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Alexandre Serres Enseignant-chercheur, co-responsable de lʼURFIST de Rennes Article paru dans le Mediadoc N°8 en Juin 2012 Evaluation de l’information et veille : il n’y a pas si longtemps, ces deux activités étaient l’apanage des professionnels de l’information et restaient assez clairement distinctes, tant dans les modèles théoriques que dans les pratiques réelles. Aujourd’hui, non seulement ces deux activités sont devenues l’affaire de (presque) tous, mais elles sont si entremêlées qu’il devient parfois difficile de distinguer ce qui ressort de l’une ou de l’autre. Dès lors, face à l’hybridation, voire à la confusion des pratiques informationnelles, il devient indispensable, notamment pour les professeurs documentalistes, de s’interroger sur ce qui distingue encore ces activités et ces pratiques. Des objectifs et des enjeux bien différents Il s’agit en fait d’attribuer une valeur, i.e. une signification à l’information au moyen d’un jugement » [1]. Acteurs, pratiques et outils

la recherche sur le Net C & F Éditions Dans le labyrinthe : Évaluer l'information sur internet Une recherche d'information efficace passe par l'évaluation des résultats proposés, opération complexe qui dépend de chaque usager, de ses objectifs et de ses connaissances antérieures. Il n'existe pas de grille absolue, de classement automatique des sources documentaires qui puisse répondre à tous les objectifs d'une recherche d'information. La manière dont les usagers identifient, évaluent et valident une source, un auteur ou un document, engage et traduit leur rapport général au monde, à la société, aux institutions, à la technologie. Ce livre, véritable état des lieux des pratiques documentaires actuelles, remet les questions centrales de la documentation au coeur des usages de la « Génération Google » et propose des outils pour penser l'éducation à l'information en dehors des mythes et des argumentaires du marketing. Ce livre est édité avec le concours du CNL, Centre National du Livre

FADBEN Connaissances, compétences et situation d’apprentissage Compétences et connaissances ne sont donc pas antinomiques et l’approche par compétences ne fait pas, pour autant, l’impasse sur les connaissances. Les compétences mobilisent des « savoirs en action » et sont toujours liées à une pratique. Il s’agit de mobiliser « des connaissances à bon escient, en temps réel, au service d’une action efficace » (Perrenoud, 1997). En cela, elles renvoient à des pédagogies issues du « learning by doing » de Dewey, telle que la situation-problème, théorisée par Philippe Meirieu, mais aussi par Gérard de Vecchi et Nicole Carmona-Magnaldi. La situation-problème confronte l’élève à un obstacle cognitif. L’approche par les compétences nécessite une rupture et un changement dans les routines didactiques et pédagogiques qui se sont mises en place, aussi bien pour les professeurs des autres disciplines que pour les professeurs documentalistes. Bibliographie : Bourdieu, Pierre (1972). Brousseau, Guy (1998).

La folksonomie, ou comment classer les données pour cesser de perdre du temps sur le Web | Le Prêt- A-Former Published by Le Prêt- A-Former, La folksonomie, ou comment classer les données pour cesser de perdre du temps sur le Web Le Web contient un nombre invraisemblable de données en tout genre. Les capter et les classer requiert un système adapté : la folksonomie. Ce mot d’apparence barbare nous vient de l’anglais folksonomy. C’est un mot-valise formé de folk (les « gens ») et de taxinomy (« taxinomie »). Vous pouvez naviguer dans les tags de chaque internaute pour découvrir de nouveaux liens. Comment créer des étiquettes ? Sur le Web, taguer des données offre la possibilité de classer et donc de retrouver des contenus. Concrètement, pour taguer une information, vous devez tout d’abord utiliser un service ou un logiciel qui le permet (par exemple, Delicious, www.delicious.com). Les services Web qui utilisent les folksonomies De nombreux services Web utilisent les folksonomies pour indexer le contenu. Le nuage de tags

