Les têtes de l'art Il y a évidemment pas mal de chimie dans le jazz… Il y en a aussi dans l’ADN de Jean-Paul Boutellier puisque le co-fondateur de Jazz à Vienne est un ingénieur chimiste dont la carrière dans l’industrie chimique et pharmaceutique, à la direction de PCAS entre autre, jusqu’à son départ à la retraite en 2008, reste des plus impressionnantes… Boutellier est surtout pour les aficionados de jazz le fondateur de ce prestigieux rendez-vous international né… Lionel Esparza, producteur. L’essentiel des problèmes aujourd’hui posés à l’homme et aux choses est synthétisé par… le poker ! A Radio France, la musique est à la fois omniprésente et protéiforme à travers les formations musicales, les week-ends de musique de chambre, les concerts jazz, rock, musiques d’aujourd’hui, la découverte de jeunes talents, les enregistrements de disques… « Fabrication maison » lève le voile sur les coulisses d’une vie musicale foisonnante.
DASM Véculture | Le blog de Gonzague Gauthier La valorisation numérique du patrimoine dans les musées Comment le musée a-t-il intégré les nouvelles technologies et les dispositifs numériques ? Depuis les années 1990, Jean-Pierre Dalbéra est aux avant-postes en matière de numérisation du patrimoine et de valorisation des collections muséales par les techniques multimédias. Expert TIC et Culture, ancien responsable de la Mission Recherche et Technologie au Ministère de la Culture, il interroge, au regard de son expérience, la place du numérique dans les musées, et dessine ce que serait un « musée virtuel ». Renouveau des musées Pour Jean-Pierre Dalbéra, c’est l’ouverture du Centre Pompidou en 1977 qui a donné un point de départ au renouveau des musées, en conférant un rôle majeur aux architectes. Pour autant, comme le souligne Jean-Pierre Dalbéra, « le site internet n’est pas à la hauteur du geste architectural ». Jean-Pierre Dalbéra constate que « l’arrivée des CMS a provoqué une standardisation du web ». Politiques culturelles et pratiques numériques Le multimédia dans l’espace muséal Note
Médiation Culturelle - Cultural Mediation - Mediación Cultural Quel intérêt d’un MOOC pour une institution culturelle Vous avez peut-être suivi le partenariat qu’Orange, grande entreprise de télécommunications française, a développé depuis octobre dernier avec la Réunion des musées nationaux – Grand Palais (Rmn-GP) autour d’un cours en ligne ouvert et massif (ou MOOC – Massive Open Online Course) sur « L’impressionnisme, du scandale à la consécration ». Depuis 2011 avec le lancement du premier MOOC par l’université de Stanford sur l’intelligence artificielle, leur succès ne s’est pas démenti. Selon les dernières statistiques d’Open Education Europa, plus de 3.000 MOOC sont aujourd’hui proposés dans le monde (contre environ 2.000 en mars), dont un quart en provenance de pays européens. Avec la création de FUN (France Université Numérique), il semblait donc tout naturel que les musées nationaux français tentent eux-aussi l’expérience du MOOC, grâce à un partenariat cette fois-ci avec Orange. Un partenariat intéressant… et intéressé Page d’accueil du MOOC d’Orange
Do Artists and Technologists Create Things the Same Way? Seven on Seven Guests Respond Emily Roysdon, POSITIONS at Art in General Seven on Seven participants answer the question: Do you think artists and technologists create things the same way? Andy Baio Creative processes vary so wildly, I'd feel like a jerk trying to generalize. The biggest difference I've seen is that it seems like most artists start with an emotion they're trying to evoke and that most geeks start with a problem they're trying to solve. But the act of creation for both is similar: artists and technologists have a deep understanding of the capabilities and constraints of their medium -- whether oils on canvas or Ruby on Rails. Bre Pettis When I was a schoolteacher teaching art, my mission was to teach young people as many ways as possible for them to express themselves. I've always pushed the edges of what's possible. In regards to art. As technologists, we at MakerBot take an open source approach to innovation. Kellan Elliott-McCrea I hesitate to generalize about all artists and all technologists.
