Iran Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. République islamique d'Iran جمهوری اسلامی ايران (fa) Jomhuriye Eslāmiye Irān (fa) L’Iran (en persan : ايران, Irān Écouter), en forme longue la République islamique d'Iran (en persan : جمهوری اسلامی ايراﻥ, Jomhuriye Eslāmiye Irān Écouter), est un pays d'Asie de l'Ouest. Toponymie[modifier | modifier le code] Le mot Iran a une racine aussi ancienne que les langues indo-européennes. Les Grecs les appelaient les Mèdes (les confondant avec un peuple que les Perses avaient soumis auparavant). Au XXe siècle, une dispute entre intellectuels éclate pour savoir quel devrait être le nom correct du pays. En 1979, la révolution iranienne a abouti à la création de la République islamique d’Iran, mais les termes Perse et Iran sont toujours largement utilisés. Géographie[modifier | modifier le code] Géographie physique[modifier | modifier le code] L'Iran est un pays montagneux et partiellement désertique d'une superficie de 1 648 195 km2[17].
la chine - Recherche Google Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. République populaire de Chine 中华人民共和国 (zh) 中華人民共和國 (zh-TW) Zhōnghuá Rénmín Gònghéguó (zh) La République populaire de Chine (RPC) (chinois simplifié : 中华人民共和国 ; chinois traditionnel : 中華人民共和國 ; pinyin : Zhōnghuá Rénmín Gònghéguó), couramment appelée Chine[Note 4] et parfois Chine populaire, est un pays d'Asie de l'Est. Début décembre 2014, la République populaire de Chine devient la première puissance économique mondiale, sur la base du produit intérieur brut à parité de pouvoir d'achat[5] ; mais elle reste derrière les États-Unis en produit intérieur brut nominal[6]. La Chine a connu une période néolithique et des âges des métaux plutôt tardive par rapport à l'Anatolie et à la Mésopotamie, mais elle a été et reste le foyer de nombreuses innovations dans les domaines des sciences et des arts[10]. Étymologie[modifier | modifier le code] Tout au long de leur histoire, les Chinois ont utilisé plusieurs noms pour désigner leur pays.
Parthie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parthie dans The Atlas of Ancient and Classical Geography de Samuel Butler La Parthie est une région historique située au nord-est du plateau iranien, ancienne satrapie de l'empire des Achéménides et berceau de l'Empire parthe qui domine le plateau iranien et par intermittence la Mésopotamie entre 190 av. J.-C. et 224 ap. Les frontières de la Parthie sont la chaîne montagneuse du Kopet-Dag au nord (aujourd'hui la frontière entre Iran et Turkménistan) et le désert du Dasht-e Kavir au sud. Les textes assyriens mentionnent un pays nommé Partakka ou Partukka au VIIe siècle av. Histoire[modifier | modifier le code] La puissance des débuts de l'empire semble avoir été surestimée par certains historiens anciens, qui n'ont pas su clairement séparer l'empire ultérieur de ses origines indo-européennes. À partir du Ier siècle av. Illustrations[modifier | modifier le code] Tête de fontaine d'eau du IIe siècle Voir aussi[modifier | modifier le code]
Géographie de la Chine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Relief[modifier | modifier le code] Le relief de la Chine est d’une grande diversité. Mais il est avant tout marqué par la montagne : 40 % du territoire chinois se trouve au-dessus de 2 000 mètres d'altitude[1]. Les géographes distinguent en général trois grands ensembles, disposés en espalier, avec un gradient d'altitude décroissant de l'ouest vers l'est. Un escarpement continental, qui court du Grand Khingan au plateau Yunnan-Guizhou en passant par les monts Taihang, sépare les plateaux arides du nord et de l’ouest des plaines fertiles de l’est, où se concentre la grande majorité de la population et de l’agriculture intensive. La Chine occidentale : montagnes, hauts plateaux et bassins[modifier | modifier le code] Carte des reliefs Les montagnes chinoises sont parmi les plus hautes d’Asie et du monde. La diversité du centre[modifier | modifier le code] Paysage montagneux du Yunnan L'est des faibles altitudes[modifier | modifier le code]
