La méthode pour auditer son e-réputation 08 juin 2011 Aujourd’hui, l’e-reputation est une préocupation au coeur des entreprises. Une mauvaise réputation en ligne peut rapidement nuire à l’image de votre société. Fini le temps ou on pouvait faire l’autruche et garder la tête dans le sable en se disant « ça va passer ». Devenir acteur de son e-réputation est devenu incontournable. Nous vous proposons un tour d’horizon de la méthode pour auditer votre réputation en ligne. Identifier les sources Pour dresser l’état de votre e-réputation, il faut tout d’abord identifier les sources qui citent votre marque. Avant de vous lancer… Réalisez un support complet. Vous pouvez vous aider d’outils spécifiques : ils vous permettront de vérifier les résultats que vous aurez recueillis. De la méthode ! 1. Une première piste pour votre e-réputation est, sans conteste, le système de suggestion des moteurs de recherche. 2. Une fois que vous avez testé différentes suggestions, testez les requêtes associés à votre marque. 3. 4. Les actions 1. 2. 3. 4. 1.
Sea Shepherd et Paul Watson – Comment ? Pourquoi ? Paul Watson, un militant écologique qui se bat depuis plusieurs années pour la défense des océans a été arrêté en Allemagne à la demande du Costa Rica. Si je vous parle de lui dans cet article, c'est parce que j'ai été touché par ce qui lui arrive (grâce à un lecteur du site qui m'a sensibilisé au sujet) et je souhaite partager avec vous son histoire. Je ne connaissais rien de Paul Watson jusqu'à la semaine dernière, et je vous retranscris ce qu'on m'a envoyé et ce que j'ai pu trouver sur le net. Toutefois, si vous voyez des corrections ou des éléments à apporter, n'hésitez pas à me contacter par mail sur : blog @ korben.info Qui est Paul Watson ? Paul Watson est un Canadien (et Américain), Président fondateur de l'ONG Sea Shepherd. L'histoire de Sea Shepherd et de Paul Watson Depuis 2004, Sea Shepherd va chaque été austral (hiver chez nous) s'opposer "énergiquement" aux baleiniers japonais qui chassent illégalement les baleines dans le sanctuaire protégé en Antarctique.
E-réputation L'e-réputation, parfois appelée web-réputation, cyber-réputation, réputation numérique, sur le Web, sur Internet ou en ligne, est la réputation, l’opinion commune (informations, avis, échanges, commentaires, rumeurs…) sur le Web d'une entité (marque), personne morale (entreprise) ou physique (particulier), réelle (représentée par un nom ou un pseudonyme) ou imaginaire. Elle correspond à l’identité de cette marque ou de cette personne associée à la perception que les internautes s'en font[1]. Le terme e-réputation est apparu en 2000 dans l'une des nombreuses études suisses-allemandes et américaines consacrées aux relations entre réputation du vendeur et performances des ventes sur les sites d'enchères en ligne[3]. En 2001, le terme e-réputation apparaît plus franchement sur un article titré « E-réputation et le management des marques »[4]. Selon le sociologue Antonio Casilli, la confiance numérique dépend principalement du niveau de sociabilité des acteurs concernés[10],[11],[12].
2 guides pratiques sur l'E-Réputation à l'usage de tous Dimanche 12 septembre 2010 7 12 /09 /Sep /2010 13:35 A l'occasion de l'anniversaire de leur blog Digital Blog Réputation Amal Belkamel et Amine Benhamza ont coordonné un projet collaboratif qui a donné vie à deux guides pratiques sur l'e-réputation répondant aux questions suivantes : De quoi parle-t-on ? L’internet, le web, le web social, l’e-réputation à l'usage des individus Comment construire son identité numérique? Comment gérer sa présence en ligne? Les contributeurs de qualité à ce projet : Alexandre Villeneuve, Amal Belkamel, Amine Benhamza, Aref Jdey, Ana Athayde, Antoine Montoux, Camille Alloing, Emilie Ogez, Fabrice Epelboin, Frédéric Martinet, Gauthier Barbe, Jean Dubearnes, Jean-François Ruiz, Joël chaudy, L'équipe Blueboat, Laurent Magloire, Marie Giraud, Michelle Chmielewski, Olivia Calcagno, Olivier Zara, Régis Vansnick, Roland Crepeau, Robert Cailleau et Thibault Souchet. Consulter le guide pratique à l'usage des individus : Billets en relation : Partager l'article !
Whaktt : Méthodologie d'évaluation et audit d' e-réputation Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet Les Français n’aiment pas Internet (1). Est-ce le résultat d’une nouvelle enquête menée auprès de 85 internautes? Nan. En fait, précisons: les élites françaises n’aiment pas Internet. Enfin… les élites… Disons les gens dont on parle dans les médias. Florilège des propos anti-web classés par «métiers» publicité Les politiques Michèle Alliot-Marie, Le Figaro, le 5 septembre 2011 «A travers les blogs et les tweets, il y a une mise en cause des principes de l’information. Patrick Ollier, à Public Sénat le 23 février 2011 «Les .fr vont chercher des infos dans le caniveau.» Nadine Morano, le 15 août 2008 «Internet, c’est comme une magnifique voiture de course. La même à Rue89, le 8 mai 2008 «Ah, Internet, je déteste, c’est le temple des rumeurs et de la caricature.» Jacques Myard, à l’Assemblée nationale en décembre 2009 «J’espère que l’on va prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau.» Rassurez-vous, à gauche aussi Ségolène Royal, le 21 septembre 2009: Les gens de la télévision Oui. 1.
