France : Les adolescents français migrent vers Twitter Près d'un 15-24 ans sur cinq préfère à présent ce réseau social à Facebook. Il était entendu que les adolescents ne tweettaient pas! Que les fameux natifs du digital boudaient ce réseau social jugé austère. Trop adulte à leur goût, pris en main par des technophiles et autres tendanceurs. Twitter et ses messages de 140 caractères n'avaient pas le charme d'un profil Facebook, ripoliné comme un book de star. Quelque 16% des 15-24 sont déjà sur le réseau de micro-blogging en France, selon les derniers chiffres de l'institut ComScore. Jusqu'à présent, les adolescents plébiscitaient Facebook. «Twitter, c'est juste à moi» Anaïs rit: «Tu veux parler de nos parents? À l'inverse, les risques de rencontrer sur Twitter des membres de sa famille et même ses copains de lycée restent encore faibles. Facebook a valorisé les ego, en offrant à chacun une scène.
Les adolescents sur Twitter, acte II : la mise en scène frénétique de soi Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski Cet article est le second d'une enquête en deux volets : "Comment les adolescents utilisent Twitter". >> Lire la première partie : "Les adolescents sur Twitter, acte I : "C'est histoire d'être 'in'"" [Avis aux lecteurs qui ne comprennent pas tout à Twitter : cette présentation que nous avions publiée en 2009 peut vous être utile pour l'article qui va suivre, de même que ce petit lexique du jargon employé sur le réseau.] La majorité des jeunes que nous avons interviewés revendique un usage de Twitter entre liberté et responsabilité – sous le couvert d'un certain anonymat, qui reste encore possible, avec l'usage de pseudos ou de codes introuvables par les parents. Et ceux qui utilisent intensivement Twitter sont bien loin de considérer la visibilité de leurs tweets comme un frein ou une menace. Le rythme, effréné, rappelle par contre les messages qu'ils peuvent s'envoyer par textos ou messageries instantanées. Je t'aime.
Technologie ados - Actualités D’une part ces objets électroniques sont très utiles et permettent, entre autres, de faire des recherches sans avoir à se rendre à la bibliothèque, de discuter avec des personnes de l’entourage ou des membres de la famille que l’on ne voit pas, d’écouter de la musique ou des vidéos, d’écrire des textes pour l’école, etc. Tous ces avantages sont rassemblés en un seul outil électronique. Est-ce possible ? C’est ce dont traitera le texte suivant : les nouveautés technologiques qui intéressent les jeunes du secondaire et les impacts que ces gadgets électroniques ont sur eux. L’IPhone, 4ième génération : l’invention de l’année. D’ailleurs, à la télévision, on parle de plus en plus de l’IPhone 4. Cet outil révolutionnaire possède aussi plusieurs fonctions, ce qui ajoute à sa popularité : le réseau Internet/Facebook, le téléphone, la musique, les vidéos, les notes, les jeux, l’agenda, le courrier électronique... Il est question ici de problèmes de sommeil liés à une dépendance.
Les adolescents, une génération hyper connectée en présentiel comme en virtuel Les adolescents privilégient les rencontres en présentiel. Ils se sentent plutôt bien dans leur peau et aspirent à devenir des adultes. Voilà deux des constats du dernier « baromètre Bien-être des adolescents » réalisé par Ipsos Santé pour la fondation Pfizer. L’étude porte sur 807 adolescents de 15 à 18 ans et 822 adultes de 25 ans et plus interrogés par Internet. Par rapport à 2011, 71 % des adolescents déclarent se sentir bien à l’école (+ 8 %). 73 % se déclarent satisfaits de ce qui leur arrive en 2012 (+ 6 %). 25 % se sentent mal dans leur peau, un chiffre non négligeable mais qui accuse une diminution de 8 % par rapport à l’année passée. Un décalage important entre le sentiment des adolescents et l’impression des adultes 74 % des adultes jugent que les adolescents sont mal dans leur peau, soit un chiffre trois fois supérieur à la réalité. 73 % des adolescents déclarent avoir envie de devenir adultes. Les parents, ces personnes dont ils ont le plus besoin
Les adolescents sont accros aux SMS Les adolescents, accros aux SMS ? C'est peu de le dire ! Les jeunes ont beau avoir à disposition les appels téléphoniques et les réseaux sociaux (Facebook et Twitter en tête) pour communiquer entre eux, ils restent particulièrement attachés aux courts messages textuels, qui ont été popularisés à la fin des années 1990 lorsque les téléphones portables se sont démocratisés. Le dernier observatoire réalisé (.pdf) par l'Arcep est à ce sujet révélateur. Dans cette masse de mini-messages, une part importante est générée par les adolescents. Si les messages envoyés par les adolescents sont la plupart du temps bon enfant, les SMS posent aussi de nouveaux défis à relever et apportent de nouveaux usages, pas toujours encourageants.