Dynastie Tang Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dynastie Tang 唐朝 (zh) La Chine des Tang vers l'an 700 La dynastie Tang (chinois : 唐朝 ; Wade : T'ang ; EFEO : T'ang, Ten quelquefois) (18 juin 618 - 1er juin 907) est une dynastie chinoise précédée par la dynastie Sui (581-618) et suivie par la période des Cinq Dynasties et des Dix Royaumes. Elle a été fondée par la famille Li, qui prit le pouvoir durant le déclin et la chute de l'empire Sui. Venant après une longue période de division de la Chine qui dura de 220 à 581, à laquelle l'éphémère dynastie Sui avait mis fin, les premiers empereurs de cette dynastie eurent d'abord pour tâche de stabiliser l'empire récemment réunifier, et de lui redonner la puissance qu'avait eue la Chine à l'époque des Han. L'histoire de la dynastie bascula en 755 avec la révolte d'An Lushan, conséquence dramatique des évolutions politiques et militaires de l'empire à la période de son apogée. L'âge d'or de l'empire Tang (618-755)[modifier | modifier le code]
Chine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Chine, longtemps une civilisation très avancée, a été et reste le foyer de nombreuses innovations dans les domaines des sciences et des arts[3]. Elle est à l'origine de nombreuses inventions majeures telles la boussole[4], le papier[5], le billet de banque[6], les pâtes alimentaires[7] ou la poudre à canon[8]. La civilisation chinoise, qui perdure depuis près de cinq mille ans, est l'une des plus anciennes civilisations au monde, et est parfois citée comme la plus ancienne continue[9]. Politiquement, deux États prétendent détenir aujourd'hui la souveraineté sur la Chine. Étymologie[modifier | modifier le code] Tout au long de leur histoire, les Chinois ont utilisé plusieurs noms pour désigner leur pays. 中国/中國 Histoire[modifier | modifier le code] Dès le Néolithique existaient en Chine des sociétés organisées sédentaires qui pratiquaient l'agriculture et l'élevage. La Chine est un foyer majeur de civilisation. Temple du Ciel(天壇).
Passion & Compassion 1914-1918 : militaria et documentation technique de la Grande Guerre - grenades françaises La grenade VB (Viven-Bessière) mise en service en 1916, fut la plus célèbre et la plus réussie des grenades à fusil françaises. Faite d'un corps cylindrique en fonte quadrillé intérieurement, elle était traversée dans son axe par un cylindre creux du diamètre de la balle du fusil Lebel, d'un tube latéral parallèle à cet axe, contenant le détonateur, et teminé par une tête de percussion en laiton équipée d'un levier latéral, et d'un bouchon de remplissage. Elle était tirée à l'aide d'un tromblon fixé à l'extrémité du tube du fusil Lebel, en utilisant une cartouche classique plutôt qu'une cartouche à blanc, ce qui évitait les accidents dus à la confusion des munitions dans l'excitation du combat. Au moment du tir, la balle traversait le tube central, et en sortant actionnait le petit levier placé sur la partie externe du détonateur, déclenchant le mécanisme de mise à feu en percutant une amorce qui mettait à feu une mèche de 5 à 7 secondes reliée au détonateur.
Le Génie de la Liberté Ce Génie de la Liberté est une réplique en demi-taille de la statue qui surplombe la Colonne de Juillet, place de la Bastille à Paris, monument dédié aux victimes de la Révolution de 1830. Aérien, il semble planer, portant dans la main droite un flambeau et dans la gauche les chaînes brisées du despotisme. La liberté est rarement figurée par une figure masculine. La Colonne de la Bastille Le roi Louis-Philippe ordonna par décret du 13 décembre 1830 la construction d’un monument à la mémoire des victimes de la Révolution de Juillet (1830). Les Trois Glorieuses (autre nom de ces journées révolutionnaires) avaient chassé Charles X du trône dans l’idée d’instaurer une république, mais aboutirent à l’institution d’une monarchie parlementaire. Un génie aérien Svelte, les bras étendus, les ailes déployées, en appui sur la pointe du pied gauche, le génie s’élance dans les airs. Une allégorie masculine En rupture avec la tradition artistique, la liberté est symbolisée par une figure masculine.