Les salariés restent méfiants quant aux effets des innovations sur l'emploi - Les Echos Énergie - Environnement Total : Christophe de Margerie meurt dans un accident d’avion DE NOTRE CORRESPONDANT A MOSCOU Le jet privé du PDG de Total a percuté au décollage une déneigeuse à l’aéroport de Vnukovo. Christophe de Margerie venait... Politique Quand le PDG de Total s'interrogeait sur "le modèle français" A l’approche de la rentrée, cinq personnalités nous livrent leur regard sur les sujets qui rythmeront l’actualité des semaines à venir. Emotion et stupeur après le décès de Christophe de Margerie Les hommages se multiplient après la mort du patron de Total.
E-réputation et pinterest 10 pistes de sources potentielles d’audience sur le web C’est Suite a la lecture de l’article « 15 google analytics Advanced segment ideas for social media » qu’il m’a semblé intéressant de faire un article sur les sources de visiteurs gratuites que l’on peut exploiter. Avec l’arrivé des « medias sociaux » puis des sites tel que Pinterest, Tumblr, Scoop it… Les opportunités de diversification d’audience se multiplient. Autant de sources qui permettent également d’obtenir du trafic qualifié. Le but étant de capter un maximum d’internautes tout en gardant en tête que tout le monde ne se sert pas des mêmes outils, ne fréquente pas forcément les mêmes relais d’audience. Je passerai sur Twitter, Facebook et Google +… dont on connait la porté, pour s’intéresser à ce que l’on peut avoir comme autres sources. Je ne vais pas énumérer tous les sites mais seulement les catégories. On constate que le paramètre « social » joue pour beaucoup et que nous sommes clairement dans une ère de partage, chacun de nous étant récepteur et émetteur d’informations.
Google: Bing Is Cheating, Copying Our Search Results Google has run a sting operation that it says proves Bing has been watching what people search for on Google, the sites they select from Google’s results, then uses that information to improve Bing’s own search listings. Bing doesn’t deny this. As a result of the apparent monitoring, Bing’s relevancy is potentially improving (or getting worse) on the back of Google’s own work. Google likens it to the digital equivalent of Bing leaning over during an exam and copying off of Google’s test. “I’ve spent my career in pursuit of a good search engine,” says Amit Singhal, a Google Fellow who oversees the search engine’s ranking algorithm. Bing doesn’t deny Google’s claim. As you might imagine, we use multiple signals and approaches when we think about ranking, but like the rest of the players in this industry, we’re not going to go deep and detailed in how we do it. Later today, I’ll likely have a more detailed response from Bing. Hey, Does This Seem Odd To You? Got it? To Sting A Bing
Les bouleversements du travail à l’ère numérique 9 sept. 2014 Comment concilier progrès technologique, progrès environnemental et progrès social à l’heure de la révolution numérique ? C’est le thème d’un programme de recherche lancé lundi à Berlin par la ministre allemande de l’Éducation et de la recherche, Johanna Wanka. Un milliard d’euros d’ici à 2020 Ce programme, baptisé « Innovation pour la production, les services et le travail », sera mené en étroite concertation avec les partenaires sociaux. « La numérisation et l’industrie 4.0 bouleversent la production, les services et le travail dans leurs fondements mêmes. Le programme fait partie de la nouvelle stratégie gouvernementale pour la haute technologie, qui vise à soutenir la compétitivité de l’Allemagne en accélérant la transformation d’idées novatrices en innovations concrètes. Industrie 4.0 La numérisation représente aussi la promesse d’un avenir plus sobre sur le plan énergétique. Services : la révolution de « l’intelligence » Et les salariés ?
Sociétés : «Un scandale peut aussi servir la notoriété des marques» INTERVIEW - Alors que Costa Croisières n'exclut pas d'abandonner sa marque, Pierre-Louis Desprez, directeur général de KAOS et président du BEC Institute, estime que faire ainsi table rase du passé n'est pas toujours une stratégie judicieuse. Costa Croisières et le naufrage du Concordia, Festina et le dopage, Toyota et les rappels massifs de voitures, ce type d'affaires fait toujours couler beaucoup d'encre et ébranle au passage la réputation de grandes marques. Face à l'émotion générale, certaines font le choix de changer de nom pour faire table rase du passé. Une stratégie très coûteuse et pas toujours payante. Pierre-Louis Desprez, président du BEC Institute. Lefigaro.fr: Quels secteurs d'activité sont les plus sensibles au scandale? Pierre-Louis Desprez: Le secteur alimentaire est particulièrement sensible car il touche toutes les familles. Les marques éclaboussées par le scandale doivent-elles changer de nom? P-L. P-L. » L'avenir de la marque Costa Croisières est menacé
Veille en PME : quels outils pour surveiller ses concurrents ? - Journal du Net Solutions Les grandes entreprises disposent de nombreuses solutions pour scruter leur environnement concurrentiel. Des services en ligne gratuits et des offres SaaS sont à la portée des PME. Si l'on ne compte plus les solutions de veille - voire d'intelligence économique - proposées aux grands comptes par de nombreux éditeurs (AMI Software, Arisem, Digimind, ...), celles dédiées spécifiquement aux besoins des TPE/PME se font bien plus rares. Pourtant, ces dernières ont certainement, et à plus d'un titre, à prendre en charge des problématiques liées à la veille. En particulier pour suivre l'activité de leur marché et concurrents. Dotées de moyens (financiers, humaines...) moins important que leurs homologues grands comptes, les entreprises de taille modeste doivent dès lors s'adapter et se tourner vers des solutions alternatives. "En dépit de leurs contraintes, il tout à fait possible pour ces entreprises de pratiquer une veille efficace.