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FAITS ET CAUSES | Une perspective juridique sur l'actualité
L'Aut'Journal - Journal libre et indépendant
Depuis deux semaines, la presse canadienne anglaise se passionne pour l’affaire Richard Fadden, du nom du directeur du SCRS, le service de renseignement canadien, qui, lors d’une entrevue à la CBC la veille de l’arrivée en sol canadien du président chinois Hu Jintao pour le Sommet du G-20, a laissé entendre que deux ministres provinciaux et des conseillers municipaux étaient sous « influence d’un pays étranger », lire la Chine. Ses propos ont créé un malaise certain au sein de la communauté chinoise et ont mis dans l’embarras le gouvernement Harper qui, après s’être d’abord montré fort tiède à l’égard de la Chine, en fait maintenant une priorité pour les relations commerciales du Canada, étant donné les difficultés du principal partenaire économique du pays, les États-Unis. Richard Fadden a « nuancé » par la suite ses propos, mais on s’explique toujours mal une telle sortie, étant donné qu’il n’est pas un néophyte en matière de renseignement. Une déclaration stupéfiante Retour d’ascenseur
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