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Le Paris du baron Haussmann photographié par Charles Marville

Le Paris du baron Haussmann photographié par Charles Marville

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NAPOLÉON III, L'EMPEREUR AU SERVICE DE LA NOUVELLE ÉCONOMIE «Du fer, du fer, rien que du fer ! » Ainsi s'adresse en 1852 le baron Haussmann à l'architecte Victor Baltard, lauréat du concours d'aménagement du centre de la capitale. Les halles, dix vastes pavillons de dentelle métallique et de verre, sortiront de terre entre 1852 et 1870 créant le fameux « ventre de Paris » cher à Zola. Incontestablement, le Second Empire peut postuler au rang de deuxième âge du fer. Trains, gares et ponts, halles et marchés couverts, grands magasins (voir p. 55), pavillons des expositions universelles : ce minerai et ses dérivés, fonte et acier, vont non seulement régner en maître sur l'architecture du Second Empire mais également être au coeur du grand bond en avant industriel, économique et financier que Napoléon III estime indispensable pour faire entrer la France dans la modernité.

L’haussmannisation Contexte historique Bien que survenue quarante ans après celle de Londres, la brutale métamorphose de Paris sous le Second Empire a frappé l’opinion nationale et internationale. L’originalité de l’œuvre du préfet Haussmann, qui régna de 1853 à 1870 « presque comme un ministre de la capitale », tient en trois points : l’importance accordée aux équipements collectifs, la création d’une ville bourgeoise, l’édification d’un ensemble urbanistique cohérent. Les tableaux et photographies de l’époque reflètent souvent ces deux derniers aspects. Analyse des images Dans le tableau de Caillebotte, au-dessus des frondaisons s’élèvent les immeubles du boulevard Haussmann au croisement de la rue La Fayette.

Offenbach en son temps – opéramusiclassic Comme tous les artistes peu ou prou, et spécialement les musiciens, Offenbach fut un témoin de son temps qui prêta une oreille particulièrement attentive au monde dans lequel il évolua tout au long de sa carrière et qu’il scruta avec une grande acuité et un esprit critique acéré, dénué toutefois d’une quelconque méchanceté ; il fut aidé en cela par des librettistes de grand talent au premier rang desquels figurèrent Henri Meilhac et Ludovic Halévy (le neveu de compositeur Jacques Fromental Halévy dont Offenbach fut un temps l’élève) doués comme lui-même d’un bel esprit critique teinté d’ironie et marqué au coin d’une grande finesse sur le plan psychologique ; ils contribuèrent sans conteste au succès de nombre d’œuvres d’Offenbach. Les débuts. Offenbach qui fut un des plus grands compositeurs français du XIXe siècle, aux côtés d’un Hector Berlioz, d’un Ambroise Thomas, d’un Charles Gounod, d’un Georges Bizet, d’un Jules Massenet, était d’origine germanique.

Séries générales - Terre Ouverte Niveau: PREMIERE - HISTOIREThème 2: La France dans l’Europe des nationalités: politique et sociétéChapitre 2: L’industrialisation et l’accélération des transformations économiques et sociales en FranceSituation d’apprentissage: Réaliser une composition sur l’ensemble de la séquence à partir d’un travail de groupeUtilisation d’un outil numérique : Padlet sur tablette numérique et/ou en salle informatique (lisibe sur Smartphone)Evaluations: Evaluation entre pairs – Evaluation par compétences (en lien avec l’équipe pédagogique)Présentation de la ressource : Commentaires du programme et insertion dans la programmation Objectifs de la séquence Scénario Outils directement utilisablePour accéder à la ressource c'est iciPar Nathalie Perrot-Boyer

Jacques Offenbach, chantre de la fête parisienne - Géraldine Couget "Ma plume au service de vos écrits" - Géraldine Couget "Ma plume au service de vos écrits" Avec Offenbach, Paris était toujours une fête. Qui dit Offenbach dit bien sûr french cancan, cette danse de music-hall un peu grivoise, symbole du Paris du Second Empire. Une époque un peu folle et superficielle, où la bonne société parisienne aimait à s’encanailler en allant au spectacle. L’industrialisation et l’accélération des transformations économiques et sociales en France. L’industrialisation, tout comme les transformations économiques et sociales qui en découlent, sont au coeur du nouveau programme de première générale. La présente proposition aborde les débuts de ces bouleversements, à l’aide de pistes pour appréhender le chapitre dans sa globalité. À l’aide de deux scenarii, elle permet de montrer comment le plan général du chapitre peut s’articuler autour des trois Points de Passage et d’Ouverture (PPO).