Les adolescents sur Twitter, acte I : "C'est histoire d'être 'in'" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski Cet article est le premier d'une enquête en deux volets : "Comment les adolescents utilisent Twitter". >> Lire la seconde partie : "Les adolescents sur Twitter, acte II : la mise en scène frénétique de soi" [Avis aux lecteurs qui ne comprennent pas tout à Twitter : cette présentation, que nous avions publiée en 2009, peut vous être utile pour l'article qui va suivre, de même que ce petit lexique du jargon employé sur le réseau.] Depuis une petite année, un phénomène n'a pas échappé aux utilisateurs de longue date de Twitter : les adolescents français ont déboulé sur le réseau. L'intuition était d'abord fugace, lorsqu'on a vu apparaître, au hasard des retweets et des mentions, des tweets au doux parfum du site Vie de merde focalisés sur la vie au lycée, les relations avec ses parents ou les révisions du bac, comme les exemples récents ci-dessous l'illustrent : L'impossibilité du nombre Bon. La découverte du réseau De nouvelles communautés
Les nouvelles technologies facilitent l'apprentissage des langues L’apprentissage des langues étrangères se développe de plus en plus par l’intermédiaire des nouvelles technologies. Tous les moyens sont bons désormais pour apprendre ou améliorer son niveau, mais est-ce vraiment efficace ? Grâce à internet notamment, il est aujourd’hui possible d’avoir accès à tout un attirail d’outils pour apprendre ou améliorer son niveau en anglais, en allemand, en espagnol, en italien ou en chinois… Du dictionnaire en ligne, qui permet de trouver la traduction exacte d’un mot, aux cours particuliers en vidéoconférence, il est donc possible d’apprendre une langue sans sortir de chez soi. Des technologies qui s'adaptent à vous D'ailleurs, de plus en plus d'écoles françaises se lancent de plus en plus dans cette tendance pédagogique, avec plus ou moins de volonté. L’autre avantage des nouvelles technologies, en plus de permettre d'apprendre de chez soi, c’est qu’il est possible d’apprendre une langue étrangère un peu partout. Apprendre pour pas cher Apprendre mieux ?
Les jeunes et internet : Deux enquêtes instructives Viennent de paraître deux enquêtes qui étudient les pratiques des adolescents sur internet : l’une porte sur les usages de Facebook par les collégiens et lycéens ; l’autre analyse le rapport des jeunes à la culture à l’ère du numérique. Les résultats de ces enquêtes s’avèrent particulièrement intéressants et édifiants dans la mesure où ils permettent de confronter le discours dominant et la réalité des pratiques. Ils peuvent ainsi éduquer notre regard sur les élèves en combattant certaines idées reçues. Ils constituent aussi une invitation à faire d’internet à l’école un véritable espace éducatif. Le Dictionnaire des Idées reçues version 2012 Jeune : individu décérébré, c’est-à-dire illettré (il n’aime pas lire, il ne s’intéresse pas à la culture…) et irresponsable (sur internet, il se met en danger et met en danger autrui). Réseaux sociaux : lieu de dérives diverses, de vains échanges et de mauvaises rencontres (à filtrer en priorité dans tous les établissements scolaires).
Pratiques informationnelles informelles des adolescents Karine Aillerie a soutenu en décembre 2011, une thèse en Sciences de l'information et de la Communication sous la direction de Roger Bautier (Labsic Paris 13) dont le titre est « Pratiques informationnelles informelles des adolescents (14 – 18 ans) sur le Web ». Bonjour, tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce sujet de thèse ? J'ai eu le CAPES de documentation en 1997, j'ai donc débuté mon activité professionnelle, en tant qu'enseignante documentaliste, au moment où « débarquaient » les « autoroutes de l'information » dans les établissements scolaires en général et dans les CDI en particulier... Comment avez vous géré le traitement d'un sujet de recherche aussi proche d'une pratique professionnelle quotidienne ? Pour réaliser ce travail, il m'a fallu me décentrer… sortir de l'objet de recherche que je pratiquais au quotidien... ce qui n'a pas toujours été facile ! Les adolescents sont-ils « sensibles », « conscients », « intéressés » par la sérendipité ?
Comment les adolescents communiquent-ils entre eux avec les outils mobiles ? De juin à novembre 2011, l’observatoire ConsumerLab de la firme Ericsson a consacré une étude pour analyser le comportement des jeunes de 13 à 17 ans et les implications que cela a sur des comportements de socialisation avec leurs pairs. « Les comportements s’inscrivent dans une dynamique et évoluent au cours d’une vie. En grandissant, les adolescents se mettent à employer les mêmes outils de communication que les adultes. Bien sûr, ils continuent d’utiliser « leurs » outils, c’est-à-dire les textos, Facebook et le chat vidéo, mais ils comprennent peu à peu la nécessité d’utiliser également l’e-mail ou la voix », explique Ann-Charlotte Kornblad, consultante au sein du ConsumerLab d’Ericsson. L’étude indique que l’utilisation courante des SMS et de Facebook a modifié la dynamique des rencontres chez les adolescents. Autre point mentionné : faire passer son statut Facebook de « célibataire » à « en couple » est désormais perçu par les amis comme une déclaration officielle. Licence :
Le Web stimulerait plus le cerveau que le papier Le Web des ados : la vie en musique Que font les ados lorsqu’ils se connectent sur le Web via leur ordinateur ou leur téléphone portable ? S’ils passent beaucoup de temps à communiquer entre eux, ils regardent aussi sur la Toile des séries, des vidéos, des films ou écoutent de la musique facilement accessible légalement ou illégalement… Beaucoup de fichiers téléchargés illégalement Si le téléchargement illégal de musique a diminué chez les plus âgés (65 % des 15-17 ans, 56 % des 13-15 ans), il s'est envolé chez les 11-13 ans puisque 83 % piratent, malgré l'existence de la Carte musique jeune. Subventionnée à hauteur de 50 % par l'État et destinée aux 12-25 ans, elle leur permet de télécharger légalement de la musique sur l'un des services de musique en ligne partenaires. De la musique immatérielle L’écoute de musique en streaming (en continu, sans avoir besoin de télécharger un fichier) progresse : 14 % des 7-12 ans et 34 % des 13-19 ans écoutent ainsi leurs morceaux préférés. Facebook connaît la musique !