Histoire de la littérature française des origines à nos jours Poesies.net : Toute La Poésie Française. La Toile de l'Un Littérature française Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La littérature française comprend l'ensemble des œuvres écrites par des auteurs de nationalité française ou de langue française, elle peut également se référer à la littérature écrite par des citoyens français qui écrivent dans des langues de France telles que le basque, le breton, etc. La littérature écrite en langue française par les personnes d'autres pays tels que la Belgique, la Suisse, le Canada, le Sénégal, l'Algérie, le Maroc, etc. se réfère à la littérature francophone. Son histoire commence en ancien français au Moyen Âge et se perpétue aujourd'hui. Histoire de la littérature française[modifier | modifier le code] Au Moyen Âge[modifier | modifier le code] Les premiers grands textes de la littérature française datent eux du milieu du Moyen Âge (XIe siècle), époque de développement de l'agriculture et d'expansion démographique après des périodes d'invasions, d'anarchie et d'épidémies. Au XVIe siècle[modifier | modifier le code]
Poésie lue Poésie & Prose à haute voix "C’est dans la glace des autres "La poésie se forme à la surface d’un marécage." (Jean Cocteau) au Sommaire Le choix des textes est du seul fait du narrateur et n'engage en rien les participants au site evazine Pour pallier certaines défaillances aléatoires des liens, les textes enregistrés sont maintenant classés dans l'ordre alphabétique des noms d'auteurs et non plus par chronologie d'enregistrement Retour à l'accueil du site Akhénaton [Aménophis IV] ; Daniel Biga ; Claudine Bohi ; Jacques Brel ; Charles Bukowski ; Francis Cabrel ; Louis Calaferte ; Albert Camus ; Guy Chambelland ; Tristan Corbière ; Charles Cros ; Jean-Marc Couvé ; Charles Dantzig ; Denise Desautels ; Cathy Garcia ; Christine Gaudin ; Eugène Guillevic ; Franz Kafka ; Jack Kerouac ; Mylène Koziel ; Jean L'Anselme ; Werner Lambersy ; Violette Leduc ; Nathalie Lemazurier ; Patrice Maltaverne ; Ma The-yuan ; Joyce Mansour ; Michel-Ange [Buonarroti] ; jlmi ; Bernard Noël ; Jean-Claude Pirotte ; "Canzone"
Littérature Française Le sonnet - Maxicours.com Objectif : connaître les différents genres poétiques. D'origine italienne, le sonnet est un poème destiné à être chanté. Il est illustré au XIVe siècle par Pétrarque et apparaît en France au XVIe siècle avec Clément Marot et Joachim du Bellay. 1. Le sonnet se compose de quatre strophes : deux quatrains et deux tercets liés ensemble par la rime. Ex. : « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. » 2. 3. L'essentiel
Lai (poésie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir lai. Le lai est un poème à forme fixe apparu au XIIe siècle et qui a désigné successivement des genres de poésie assez différents. L’origine du lai et de son nom est peut-être née d’anciens souvenirs littéraires celtiques (liais en gallois ou laoith en gaélique) car les vieilles légendes de la « matière de Bretagne » y tiennent une grande place, mais on y trouve toujours aussi la matière de France et la matière de Rome. Au XIe siècle, le lai, en France, se rattache intimement aux romans d’aventures, dont il diffère surtout par une moindre étendue. Il n’en est, à proprement parler, que la réduction. Le lai est alors à peu près synonyme de fabliau, à cette différence que le lai était empreint de sensibilité et de mélancolie, tandis que le fabliau s’ouvrait plus volontiers à la verve et à la gauloiserie. D’euls deus fu il tut autresi, Cume del chevrefoil esteit, Ki à la codre se preneit : Ensemble poient bien durer.
Les blasons Ayant avecque lui toujours fait bon ménage, J'eusse aimé célébrer, sans être inconvenant, Tendre corps féminin, ton plus bel apanage, Que tous ceux qui l'ont vu disent hallucinant. Ç'eût été mon ultime chant, mon chant du cygne Mon dernier billet doux, mon message d'adieu. Or, malheureusement, les mots qui le désignent Le disputent à l'exécrable, à l'odieux. C'est la grande pitié de la langue française, C'est son talon d'Achille et c'est son déshonneur, De n'offrir que des mots entachés de bassesse À cet incomparable instrument de bonheur. Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques, Tendre corps féminin, c'est fort malencontreux Que ta fleur la plus douce et la plus érotique Et la plus enivrante en ait un si scabreux. Mais le pire de tous est un petit vocable De trois lettres, pas plus, familier, coutumier, Il est inexplicable, il est irrévocable, Honte à celui-là qui l'employa le premier. La malepeste soit de cette homonymie! Et que je les connais.
