux, les animaux sauvages sont doués d’une intelligence restée longtemps méconnue. Chaque nouvelle découverte scientifique vient brouiller un peu plus la frontière factice que certains ont tenté de tracer entre les humains et le règne animal. Bientôt, il faudra accepter d’y faire face et remettre en question nos pratiques – souvent discutables – qui leurs causent tant de souffrance… Une évasion réfléchie Une anecdote concernant les grands singes suggère cette conclusion : « Si l’on donne un tournevis à un chimpanzé, il le lancera à quelqu’un. Si l’on donne un tournevis à un gorille, il se grattera avec. Mais si l’on donne un tournevis à un orang-outan, il se libérera de sa cage. » Dans un zoo australien, en mai 2009, une femelle orang-outan de 27 ans nommée Karta s’est évadée de son enclos en faisant preuve d’une ingéniosité remarquable. La fabrication d’outils était autrefois considérée comme une caractéristique humaine.
Hierarchy of Beings Si les lions pouvaient parler - Quarto . Essais sur la condition animale Édition publiée sous la direction de Boris Cyrulnik avec la collaboration de Maurice Agulhon, Françoise Armengaud, Éric Baratay, Georges Bataille, Claude Bensch, Alain Besançon, Liliane Bodson, Philippe Brenot, Jeanne Brugère-Picoux, Florence Burgat, Marie-Hélène Champion, Robert Delort, Bernard Denis, Jean-Pierre Digard, Danielle Élisseeff, Claude Fischler, Alain Gallo, Fabienne de Gaulejac, Jean-Yves Goffi, Bernard Golse, Élisabeth Hardouin Fugier, Jacques Hassoun, Philippe Jacquin, André Langaney et Alain Lenoir La nature des relations que l'Homme entretient avec l'Animal obéit à une loi inexorable : nul ne saurait aborder le monde des animaux sans y projeter son propre univers mental, soucieux, par là, de marquer strictement la frontière entre humanité et animalité.Comment représenter le monde dans lequel vivent les animaux, quand il nous est très largement inconnu ?
L’homme au même niveau que l’anchois dans la chaîne alimentaire Dans la chaîne alimentaire, l'homme ne se situe pas au sommet, comme il pourrait le penser, mais au même niveau que... les anchois et les cochons. Bien loin, donc, d'un super prédateur. C'est la conclusion d'une étude originale, visant à mesurer l'impact de la consommation humaine sur les écosystèmes, publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences lundi 2 décembre. Pour arriver à ce résultat déroutant, l'équipe conjointe de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et d'Agrocampus-Ouest a utilisé un outil classique en écologie, mais qui n'avait jamais été appliqué à l'homme auparavant : le niveau trophique, qui permet de positionner les différentes espèces dans la chaîne alimentaire. A la base de cette échelle, et donc tout en bas de la chaîne alimentaire, la valeur 1 correspond aux plantes et au plancton. Car manger un carnivore n'a pas le même impact que manger un végétal.
Des animaux et des hommes - Luc Ferry - Collection : Biblio Essais On aura parfois l'impression, en lisant les textes ici rassemblés, que l'enjeu du discours philosophique consacré à l'animal n'est pas l'animal. Et, de fait, c'est d'abord et avant tout de l'homme qu'il s'agit, de sa définition spécifique, de ses rapports avec la sphère supérieure du divin comme avec celle, inférieure, de la bestialité. La querelle qui porte sur l'âme des bêtes est à cet égard tout à fait représentative des interrogationsqui traversent l'humanisme naissant.[...] Tout le problème, en effet, est de savoir si la pensée humaniste peut faire droit à l'idée d'un respect de la nature, ou si, au contraire, il faut aller jusqu'à évoquer un droit des êtres de nature, qui ne pourrait êtreréellement pris en compte qu'à partir d'une déconstruction radicale des présupposés de l'humanisme.LUC FERRY.