Premières Nations - Peuples amérindiens Selon les hommes de science, l'arrivée par vagues successives de petits groupes de chasseurs nomades provenant des steppes de l'Asie, serait à l'origine du peuplement du continent il y a environ 50 000 ans. S'appuyant sur les résultats de fouilles archéologiques, on croit qu'une longue période de glaciation aurait permis la traversée du détroit de Béring. Ce dernier étant peu profond et la distance entre les 2 continents étant alors de 80 km, cette hypothèse est plausible. Ces arrivants courageux, déterminés et persévérants se sont laissés guider par les animaux qui leur ont en quelque sorte montré la voie et dont ils se nourrissaient. Chaque peuple a adopté et perfectionné son mode de vie, évoluant selon une étroite dépendance face à l'environnement. L'apparition des premières Nations en Amérique du Nord remonterait à plus de 20 000 ans. Dans un premier temps, ces chasseurs sont confinés à l'Alaska et au Yukon par d'immenses glaciers. Déclaration des Premières Nations
Brève histoire de l’immigration aux États-Unis | Europe-Hollywood Promotion de la construction de la Statue de la Liberté dans la presse new-yorkaise en 1884 L’immigration européenne constitue un élément fondateur et fondamental de l’histoire des États-Unis, sorte de leitmotiv de son développement. Elle est la raison majeure de sa naissance comme de son évolution et ne connaît pas de récession véritable jusqu’à aujourd’hui. Des phases historiques différentes peuvent être identifiées au sein de ce gigantesque réseau migratoire, en raison des facteurs historiques et politiques motivant les flux ou des aires culturelles concernées. Loin d’être exhaustive ou de mentionner la totalité des mesures étatiques et des évènements qui ont jalonné ces périodes, la brève histoire de l’immigration américaine ici proposée a vocation première à contextualiser le transfert culturel Europe-Hollywood. 1820 : l’institutionnalisation de l’accueil et du recensement des migrants 1860 : le début d’une immigration de masse Débarquement d'immigrants à Castle Garden en 1880
Chamanisme Amérindien L’animal totem est un guide choisi pour nous aider, dont les qualités correspondent à nos besoins en matière d’initiation chamanique. Nous pouvons avoir comme totem un animal mythique, une licorne ou un griffon... Il ne faut pas oublier que tout est possible. Par conséquent, nous ne devons pas nous limiter en choisissant d’avance un animal sans savoir s’il vous convient. - Il est conseillé de laisser l’Univers choisir pour nous ! Le mieux est de chercher notre animal totem et de converser avec lui. Ce guide est un allié , pas un serviteur ; nous devons conserver une attitude respectueuse envers lui. Voici un bref résumé des pouvoirs et des capacités des animaux totems AIGLE : représente le Pouvoir de l'Esprit, la grande sagesse, l'autorité et le pouvoir, le courage. ARAIGNÉE : C’est la tisserande des rêves de l’humanité . BALEINE : considérée comme le maître de l'océan. BÉLIER : signifie la percée, la réussite. BICHE : Elle représente la douceur. FOURMI : symbolise la Patience.
Silicon Valley: les secrets d'une r?ussite A la différence des sociétés d'informatique de la Route 128 près de Boston, celles de la Silicon Valley entretiennent des relations de coopération et de concurrence étroites entre elles et les institutions locales. Pour Anna Lee Saxenian, cette organisation en réseau, ouverte sur l'environnement extérieur, est la clé de la réussite de la mythique Silicon Valley. Ceux qui étudient le développement régional considèrent en général la Silicon Valley et la Route 128 (dans le Massachusetts, près de Boston) comme des exemples classiques de dynamisme. Une dynamique qui s'est constituée grâce à l'accumulation de compétences technologiques, de capital-risques, de l'agglomération de fournisseurs et de services spécialisés, de la présence d'infrastructures et enfin de l'essaimage des savoirs, rendu possible par la présence d'universités et de flux d'informations informels. Des données régionales illustrent les différences de leur sort. Réseaux régionaux versus firmes indépendantes Anna Lee Saxenian
