Gustave Doré
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gustave Doré Gustave Doré par Nadar en 1867. Paul Gustave Louis Christophe Doré dit Gustave Doré est un illustrateur, graveur, peintre et sculpteur français, né à Strasbourg le 6 janvier 1832, au 5 (aujourd'hui 16), rue de la Nuée-Bleue, et mort le 23 janvier 1883 à Paris dans son hôtel de la rue Saint-Dominique. Il fut reconnu internationalement de son vivant. Biographie[modifier | modifier le code] Portrait de Gustave Doré paru dans Le Trombinoscope de Touchatout en 1875. Dès son enfance, Gustave Doré, doté d'un sens pointu de l'observation, démontre un talent singulier pour le dessin. Ses premiers albums de dessins connus sont datés de 1842. A l'âge de 13 ans, en 1845, trois lithographies issues de ces tableaux bressans imprimées à Bourg, sont ses premières œuvres publiées. L'éditeur parisien Charles Philipon lui propose de s'installer à Paris où à partir de 1847 il suit les cours du lycée Charlemagne. Sa mère décède en 1879[9].
Joan Miró
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Joan Miró Joan Miró photographié par Carl van Vechten le 13 juin 1935, à Barcelone. Joan Miró, né Joan Miró i Ferrà à Barcelone le 20 avril 1893 et mort à Palma de Majorque le 25 décembre 1983 (à 90 ans), est un peintre, sculpteur, graveur et céramiste. De nationalité espagnole, Joan Miró se définit comme « catalan international[Margit Rowell 1] ». À partir de son départ pour Paris, son œuvre devient plus onirique, ce qui correspond aux grandes lignes du mouvement surréaliste auquel il adhère[4]. En son honneur a été fondée à Barcelone la « Fondation Joan-Miró », en 1975. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études (1893-1918)[modifier | modifier le code] Joan Miró, ou Joan Miró Ferrà[6] est né le 20 avril 1893[7] dans un passage proche de la plaça Reial de Barcelone. Premières expositions puis notoriété (1918-1923)[modifier | modifier le code] Premières œuvres[modifier | modifier le code]
Inconsistent Images | Piranesi's Carceri as Inconsistent
Giovanni Battista Piranesi’s brilliant series of etchings of imaginary prisons, known popularly as Carceri, is well known. It came in two Editions. The first Edition of 1749/50 contained a title page and 13 plates. In 1761 he published a revised second Edition, with a title page and 15 plates, several of which were significantly reworked. Each of these Editions has more than one printing in different states (with minor changes). Of interest to us here, is that some of the second Edition appear to contain impossible elements, arguably deliberately so. In The Eye Beguiled (1986) Bruno Ernst identifies Piranesi’s Plate XIV of the second Edition as impossible. Ernst points out (83-4) that the stairs to the left intrude in an impossible way into the face determined by the series of pylons. This seems correct. But in the second Edition, the Title Page has extensive additions, particularly the construction on the upper left. That would be impossible. This is definitely impossible.