17497 attentats mortels commis par des terroristes musulmans depuis le 11 septembre 2001 Lu sur Riposte Laïque. (merci à Franc_burlow) (…) Tout se passe comme si l’acte isolé du déséquilibré d’Oslo effaçait les innombrables attentats commis par des terroristes musulmans, jour après jour, sur toute la surface de la planète. Or l’examen des faits révèle que la quasi-totalité des attentats mortels commis depuis 10 ans l’ont été par des fanatiques musulmans. (…) Mais le nombre d’attentats mortels (ayant entraîné la mort d’au moins une personne) commis par des terroristes musulmans est effroyablement plus élevé que cette courte liste pourrait le laisser penser. Ainsi, on apprend, grâce à ce site, qu’en date du 24 juillet 2011, ceux-ci ont commis au moins 17497 attentats mortels depuis le 11 septembre 2001. 17497 attentats mortels en presque 10 ans, cela fait une moyenne de 5 attentats mortels commis par des fanatiques musulmans chaque jour. Source : Riposte Laïque
Clifford Hugh Douglas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Douglas. Clifford Hugh Douglas est né à Stockport en Écosse en 1879 et est mort en 1952. C'est un ingénieur et un auteur britannique connu pour avoir créé le concept de Crédit social. Biographie[modifier | modifier le code] Il étudia à Cambridge, travailla pour Westinghouse, la Royal Air Force pour des compagnies de chemin de fer à Buenos Aires et à Londres. Alors qu'il travaillait pour la RAF, il remarqua que la somme des coûts dépassait la somme des salaires et des dividendes payés. Douglas rassembla des données pour plus de cent entreprises britanniques et il découvrit que dans les entreprises allant vers la faillite, la somme des salaires et des dividendes était toujours plus faible que la somme des coûts hebdomadaires. Douglas publia ses résultats dans l'English Review, où il suggéra que le système des intérêts devait être corrigé pour assurer la justice sociale. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Concile d'Agde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le concile d'Agde en 506 et l'anti-arianisme au sud de la Gaule. Le concile d’Agde s’est tenu à l'église Saint-André de la ville d’Agde en 506, du temps du règne d'Alaric II qui, de religion arienne, autorisa la réunion de cette assemblée catholique. La ville fut choisie pour sa situation géographique centrale entre les diocèses de Provence et ceux du sud-ouest. Il réunissait 24 évêques catholiques du royaume wisigothique, plus dix délégués de prélats empêchés de se rendre à ce synode. Sous la présidence de l'archevêque d'Arles, saint Césaire, qui en a préparé les travaux et suggéré les décisions, son but était de régler dans le royaume wisigothique le statut disciplinaire et temporel de l'Église orthodoxe. Quelques mesures prises par le Concile[modifier | modifier le code] Participants[modifier | modifier le code] Notes, sources et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Histoire des Juifs en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire des Juifs en France, ou sur le territoire lui correspondant actuellement, semble remonter au Ier siècle de l’ère commune et se poursuit jusqu’à nos jours, ce qui en fait l’une des plus anciennes communautés juives d’Europe occidentale. Arrivés en Gaule peu après sa conquête par Rome, les Juifs s’y maintiennent sous les Mérovingiens et connaissent une période de prospérité sous les Carolingiens. Environ un siècle après l’expulsion des Juifs de la péninsule ibérique, des crypto-Juifs originaires du Portugal s’installent à Bordeaux et Bayonne. Les Juifs de France sont les premiers à jouir de l’émancipation que la France leur accorde au début de la Révolution française, tant dans la métropole que dans les colonies. La France demeure cependant le choix naturel pour nombre de Juifs contraints de quitter l’Égypte et l’Afrique du Nord dans les années 1950 et 1960. Le premier millénaire[modifier | modifier le code]