Le numérique transforme la visite des musées Parmi les nouveaux dispositifs, le musée a annoncé le remplacement de ses audioguides par des consoles de jeu Nintendo 3DS Lors d’une visite dans les jardins du château de Versailles, il ne faut plus s’agacer de voir les visiteurs l’œil rivé sur leur portable. Ils sont devenus les nouveaux outils de la médiation culturelle. Lorsqu’un badaud s’approche des fontaines du bosquet de la Colonnade, son smartphone, équipé de l’application idoine vibre, lui décrit virtuellement le réseau hydraulique souterrain, guidé en vidéo par le fontainier de Versailles. Téléchargé 200 000 fois, ce service mobile répond à « un manque de médiation dans les jardins où les cartels explicatifs ne sont pas présents partout et où l’on ne prête pas d’audioguide », explique Laurent Gaveau, responsable des nouveaux médias au château de Versailles. Pédagogiques, ludiques et pratiques, ces applications connaissent un succès croissant. "De la conservation à la conversation"
Les musées Au sommaire de cette émission : Omer Pesquer & Pierre Giner S’intéresser au rapport entre musées et numérique, c’est rapprocher ce que tout éloigne apparemment : d’un côté de l’historique, du temps long, du matériel, de l’architectural ; de l’autre côté de la circulation de fichiers, de l’instable, du toujours en mouvement et de la continuelle prospective. Et pourtant, il semble qu’il y ait une fertilité à cette rencontre et une fertilité à maints égards. Mais il y a aussi des effets de concurrence. Car si le but des musées d’art est de mettre à disposition du public des œuvres, ils doivent faire avec un nouveau concurrent, Internet, - Google, Wikipédia par exemple – qui se sont donné cette mission aussi, avec des armes dont tous les musées et lieux d’art ne disposent pas. Omer Pesquer Muséogeek, intervient dans le secteur culturel, et pour des institutions muséales notamment. Pierre Giner Artiste, travaille depuis longtemps les supports numériques.
Artwork by Banksy “Banksy is an pseudonymous England based graffiti artist, political activist, film director and painter. His satirical street art and subversive epigrams combine irreverent dark humour with graffiti done in a distinctive stencilling technique. Such artistic works of political and social commentary have been featured on streets, walls, and bridges of cities throughout the world. Banksy's work was born out of the Bristol underground scene which involved collaborations between artists and musicians. Photos: People looks at some of the surprise exhibits by the underground guerrilla artist, Banksy on June 12 2009 in Bristol, England.
Véculture | Le blog de Gonzague Gauthier Dix start-up qui font passer la culture à l'ère numérique B ET B PRODUCTION - Des hologrammes pour mieux comprendre statuaire antique Premier musée français à exploiter la technologie holographique pour ses expositions, le musée d'archéologie sous-marine dit de l'Éphèbe, au cap d'Agde, a développé un programme scénographique multimédia inédit. En collaboration avec B et B production, le musée s'est doté en 2011 et 2012 de deux vitrines holographiques qui redonnent vie aux statues de l'Enfant romain - probablement Césarion, le fils de Jules César et de Cléopâtre VII -et de L'Éphèbe, un portrait rare d'Alexandre le Grand. Cette dernière pièce, exceptionnelle à plus d'un titre - il s'agit également de l'unique bronze hellénistique découvert dans les eaux françaises -, a été conservée pendant vingt ans au Louvre avant de rejoindre le cap d'Agde. >>> Pour en savoir plus SISSO - Visites intéractives au musée à 360° Le principe ? >>> Pour en savoir plus EXPOSARE - La rencontre en ligne des projets d'expos et des lieux de diffusion >>> Pour en savoir plus
Google+'s secret weapon against Twitter and Facebook The proliferation of platforms such as Facebook and Twitter come mostly from success stories, and cross-over events with mainstream media. Once CNN started using tweets during live broadcasts, the platform was cemented in our minds as a destination to discover topical trends and real-time conversation. Once Facebook became a strong piece of Barack Obama’s presidential campaign, we knew that the social network bohemeth wasn’t going anywhere. Google+ came along, a little bit late to the game. A lot late, actually. Google’s service has a thing or two up its sleeve, though. One of those secret weapons is Daria Musk. How can one person be a secret weapon that could move the masses to take a second or third look at Google+? The tools Google, and the Google+ team specifically, have methodically rolled out supporting features, that together revolutionize the way we interact online. Daria Musk has amassed over 24,000 followers on Google+, using those tools. Here’s how she did it: Google Hangouts