« Jacques Offenbach » de Siegfried Kracauer Pour Siegfried Kracauer comme pour Walter Benjamin, le Paris du XIXe siècle n'est pas seulement une ville parmi d'autres : centre de l'économie, ville cosmopolite et d'avant-garde artistique, elle est la matrice de la modernité et, à ce titre, un véritable paradigme. Faire la « biographie » d'une ville entre 1830 et 1870 à travers l'une de ses formes artistiques dominantes, l'opérette, c'est donc s'interroger sur la nature de la nouvelle société du spectacle qu'inaugure, au milieu du siècle, la « fantasmagorie du Second Empire ». Ainsi, en naissant en 1855 au théâtre des Bouffes-Parisiens, l'année de la première Exposition universelle parisienne, l'opérette participe de la fête impériale voulue par Napoléon III afin de bercer d'illusions le peuple, imposer le silence de la dictature et distraire la bourgeoisie par les chinoiseries, le tohu-bohu, le rêve et la bouffonnerie de la folle imagination offenbachienne.

Le chemin de fer, symbole d’une nouvelle révolution industrielle François CARON, Histoire des chemins de fer en France, 1740-1883, Paris, Fayard, 1997. Georges DUBY, Histoire de la France urbaine, Paris, Seuil, 1983. Ernst Hans GOMBRICH, Histoire de l’art, Paris, Gallimard, 1995. Bernard MARCHAND, Paris, histoire d’une ville (XIXe-XXe), Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », 1993. Sylvie PATIN, Monet, « un œil… mais bon Dieu, quel œil !

L’empereur en représentation : décor et chorégraphie des soirées impériales au théâtre Alors que vient de s’achever au musée d’Orsay l’exposition Spectaculaire Second Empire, 1852-1870, ayant fait la part belle aux thématiques de la fête impériale et des fastes du pouvoir, il est intéressant de revenir sur ce qui constitue l’une de leurs vitrines : le spectacle. Car le spectacle n’est-il pas le lieu par excellence où justement l’on regarde… ce qui se donne à voir ? Le Second Empire, malgré sa réputation de période pauvre pour les spectacles, connaît une vie théâtrale aussi bien créative, mondaine, qu’architecturale assez intense. Le couple impérial sort régulièrement dans les grandes salles que sont l’Opéra et le Théâtre-Français, mais également dans une multitude d’autres théâtres, quand ce ne sont pas les troupes elles-mêmes qui viennent jusqu’à eux dans les palais impériaux ; et souvent, lors de ces sorties, le cérémonial et le décor somptueux créent le spectacle autant dans la salle que sur la scène. Cérémonial et loge impériale Et l’article de conclure :

Histoire et analyse d'images et oeuvres Vidéo Les forges d’Abainville Contexte historique Dans l’histoire industrielle de la France, les dates de ces quatre œuvres de François Bonhommé sont contemporaines du grand démarrage de la sidérurgie moderne, lui-même étroitement lié à la montée des commandes en provenance des chemins de fer (rails, locomotives, matériel roulant) et des ouvrages d’art utilisant désormais la fonte et le fer (ponts, gares, halles recourant aux charpentes métalliques). L'enterrement insolite du Second Empire Contexte historique De l’empereur plébiscité au vieillard impuissant Charles Louis Napoléon Bonaparte, dit Napoléon III (1808-1873) est un neveu de Napoléon Ier. Aventurier politique, il devient dans les années 1830 le recours du parti bonapartiste et tente plusieurs fois, sans succès, de s’emparer du pouvoir.

Histoire et analyse d'images et oeuvres Le charbon s’identifie, pour ainsi dire, avec la première révolution industrielle : il est sa principale – sinon unique – source d’énergie. La croissance de sa production est parallèle à l’accélération de l’industrialisation : on en extrait presque vingt fois plus en 1914 qu’en 1850. Importé d’Angleterre ou d’Allemagne ou extrait dans les bassins miniers du Nord et du Centre, le charbon est transporté vers la capitale essentiellement par péniche. S’explique ainsi le soin des autorités françaises à développer, au cours de la seconde moitié du siècle, un réseau de voies fluviales et de canaux cohérent, dont le nœud principal est Paris. Dans les années 1870-1880, alors que la croissance économique en France s’est essoufflée, il est encore d’usage courant de faire davantage appel à la force humaine qu’à des grues mécaniques pour assurer le transbordement du charbon.

second Empire Régime politique établi en France le 2 décembre 1852 par Napoléon III et qui dura jusqu'au 4 septembre 1870. 1. La mise en place de l'Empire 1.1. La prise du pouvoir Par le coup d'État du 2 décembre 1851, Louis Napoléon Bonaparte consacre la fin de la IIe République.

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