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Organiser sa veille avec les outils gratuits. Etape n° 3 : trouver les sources

Vous avez élaboré une méthode pour organiser votre veille, vous en avez délimité le périmètre et trouvé les bons mots clés et nous arrivons maintenant à l’étape cruciale : l’identification des sources à surveiller. A cette étape il s’agit d’identifier : Les sites ressourcesLes personnes ressources Sites ressources Sources sectorielles « officielles » Avant toute chose et avant de se jeter sur Google, il faut identifier les sources d’information « officielles » du secteur que vous souhaitez capter : Publications, journauxOrganismesPortails Et pour cela référez vous aux précédents articles de ce blog consacré à la recherche d’informations sectorielles et celui consacré à la presse.Et dans chacun de ces sites repérer les possibilités d’abonnement à un fil RSS ou à une newsletter. Recherche dans les moteurs en ciblant sa recherche. Avec les mots clés précédents choisis (voir article précédent) on peut se lancer dans l’interrogation des moteurs de recherche. limiter sa recherche au titre de la page

Sept cas d'usage des outils d'e-réputation 01net le 30/04/12 à 15h35 Les logiciels d’e-réputation se multiplient à la vitesse grand V sur le marché. 1) Détecter les leaders d’opinion L’analyse des commentaires des consommateurs est sûrement le volet de l’e-réputation le plus connu. Pour autant, « la plupart des projets d’e-réputation visant à cerner le comportement et les avis des consommateurs restent encore séparés du monde de la relation client. 2) Mesurer la tendance d’un écosystème Historiquement, les entreprises recourent aux études de marché pour déceler les goûts des consommateurs. Thermomètre qui peut également être un plus pour tester la réaction de l’opinion publique face, par exemple, à un projet d’implantation d’une usine ou d’un magasin. 3) Maîtriser l’image de l’employeur Au-delà de l’image institutionnelle des entreprises ou des avis de consommateurs, c’est de plus en plus la composante « employeur » que surveille l’e-réputation. 4) Anticiper et alerter 5) Réagir dans les temps impartis

Veille sur internet - Ce qu'il faut savoir Il n’y a pas si longtemps, de petits yeux appliqués parcouraient chaque matin les journaux à la recherche du nom de leur entreprise ou de leur patron. Les propriétaires de ces yeux se saisissaient ensuite d’une paire de ciseaux afin de rassembler les précieuses retombées puis de les coller dans un rapport copié, imprimé et agrafé, qu’on appelait la revue de presse ou encore le rapport de veille. De grandes sociétés fonctionnaient ainsi. Heureusement, les choses bougent. Elles ont compris qu’il fallait voir plus loin. L’étude menée par Forbes Insights pour Deloitte auprès de 300 dirigeants illustre bien cette prise de conscience. Plus précisément, l’étude révèle que les réseaux sociaux et le data mining sont considérés comme les principales technologies capables d’impacter les business models des entreprises. Les entreprises comprennent donc les enjeux, reste à définir avec méthode ce qui doit être mis en place. “ Il nous faut une veille sur internet ” Cela passe par 3 étapes. L’entreprise

Bien gérer la e-réputation de son entreprise Le mois dernier, nous vous proposions cette infographie présentant les bonnes pratiques pour protéger sa e-réputation. Dans cette même lignée, l’agence KSBD s’est cette fois penchée sur le cas de la e-réputation des entreprises, en synthétisant de nombreuses informations sur le sujet, en provenance de diverses études. De quoi bien appréhender le sujet ! Car si l’on en a déjà beaucoup parlé en 2011, nul doute que cette thématique va continuer à prendre de l’ampleur. Avec un quart de la population mondiale connectée à Internet, effectivement, la réputation en ligne est importante. Mais pas de panique, veiller sur la e-réputation de son entreprise, et la protéger, n’ets pas insurmontable ! Méthodologie de veille sur Internet 1. Les astuces pour optimiser la recherche d'informations Par Carlo Revelli, PDG de Cybion Internet constitue un formidable accélérateur pour la diffusion des activités de veille et d'intelligence économique au sein des entreprises. Il existe une multitude d'outils de recherche sur Internet. Tout d'abord, essayez de définir précisément ce que vous recherchez (une société? Évitez de vous disperser. Ensuite, dressez une première liste de mots-clés en relation étroite avec votre recherche. Pour choisir les bons mots-clés, mettez-vous à la place de la personne qui a rédigé le document ou la page web que vous recherchez. En fonction du thème de votre recherche, essayez de déterminer quelle est la "sphère Internet" où pourrait se trouver vraisemblablement votre information. En règle générale, utilisez d'abord les annuaires comme Yahoo si le domaine de votre recherche est étendu et général. Ces conseils méthodologiques constituent une mise à jour de certains passages de l'ouvrage de C.