Matriarcat Iroquois Les Iroquois (ou Haudenosaunee) connus aussi par l’expression Cinq-Nations comprennent effectivement cinq et puis plus tard six nationsamérindiennes de langues iroquoises vivant historiquement dans le nord de l’État de New York aux États-Unis au sud du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent. La plupart des quelques 125 000 Iroquois vivent aujourd’hui en Ontario au Canada et dans l’État de New York. D’autres vivent au Wisconsin, au Québec et en Oklahoma. Seule une petite minorité des Iroquois parle aujourd’hui une des langues iroquoises dont notamment près de 1 500 locuteurs du mohawk dans le village Kahnawake, au sud de Montréal. Un état matriarcal Les Iroquois sont ceux qui se rapprochent probablement le plus de l’état matriarcal. La position sociale de la femme iroquoise Les Iroquois vivaient dans des villages de 2000 habitants et plus et étaient jardiniers ou chasseurs. La mère possède la terre, le foyer, et les enfants Gestion des terres par le conseil des mères Divorce à l’iroquoise
En finir avec le genre ? (Le Monde, 15 août 2013) | Sébastien Chauvin En finir avec le genre ? Chiche ! (Op-ed, Le Monde) Par Laure Bereni, Sébastien Chauvin, Alexandre Jaunait et Anne Revillard. [Une version réduite et modifiée de ce texte est parue dans Le Monde daté du 15 août 2013 sous le titre : « Il faut d’urgence parler du genre à l’école ».] Ce n’est pas le moindre paradoxe des contempteurs français des études sur le genre que leur crainte que les découvertes de ce champ de recherche ne trouvent une traduction à l’école sous la forme d’enseignements et de matériaux plus neutres. Mais un système d’inégalité reproduit de siècle en siècle serait-il aussi fragile que sa simple mise à jour suffirait à le faire s’effondrer comme un château de cartes ? Une partie du grand public a récemment découvert que la notion de « genre » pouvait être utilisée au-delà de son usage courant (qui renvoie au « genre grammatical », féminin ou masculin) pour désigner, plus largement, les rapports sociaux entre les femmes et les hommes, entre le masculin et le féminin.
Confédération des 6 nations iroquoises Les sauvages américains, des peuples démocratiques Les immigrants venus en Amérique à l’époque coloniale cherchaient la liberté. Ils en ont trouvé l’exemple dans la confédération des Iroquois, comme chez d’autres nations indiennes du continent. Des rapports égalitaires régissent les relations entre membres d’une même tribu, car les Amérindiens éprouvent une aversion pour la subordination. Un rôle clé dans la diplomatie avec les européens Dans tout l’est de l’Amérique du Nord, les nations indiennes avaient formé des confédérations avant l’arrivée des immigrants européens : les Séminoles dans ce qui est aujourd’hui la Floride, les Cherokees et les Choctaws dans les Carolines, et les Iroquois et leurs alliés les Hurons dans le nord de l’État de New York et dans la vallée du Saint-Laurent. Des sociétés confédérales matrilinéaires La famille iroquoienne est constituée de six confédérations, chacune regroupant de nombreuses nations amérindiennes. Une société idéale Un modèle à suivre pour s’unir
Biographie - Malcolm X (Malcolm Little) Biographie de Malcolm Little (alias Malcolm X) MALCOLM LITTLE, connu plus tard sous le nom de Malcolm X, est né le 19 mai 1925 à Omaha, son père Earl était pasteur de l'Eglise bâptiste et militant de la Universal Negro Improvement Association, fondé par Marcus Garvey (pasteur d'origine Jamaïquaine et qui préconisait le retour des noirs d'Amérique vers l'Afrique), sa mère Louise était d'origine antillaise et avait la peau très blanche car sa mère avait été violé par un blanc ; elle détestait son tint blanc. Malcolm était le quatrième enfant né du couple mais le septième de son père qui avait eu trois enfant d'un précédent mariage, après lui vinrent encore deux enfants. Malcolm est de ses frères et soeurs celui qui à le tint le plus blanc, ses cheveux crépus, comme sa peau, sont roux. Malcolm décide alors de quitter ce lycée et ce milieu blancs qu'il ne veux plus fréquenté. Il part s'installer à Boston chez sa demi-soeur Ella qui habitait une maison dans un bon quartier de la ville.