L’ode Genres littéraires ► La poésie ► Genres de posésie ► vous êtes ici Genres littéraires : La poésie : Les genres de poésie : Qu’est-ce que l’ode ? L’ode (n.f.) était le nom donné, chez les Grecs, à tout poème lyrique qui pouvait être chanté, et qui se distinguait en cela de l’élégie. Telles sont les odes de Pindare1 et d’Anacréon2. → La poésie lyrique. Tout ce qui agite l’âme avec violence, tout ce qui lui cause une émotion douce, tout ce qui l’impressionne et fait naître en elle un enthousiasme véritable, peut devenir la matière de l’ode. Ce poème n’est pas distingué des autres genres par la nature des sujets qu’il traite, puisque ces sujets sont très variés ; la seule différence qui existe, c’est que, dans les autres poèmes, le récit des actions est plus fréquent, tandis que dans l’ode, ce sont les sentiments portés jusqu’à l’enthousiasme qui dominent. Quel est le principal caractère de l’ode ? Quel sont les privilèges et les règles de l’ode ? Quel doit être le début de l’ode ? 1. 2. 3. 4. 5.
Qu'est-ce qu'une chanson de geste ? Dans les dernières années du XIe siècle apparaissent à peu près simultanément deux formes littéraires très différentes, mais qui toutes deux rompent nettement avec les modèles que pouvaient offrir les lettres latines, et qui toutes deux allaient constituer pour un temps les manifestations essentielles de la littérature romane : la chanson de geste en langue d'oïl et la poésie Lyrique des troubadours en langue d'oc. La plus ancienne chanson de geste, La chanson de Roland dans la version du manuscrit d'Oxford, date sans doute des alentours de 1098 et le premier troubadour, le comte de Poitiers et duc d'Aquitaine Guillaume IX, a vécu de 1071 à 1127. Définition et nature du genre : Les chansons de geste sont des poèmes narratifs chantés - comme leur nom l'indique - qui traitent de hauts faits du passé - comme leur nom l'indique également. Le mot geste est issu du participe passé au neutre pluriel du verbe «gerere » qui signifie « faire ». D'où viennent-elles ? La chanson dans le texte...
Les formes poétiques françaises: ballade, chant royal, complainte Origines. - Le mot ballade vient de l'ancien provençal ballada, qui signifie "danse": la ballade était à l'origine, aux alentours de 1250, une chanson de danse; elle était inséparable de la musique. Longtemps polymorphe, elle s'est constituée dans une forme fixe pour la première fois avec Guillaume de Machaut au XIVe siècle: celui-ci a créé la ballade dite "primitive" avec trois strophes qui reprennent la structure métrique du huitain ABABBCCB utilisé à l'époque; le dernier vers était répété pour faire le refrain. La ballade est devenue un genre défini, avec une forme fixe, quand elle a cessé d'être chantée, pour être dite. - la ballade apparaît vers le XVI° siècle. Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les cuers contre nous endurcis, Car si pitié de nous povres avez Dieu en aura de vous plus tost merci; Vous nous voyez cy attachez, cinq, six; Quant de la chair, que trop avons nourrie, Elle est pièça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et pouldre.
Rondeau (poésie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rondeau. Le rondeau classique tel que codifié par Clément Marot peut être composé selon trois structures à treize vers (plus deux refrains qui ne comptent pas pour un vers) : quintil/tercet/quintil. La forme générale du rondeau est donc : aabba aab (+ clausule) aabba (+ clausule) Le rondinet est une forme fixe très ancienne généralement usitée pour les sujets galants. Exemple : Si j’ay parlé, d'Henri Baude[1] Si j'ay parlé aucunement Des dames de religion De la basse condicion, Je l’ay fait par esbattement. Sans y pencer, soubdainement, Ce fut par bonne intention Si j’ay parlé. Car je sçay bien que loyaulment Le font par bonne affection. Et pour toute conclusion, Je m'en repens présentement (Ce texte sera mis en musique par Loyset Compère sur le titre Se j'ay parlé.) Toujours à titre d'exemple, les rondeaux du Testament de François Villon suivent aussi cette forme. Qu'un vain scrupule à ma flamme s'oppose,
Qu'est-ce qu'un poème en prose ? Le poème en prose Un « poème en prose » est un texte qui est considéré comme étant un poème alors qu'il est écrit en prose. (Petit rappel : la prose correspond à une expression "normale", courante, celle de tous les jours, c'est-à-dire quand on parle ou quand on écrit sans faire des vers et des rimes !) Les premiers « poèmes en prose » sont écrits au XIXe siècle, époque à laquelle on commence à s'affranchir des règles de la poésie. Aloysius Bertrand dans son recueil Gaspard de la Nuit (1842) présente ainsi des poèmes de forme libre, écrits en prose. Charles Baudelaire s'en inspire et compose à son tour des poèmes en prose dans Le Spleen de Paris (1869). Un poème ne se définit donc plus par son apparence poétique, avec la présence de vers rimés et réguliers, mais par des caractéristiques poétiques plus profondes, détaillées ci-après. Selon quels critères peut-on considérer un texte en prose comme un "poème en prose" ?