Identité numérique : de l’anonymat au personal branding Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Le double risque : en plus d’être difficile à contrôler, «faire du buzz» n’est pas une fin en soi Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public. Internet: La protection de l'e-réputation, un marché en pleine expansion - News High-Tech: Web Internet Être calomnié ou insulté sur la Toile est de plus en plus courant. Ces attaques virtuelles laissent souvent les victimes démunies, mais la défense s'organise. La diffamation sur les réseaux sociaux est de plus en plus courante.Image: Keystone Liens Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Taper son nom dans un moteur de recherches et se retrouver associé aux mots «escroc» ou «pute» est une mésaventure qui arrive régulièrement à des internautes ou même à des sociétés. Même s'il est toujours compliqué de protéger sa réputation sur la Toile, il existe en Suisse un arsenal juridique en la matière qui, lui, n'a rien de virtuel. «Les grandes plateformes ont une politique claire en la matière. Les lacunes du droit suisse Là où les choses se compliquent, c'est lorsque le serveur est à l'étranger. La mémoire perpétuelle d'internet pose un troisième problème. Un nouveau marché L'agence KBSD à Genève va même plus loin pour nettoyer un profil. L'envers de la médaille Assurance e-réputation

E-réputation – anonymisation ou non : un paradoxe médiatique Nous avions déjà évoqué cette question voici un an (notre actualité du 2 novembre 2011), mais nous continuons à penser qu’il existe une certaine schizophrénie sur Internet, qui rejaillit gravement sur l'e-réputation des personnes (également nommée web-réputation, cyber-réputation ou encore réputation numérique). Les deux faces de l’information L’information réglementée pour protéger le citoyen D’une part, nous disposons de la recommandation de la CNIL, en date du 22 novembre 2001, en matière de publication des décisions de justice sur Internet, invitant à anonymiser celles-ci. Cette recommandation n’est pas destinée uniquement à Légifrance comme on le lit parfois, pas plus qu’elle n’est destinée à masquer partout les noms des parties. La portée de la recommandation de la CNIL s’étend donc très logiquement à tout l’Internet et rien qu’à l’Internet. La loi Informatique, fichiers et libertés applicable sur Internet La puissance de traitement des moteurs de recherche Un hiatus incompréhensible

Actualite informatique, actualite des entreprises, information economique Le droit à l’oubli numérique : un vide juridique ? Par Jean-Christophe Duton et Virginie Becht, Avocats Le rapport d’information du Sénat relatif au respect de la vie privée à l’heure des mémoires numériques a invité récemment le Sénat à réfléchir à la création d’un droit à l’oubli. Le caractère relativement perpétuel des données mises à disposition sur Internet, que ce soit volontairement par l’individu concerné ou par des tiers, ou involontairement, sous forme de traces laissées par la navigation comme les cookies, participe à une hypermnésie collective. Cette dernière devient de plus en plus préjudiciable à mesure que les technologies et les usages évoluent et que la diffusion et l’accès à ces données s’accroissent (plus grande exposition sur les réseaux sociaux notamment et, parallèlement, consultation des données par les recruteurs, assureurs ou organismes sociaux). L’inquiétude d’être « fiché » coïncide avec la divulgation très libérale d’informations parfois intimes. 1.1 La loi informatique et libertés 1.2 La LCEN et la loi HADOPI II 1.3 L’article 9 du Code civil

Identité personnelle et identité numérique Un article de JurisPedia, le droit partagé. Clara.B, Contributions L’explosion des réseaux sociaux et plus globalement, d’internet, a favorisé la multiplication des données personnelles sur internet et leur circulation sur la toile. L’identité personnelle peut se définir comme l’ensemble des informations qui font qu’une personne est un être singulier. Cette notion aux contours flous difficilement définissable fait l’objet de réflexions depuis cinq ans. Ce terme est lié à la notion même d’identité. La circulation extrêmement rapide des informations pose problème : en effet, le fait de poster des photos, vidéos, voir des propos pouvant être compromettants, sans pouvoir retourner en arrière peut s’avérer dangereux pour l’internaute. La maîtrise de son identité numérique est notamment apparue avec l’émergence des réseaux sociaux. La position française sur la protection des données personnelles Le rôle de la CNIL L’adoption des deux Chartes sur le droit à l’oubli Charte du 30 septembre 2010

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