Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui (suite)
Nous avions vu la semaine dernière cinq des dix croyances les plus répandues sur l’Autre. Voici cette semaine la suite de ce classement (qui, je le rappelle, n’en a que le nom) avec toujours à la clé une ou plusieurs pistes à explorer pour tenter de voir les choses un peu différemment. Certes, cette croyance pourrait s’apparenter à soi-même, mais elle débouche invariablement sur une autre croyance qui s’y attache tout naturellement: « … donc l’Autre a tort, à priori » J’avais partagé avec vous une expérience relative à cette croyance dans « La guerre des mondes« . Nous sommes ici en plein dedans. Équipement de série, oui, mais avec un sacré vice de fabrication! Qui peuvent-ils être? Question: « Qu’est-ce qui vous fait dire que votre réalité est LA Réalité? En tout cas chez mon voisin, c’est une réalité; sa pelouse est nickel, pendant que la mienne ressemble à la savane africaine :-). Question: « Et si ce qui vous manque, vous le cherchiez dans ce que vous avez?
Attitude et comportement dans le rapport cause-effet : quand l’attitude détermine l’acte et quand l’acte détermine l’attitude
1Cet article propose de traiter de la relation cause-effet entre les attitudes et les comportements à travers deux champs théoriques classiques de la psychologie sociale expérimentale : la persuasion et la dissonance cognitive. La relation entre attitude et comportement occupe une place centrale dans la psychologie sociale. Cette discipline, majoritairement expérimentale aujourd’hui, étudie les comportements, les états mentaux et processus mentaux chez l’Homme en société. 1 Eagly et Chaiken (1993, p.1) dans leur ouvrage de référence sur les attitudes définissent l’attitu (...) 2Le concept d’attitude occupe une place centrale en psychologie sociale depuis les années trente et maintient encore aujourd’hui cette position. Figure 1 : Exemple d’une échelle de mesure d’attitude en psychologie sociale 2 Davidson et Jaccard (1979) ont pour exemple mesuré l’attitude de femmes à l’égard de la pilule con (...) Figure 2 : Changer l’attitude pour changer le comportement
Top 10 des croyances sur soi
Vous connaissez mon intérêt pour les croyances, que je considère être la pierre angulaire dans tout processus de changement. Pour rappel, une croyance est une pensée construite et très personnelle dont nous avons l’intime conviction qu’elle est valide, vraie, réelle, authentique et véritable et qui nous sert de repère dans nos actes quotidiens, notre vision du monde, nos jugements sur nous-mêmes, les autres ou le temps. Parfois, voire même souvent, nos freins, nos blocages, nos difficultés quotidiennes sont issues de certaines de ces croyances qui se qualifient alors de limitantes. A noter qu’il n’y a pas une croyance plus limitante qu’une autre; elles le sont toutes à priori et à des degrés divers pour chacun. Ah! Question: « Comment pouvez-vous essayer quelque chose de nouveau en respectant votre besoin de sécurité? J’en connais qui ont été poursuivi en justice pour discrimination et pour moins que ça :-). Déjà, la réussite est un concept trop vague pour s’y appuyer assurément.
« La chasse aux ‘’croyances limitantes’’ permet de prendre sa vie en main et d’en devenir l’acteur »
Pour la deuxième fois, le blog reçoit Marjorie Llombart, experte auprès des femmes à la recherche du métier qui les fait vibrer. Souvent confrontée à des cas où les propres croyances des personnes se révèlent des freins majeurs au changement, la coach a accepté d’évoquer ce sujet pour Les Nouveaux Audacieux. Entretien autour de ces pensées négatives qui peuvent arbitrer la réussite ou l’échec d’une reconversion. Qu’appelez-vous une « croyance limitante » ? Pour commencer, j’aime à citer une pensée du Dalaï Lama : « Sème une pensée, tu récolteras un acte ; sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée ». Autrement dit, pour changer les résultats de ses actions, il faut commencer par changer ses pensées, ses croyances. Pourquoi ces croyances « limitantes » sont-elles si puissantes ? Quelles sont les grandes familles de « croyances limitantes » ? Comment reconnaître à coup sûr une croyance limitante ?
Croyances limitantes
Sylvaine Pascual – Publié dans Vie professionnelle / Trait d’union A qui bon vous mettre la rate au court-bouillon pour aller enrichir un patron de toute façon plus large que vous? Et dire qu’il y a des gens qui y laissent leur confiance en eux et leur moral, alors qu’on vous le répète de partout: les grugeurs de Pôle Emploi qui vivent peinards, heureux et épanouis sont légions. Ca n’a pas de sens, autant les rejoindre et donner une fois pour toute raison à tous ceux qui ont fait fond de commerce de leurs jugements sur les chercheurs d’emploi, sur leur faible motivation comme leur bêtise opérationnelle. D’ailleurs en réalité, qui se fatiguerait à chercher un job alors qu’être payé à rien foutre, c’est un rêve d’autant plus accessible qu’en ces temps sinistres, rien de plus facile que de se faire virer ou de négocier une rupture conventionnelle. Celui-là j’y suis très attachée, d’autant qu’il est facile à mettre en place, puisqu’il est abondamment recommandé. L’égo est merveilleux.
Pourquoi choisit-on la file d'attente qui n'avance pas ?
Le stress de la file d'attente fait partie des petites tensions du quotidien, parce qu'en position d'attente on a très souvent l'impression d'avancer moins vite que les autres. Ce qui agace au fond c'est l'impression qu'il n'y a pas de hasard. Comme si dans l'ordre des choses, nous étions condamnés à attendre plus que les autres. C'est aussi le témoignage de notre impuissance face à un monde dont l'ordre nous échappe. En réalité si l'on croit que l'on est toujours dans la mauvaise file d'attente, c'est parce qu'on est dans la même position que ceux qui croient que tout relève d'une décision divine. Finalement croire que nous tombons toujours sur la mauvaise file d'attente, c'est croire que notre existence ne relève pas de nos choix.
Actualiser les croyances lilmitantes par Robert Dilts
par Robert Dilts Nos certitudes, convictions et croyances ont un impact considérable sur nos comportements. Nous savons que si quelqu'un croit vraiment qu'il peut faire quelque chose, il le fera, et que s'il croit que quelque chose est impossible, rien ne pourra le convaincre de l'accomplir. Nos croyances sur nous-mêmes et ce qui est possible dans le monde qui nous entoure influence considérablement notre efficacité quotidienne. Les périodes de transition et de crises font ressortir avec encore plus de force la portée de nos croyances. Ce que nous nous racontons (modèles mentaux et présuppositions) au cours d'une période d'instabilité ou critique, détermine le degré de ressource avec lequel nous ferons face à la situation. La puissance des croyances Une étude sur l’apprentissage a bien mis en lumière l’impact puissant des croyances. Alors que nos vies et le monde changent, nous avons également besoin de nous adapter et d’actualiser nos croyances à propos de nous-mêmes. 1. 1.