cours sur compétences informationnelles «Être compétent dans l'usage de l'information signifie que l'on sait reconnaître quand émerge un besoin d'information et que l'on est capable de trouver l'information adéquate, de l'évaluer et de l'exploiter»1. Le Programme de développement des compétences informationnelles (PDCI) vise à mettre en place des moyens permettant aux établissements de l'Université du Québec d'assurer à leurs étudiants la maîtrise des compétences informationnelles qui leur sont nécessaires dans le cadre de leurs études ainsi que dans l'exercice de leur profession. Pourquoi ? La maîtrise des compétences informationnelles assure à l'étudiant un savoir et un savoir-faire qui lui permettront de répondre à ses besoins d'information et de résoudre les problèmes informationnels qui se poseront non seulement au cours de ses études mais aussi tout au long de sa vie professionnelle. Comment ? Les normes de Compétences informationnelles Les ressources signalées dans le site PDCI sont vérifiées annuellement. 1.

Transposer la cartographie des sources à l’évaluation de l’information..? Je prolonge dans cet article mes réflexions sur le Projet historiae dont les objectifs peuvent constituer une matière considérable pour monter des séquences pédagogiques. Il me semble que nous nous situons là dans un domaine qui, pour la partie du travail consacrée à l’évaluation de l’information, est assez proche de l’étude des controverses scientifiques. La rédaction d’un article de journal à partir d’une énigme historique (masque de fer, assassinat de JFK, Anastasia Romanov,…) se prête bien à la confrontation de thèses contradictoires, étayées par des témoignages plus ou moins argumentés. De fait, il s’agit bien de conduire les élèves à se questionner sur l’autorité et la crédibilité d’une ressource, mais encore sur la qualité d’une information. Terra incognita Creative Commons Licence photo credit : pablodf Après avoir concrétisé une première piste de progression, j’envisage le dispositif suivant. Cartes du ciel Creative Commons Licence photo credit : Septentria

La Culture de l'Information dans un CDI de collège : deuxième essai Mercredi 4 avril 2012 3 04 /04 /Avr /2012 10:39 J'ai légèrement modifié le tableau pour mettre en avant les "entrées" dans les séquences. Il me semble plus lisible ainsi. On peut monter une séquence à partir : - d'une entrée unique (la notion de document en 6e, apprendre à constuire une carte mentale comme en SVT4 e), - de deux entrées (comprendre le fonctionnement de Wikipedia et relever des informations précises pour remplir un tableau, séance d'une heure que je fais en SVT 5e) - de trois entrées (notion d'espace informationnel à travers l'étude de la complémentarité PMB / Netvibes) ou plus... Par ailleurs le tableau ne dit pas que j'utilise d'autres tâches, d'autres outils, et beaucoup d'autres notions. Voici le tableau nouvelle version (mais qui ressemble beaucoup à l'autre !) Et puis je me suis dis aussi que cette énumération pouvait masquer la complexité des interactions de toutes ces entrées, attitudes attendues, compétences, etc. Cette fois, je ne peux pas faire plus clair

3.3 Taguer ses sources : pourquoi ? Comment ? | Classer ses sources Web Qu'est ce qu'un Tag ? Un tag est un mot clé, une étiquette que l’on peut associer à une information comprise dans un document numérique afin de caractériser cette information et de la retrouver plus facilement. Ainsi des documents touchant au même genre d'informations seront regroupées sous les mêmes mots-clés. Un document peut avoir plusieurs tags qui lui sont associés. Par exemple lors de la publication d’une vidéo sur youtube, il est important de la taguer afin que les internautes amenés à devoir la consulter puissent la retrouver grâce à l’utilisation de mots-clés. Conseils pour bien taguer : Utilisez des mots simples, précis, et toujours les mêmes quand ils se rapportent à un même sujet. Régi par la licence Creative Commons Attribution-NonCommercial 2.5 License

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