Ecritures manuscrites Ecritures latines manuscrites Les écritures latines manuscrites ont évolué au cours des âges, notamment en fonction des instruments utilisés pour écrire et des finalités de l'écriture. Avant l'introduction en Europe occidentale de techniques de reproduction de l'écrit, au XVe siècle, toute écriture y était manuscrite. L'introduction de l'imprimerie avec des caractères mobiles en Europe occidentale, dans la seconde moitié du XVe siècle, entraîne un premier rétrécissement de la sphère d'utilisation de l'écriture manuscrite, réservée à des documents en un exemplaire ou en un petit nombre d'exemplaires (courrier, actes notariés, manuscrits destinés à l'impression, etc.). Techniques d'impression de Gutenberg En Chine, le développement de procédés de reproduction de l'écrit à partir du VIIe siècle n'a pas eu les mêmes effets. Machine à écrire Au fil des siècles, l'écriture manuscrite a donc perdu en grande partie son rôle dans la communication au sein de la société. Trois exemples. 1. Bâtarde Ronde
Pourquoi l’immense majorité des viols ne terminent jamais aux assises Procédures longues, policiers sans tact... Souvent, les victimes de viol que Nolwenn Weiler rencontre soupirent : « Si j’avais su, je n’aurais pas porté plainte. » Entretien. Nous l’avons appris en fin de semaine, la justice rennaise a tardé six mois avant de faire un test ADN dans une enquête pour viol. Une analyse qui aurait peut-être pu éviter trois viols supplémentaires, vraisemblablement commis par celui qui est poursuivi pour l’agression. La victime et son avocat dénoncent un dysfonctionnement dû, selon eux, à un manque de budget, tandis que le parquet rétorque que son choix a été guidé par un souci d’efficacité : il aurait pris la décision de ne pas demander l’analyse, puisqu’il estimait que les chances d’obtenir des preuves étaient faibles. Les réactions des médecins, de la police, voire des proches dans les affaires de viols ne sont pas toujours très compréhensives ou appropriées. Seulement 3% des viols sont jugés Les peurs légitimes des victimes Une procédure éprouvante
Naissance. Invention de l'Ecriture. En Images Naissance de l’écriture Dans la Mésopotamie antique, les premiers signes d’écriture apparaissent pour répondre à des besoins pratiques : comptabiliser des têtes de bétail ou des sacs de grains. Le plus ancien témoignage d’écriture connu date de 3 300 avant notre ère. Ce sont des tablettes sumériennes en écriture pictographique. Liste de noms propres. Au IVe millénaire avant notre ère se développe dans le sud de l’Irak actuel, une culture différente. Ce passage d’une société agricole à une société urbaine oblige les Sumériens à créer un système d’écriture. Hiéroglyphes. © dinosoria.com Ce système d’écriture ne transcrit pas les sons de la langue, mais présente des signes images ou pictogrammes. Ces systèmes d’écriture ne sont donc pas fondés sur le phonétisme pur. Hiéroglyphes sur le sarcophage de Toutankhamon. © dinosoria.com La cité d’Ourouk (ou Uruk) se transforme progressivement en une ville aux dimensions imposantes. L’argile devient le support privilégié de l’écriture à Sumer. Mayas
Veille permanente féministe L'Aventures des écritures. Naissances : chronologie Généalogie du signe et mémoire du graphe Nos signes d’aujourd’hui ont connu leur époque mythique et légendaire avant de servir d’introduction à l’histoire : nos lettres sont intimement liées, le plus souvent à notre insu, aux graphies les plus anciennes. Comme nos visages ont un air de famille avec ceux de nos aïeux, les lettres sont aussi modelées à la ressemblance de leurs aînées ; leurs traits, leur physionomie résultent d’une longue transmission. Avons-nous souvenance, lorsque nous traçons la lettre a, d’évoquer par ce signe une tête de bœuf ? Ces lettres que nous traçons quotidiennement sont le plus récent état d’une perpétuelle métamorphose.
Vous avez un problème avec l’égalité ? Bon c’est pas tout ça les vacances, mais faudrait peut-être s’y remettre. Au-delà du petit carnet de voyage improvisé que je vous ai fait partager, il faut que je vous raconte. L’été, c’est un espace concentré de rencontres en tous genres. Des gens qu’on ne rencontre pas d’habitude. Soit ils habitent à l’autre bout de la terre, soit on a soigneusement fait en sorte de ne pas trop les croiser. Mais bon, là, c’est les vacances. Bref, entre le premier et le dernier contact (de nature aussi variée comme quand c’est les vacances quoi), il se passe plein de trucs passionnants. « Ah, ouais non le féminisme c’est pas trop mon truc… » Le militant-e-s féministes ne seront pas surpris-es. « Le féminisme c’est juste du paraître, faire semblant d’être parfait. » C’est peut-être la moins stupide des interrogations. « Mais t’es maso non ? Evidemment : si je suis féministe, c’est parce que j’aime souffrir. « J’ai rien contre les femmes mais… » et sa variante plus connue : « j’aime les femmes mais… »