Jean Arp
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Arp. Jean ou Hans Arp Jean Arp ou Hans Arp, né à Strasbourg le et mort à Bâle en Suisse le était un peintre, un sculpteur et un poète allemand puis français. Cofondateur du mouvement Dada à Zurich en 1916, il fut proche ensuite du surréalisme. Biographie[modifier | modifier le code] Il est né le 16 septembre 1886 sous le nom de Hans Peter Wilhelm Arp. Le 20 octobre 1922, il épouse Sophie Taeuber-Arp qu'il a connue à Zurich. Ses premières œuvres de plâtre et de marbre datent de 1930. Arp est à l'origine d'un vocabulaire de signes aux allusions figuratives et ironiques. Sophie meurt tragiquement asphyxiée en 1943 lors d'un voyage clandestin à Zurich, où il s'est réfugié à la suite de l'invasion de la France libre par les Allemands. En 1954, il reçoit le Grand Prix International de Sculpture à la Biennale de Venise, fut Chevalier de la Légion d'honneur en 1960, reçut le Grand Prix National des Arts en 1963 et
Jean Genet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Genet. Jean Genet Œuvres principales Signature Jean Genet (Paris, - id., ) est un écrivain, poète et auteur dramatique français. Biographie[modifier | modifier le code] Né de père inconnu (son nom était Frédéric Blanc selon les archives de l'Assistance publique) et abandonné à sept mois par sa mère, Camille Gabrielle Genet, le jeune Jean Genet est envoyé dans une famille nourricière du Morvan (Alligny-en-Morvan). La famille adoptive de Genet lui offre l’éducation communale, une vache à lait douce et aimante, un environnement protégé. Il commet son premier vol à l'âge de dix ans. Il quitte les lieux à dix-huit ans, s'engage dans la légion étrangère. Il y écrit ses premiers poèmes et quelques ébauches de roman, sans cesse reprises, refondues, rejetées. Ses premiers romans paraissent. « Le petit gars de Paris accomplit son travail avec vaillance. « J'aime ces petits gars dont le rire ne fut jamais clair.
Antoine Watteau
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Antoine Watteau (ou Wateau), plus connu sous le nom d'Antoine Watteau, né à Valenciennes le et mort à Nogent-sur-Marne le , est un peintre français. Une des principales sources de renseignements sur sa vie est la biographie rédigée par son ami le comte de Caylus. Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Antoine Watteau est le deuxième des quatre fils de Jean-Philippe Watteau (1660-1720), maître-couvreur, marchand de tuiles, et de Michelle Lardenois (1653-1727). La famille de Jean-Antoine encourage tôt sa vocation artistique. Après sa rupture avec Gillot (vers 1707 ou 1708), il entre dans le studio du décorateur Claude Audran III[5]. L'Enseigne de Gersaint peinte vers la fin de l'année 1720 constitue le dernier chef-d'œuvre de Watteau. Les tableaux de Watteau sont loin de se caractériser uniquement par une frivolité qui serait propre aux « fêtes galantes ». Influence postérieure[modifier | modifier le code]
Prisons de Prison Break
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une partie de l'action du feuilleton télévisé Prison Break se déroule dans trois prisons fictives : Fox River dans l'Illinois (saisons 1, 2 et 4), Sona au Panama (saisons 2 et 3) et Miami-Dade en Floride (téléfilm The Final Break). Pénitencier d'État de Fox River (Fox River State Penitentiary)[modifier | modifier le code] Le pénitencier d’État de Fox River (de son vrai nom, Joliet). Organisation[modifier | modifier le code] La prison de Fox River est la copie presque fidèle de la prison de Joliet. La population générale de la prison est divisée entre des cellules est[4] et ouest dans des ailes A et B[5]. Construite en 1858, la prison a un circuit étendu de tuyaux souterrains. Réputation et incidents[modifier | modifier le code] Programme de réhabilitation[modifier | modifier le code] Émeutes[modifier | modifier le code] Les jours précédent l'émeute raciale, la tension était palpable entre les détenus blancs et noirs.
Michel-Ange
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni Statue de Michel-Ange au piazzale des Offices à Florence Œuvres réputées Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni dit, en français, Michel-Ange [mikɛlɑ̃ʒ] (né le 6 mars 1475 au château de Caprese à Caprese, au nord d'Arezzo dans la République florentine et mort le 18 février 1564 à Rome), est un sculpteur, peintre, architecte, poète et urbaniste de la Haute Renaissance. Renommée[modifier | modifier le code] Ses sculptures les plus connues sont universellement considérées comme des chefs-d’œuvres de la Renaissance : Son œuvre a une influence considérable sur ses contemporains, si bien que sa « manière » de peindre et de sculpter est abondamment reprise par les représentants de ce qu'on appellera le maniérisme qui prospère dans la Renaissance tardive. Biographie[modifier | modifier le code]