Les responsables marketing vont miser sur la publicité en ligne d'ici à 2017
Que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe, les dépenses marketing dans la publicité digitale seront au beau fixe dans les cinq années à venir. Les plateformes ad exchange et la vidéo devraient se tailler la part du lion. Les dépenses publicitaires en ligne vont croître dans le monde entre 2012 et 2017. Selon les prédictions d'un rapport de Forrester, la hausse sera de 17% les cinq prochaines années aux Etats-Unis passant de 12,7 à 28 milliards de dollars. En Europe, elle sera légèrement moins élevée avec un taux annuel moyen de 13% - passant de 4,8 milliards d'euros en 2012 à 7,7 milliards d'euros en 2016. L'augmentation est telle que les dépenses dans la publicité digitale devraient dépasser celles dédiées aux médias traditionnels qui ne progresseront en moyenne qu'à un taux de 1,1% jusqu'en 2017. Bonnes prévisions pour la vidéo et les plateformes ad exchange Arrivée à maturité
Pourquoi acheter votre store locator chez un spécialiste ?
Quand vous avez des problèmes de coeur, vous attendez de votre médecin généraliste qu’il vous envoie vers un spécialiste : un cardiologue. Il en va de votre santé et la santé ça n’a pas de prix. Dans l’informatique c’est pareil, il existe de nombreuses spécialités : l’ e-commerce, la communication, l’évènementiel, l’affiliation, le webmaketing, le référencement, l’outil de paiement… et bien entendu le store locator. Une seule et même entreprise qui ferait tout, oui c’est possible, mais jamais dans l’intérêt du client ! S’il est souvent plus simple pour une entreprise de ne travailler qu’avec un seul prestataire, cette méthode n’est pas sans risque : - l’entreprise peut avoir le sentiment d’être menottée surtout au moment de s’engager sur un devis. - si son prestataire refuse de s’ouvrir, l’entreprise ne bénéficie pas des dernières innovations qui sont pourtant à sa portée. - l’entreprise paye plus chère certains services moins performant et moins pérenne. - d’en mesurer la performance.
Understanding online customer experience: four key trends
Mobile is becoming a focal point as companies invest more time in understanding the multichannel customer experience, according to research published today. The second annual Reducing Customer Struggle report, published by Econsultancy in association with Tealeaf, looks in detail at the extent to which companies understand the overall online customer experience across online and offline channels and the approaches or types of technology they use to identify and address issues. The reseach has found that companies still have a limited understanding of the mobile user experience. The study is based on a global online survey of almost 500 business professionals working for companies involved in e-commerce and online business. More companies are looking at why things are happening, not just what is happening Marketers are increasingly using a wide variety of methods to identify customer experience issues and reduce the impact on the customer.
La fin prochaine du e-commerce tel que nous le connaissons ? par Pascal Podvin - Chronique e-Business
Depuis les déclarations en février 2012 du PDG de Sainsbury’s, Justin King, appelant le petit commerce à simplement accepter son destin et se résigner à disparaître, la « mort du commerce de proximité » est à nouveau un sujet brûlant dans les médias. Le e-commerce a été considéré comme l’un des responsables des déboires des commerces « bricks and mortar ». Mais c’est un jugement biaisé, qui suggère une cannibalisation des canaux commerciaux entre eux, alors que la véritable tendance est, au contraire, celle d’une complémentarité dont le potentiel est quasiment illimité.Si les consommateurs ne se restreignent plus à faire leurs achats dans les magasins traditionnels, ils ne souhaitent pas non plus faire leur shopping exclusivement en ligne. Le magasin éphémère ne proposait que les articles présents sur le catalogue en ligne.
TechCrunch
What The Fancy Is Doing Right With Online Shopping
Do you ever wonder how we functioned before the Internet? Imagine booking travel, shopping for real estate or sending flowers before being able to do so with a click on your keyboard. Do you even remember how it was done? While it has been disruptive for less than two decades, the pervasiveness of online shopping has made e-commerce feel like it’s been around for a whole lot longer. The Fancy is a great example of such an upstart. I’m naturally drawn to people, brands, and companies that realize opportunities and solve challenges through a careful combination of simplicity, common sense, and determination. Design-Centered The visually designed user-experience of many e-commerce sites can be uninspired and uninteresting. Crowd Curated Fancy is curated by its users, a cool-hunting, trend-forward bunch. DIY Retailing Fancy is fully exploiting the power of the personal influencer through one of their most recent updates, which allows users to, in effect, create their own online retail store.
Comment PurePeople cartonne à contre-courant de la pub en ligne
PurePeople, PureMedias, mais aussi PureShopping ou PureTrend... Ces sites centrés sur le divertissement en tout genre font partie de la même galaxie créée par Webedia depuis cinq ans. Alors que la publicité en ligne fait grise mine, la société, qui emploie 130 personnes, va réaliser un chiffre d'affaires de 19 millions d'euros, en hausse de 80% sur un an, pour un bénéfice d'exploitation de 7 millions d'euros, contre 1 million en 2011. Un exploit à l'heure où aucun média ne réussit à vivre de la publicité en ligne, même si la croissance s'explique aussi par toute une série d'acquistions (Ozap, CanalBlog, Shopoon...). Sur Internet, Webedia cible une clientèle féminine et familiale, très prisée des publicitaires, déclinant ses marques sur l'ensemble de ces centres d'intérêts. Sortie prochaine des fonds d'investissement Déjà, Webedia, qui a levé en 5 ans 10 millions d'euros auprès de Ventech, Xange et Idinvest, est à la croisée des chemins.
BLOG E-COMMERCE de François Ziserman, Expert e-commerce
Mon humble réponse à cet article des Echos qui retrace la vie de quelques gros acteurs du ecommerce Français : Pixmania, Rueducommerce, CDiscount, Oscaro et Priceminister L’analyse du journaliste, pour faire simple, c’est de dire que les finances n’ont pas suivies. Peut être… Mais je pense qu’il y a une autre raison : la culture technique. La force d’Amazon, c’est d’avoir monté un système d’information qui est une machine de guerre. Le e-commerce, c’est du « techno-marketing ». Il faut intégrer les notions d’acquisition de trafic : SEO, SEM. Il faut de plus développer une culture de la data : mettre en place les outils pour avoir de la donnée, et faire de l’analyse. Mais il faut également avoir une vrai vision de l’urbanisme de son système d’information ecommerce… C’est sur ce dernier point que, je pense, on pêche le plus. La difficulté, c’est le passage à l’échelle. Bien sûr, quand on démarre, il ne s’agit pas d’urbanisme. Le problème ?