Mythologie gréco-romaine Ce condensé de la mythologie grecque est organisé en famille. Chaque famille du menu ci-dessous est un lien conduisant à un arbre généalogique. Les personnages entourés de rouge font l'objet d'une Page ou plusieures, reliées par un (ou des) liens dynamiques, que vous pourrez consulter en cliquant à l'intérieur des encadrements. Si certains trouvent compliqué l'organisation de ces pages, n'hésitez pas à m'en faire la critique. Merci. BibliographieLa Mythologie d'Edith HamiltonThéogonie d'Hésiode (Traduction de Jean Louis Backès, professeur à l'Université de Paris-Sorbonne)L'Iliade et L'Odyssée d'Homère (Traduction de Frédéric Mugler)L'Agamemnon, Les sept contre Thèbes, l'Orestie d'Eschyle (Traduction de E. Blogueurs, webmasters faites connaître www.de-bric-et-de-broc.com. Retour à la page d'accueil
Mythologie grecque Comme le montre l’abondance des monuments, des œuvres d’art et toute la tradition littéraire qui va d’Homère aux travaux des mythographes modernes, la mythologie grecque est l’une des plus riches qui soient. Art et Littérature W. BOUGUEREAU (© Arnot Art Museum Elmira, N.Y.) Votre navigateur ne gère pas JavaScript Un examen rapide de ses informations diverses peut laisser croire que ces légendes plus ou moins merveilleuses se présentent comme un tout cohérent, qui aurait été codifié et ordonné par le temps pour être facilement compréhensible pour un esprit moderne et figé une fois pour toute. Il n’en est rien, car l’étude de la mythologie est de plus en plus féconde et aboutit à des progrès incessants et réguliers grâce aux découvertes de l’archéologie, de la linguistique ou de l’ethnologie, de même l’interprétation de ces mythes est en constante évolution. La mythologie de l'antiquité classique comporte un très grand nombre de dieux, de déesses, de demi-dieux, ou de héros.
Pédagogie et révolution numérique Le numérique va-t-il révolutionner l’École ? Pas de "tsunami numérique" pour la Revue internationale d'éducation de Sèvres, mais la découverte des usages des TIC dans une dizaine de pays développés ou pas. En utilisant son incroyable réseau de correspondants, la Revue nous emmène en Corée du sud, en Éthiopie, aux États-Unis, en Australie , aux Pays-Bas comme en Argentine, pour ne citer que ces pays, assurant ainsi une vision de tous les continents. Elle dresse ainsi le portrait d'une extraordinaire diversité des usages et des pédagogies mobilisées avec le numérique. Cette diversité même montre que le numérique cherche encore partout sa juste place dans les systèmes éducatifs. Si le numérique a pris tellement d'importance, partout, dans les systèmes éducatifs c'est que la pression sociale est très forte, remarquent justement Bernard Cornu et Jean-Pierre Véran qui coordonnent ce numéro 67 de la Revue internationale d'éducation de Sèvres. Des approches variées du numérique Un doute général
Quand le clavier supplante le stylo L’Université de Cambridge s’interroge sur l’abandon de l’ écriture manuscrite, obligatoire pour les examens. (crédit photo : Jèsybèle Cyr) Face au problème de copies illisibles et au mécontentement de ses correcteurs, l’Université de Cambridge réfléchit à autoriser les étudiants à délaisser l’écriture manuscrite au profit de l’ordinateur pour les examens. Nous sommes des êtres qui nous démarquons des animaux. Jacques G. Le professeur associé au Département d’histoire Jacques G. De son côté, la chargée de cours au Départe-ment d’histoire Jenny Brun se considère chanceuse. « Je n’ai de travaux illisibles qu’à l’occasion, déclare-t-elle. Les étudiants au baccalauréat en littératures de langue française François Côté et Léa Imbeau s’accordent pour dire qu’ils ne seraient pas contre la mise en place d’examens uniquement numériques. François perçoit le problème différemment. « Pour moi, l’orthographe est moins importante qu’elle en a l’air, raconte-t-il. Réenvisager notre façon d’apprendre
Rite funéraire de la religion romaine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue funéraire de Marcellus L'appartenance à la classe sociale conditionne le faste des rites funéraires romains. Les Romains, très superstitieux et religieux pensaient qu'un déroulement précis des funérailles était essentiel à l'obtention d'une vie après la mort. Ils étaient donc très pointilleux sur l'exécution des rites funéraires. Les riches se faisaient, en principe, incinérer, tandis que les Romains plus pauvres comme les esclaves pouvaient être jetés dans des fosses communes, sans cérémonie. Histoire des rites[modifier | modifier le code] Pendant l'époque protohistorique étrusque de Rome, la crémation suit ou côtoie l'incinération suivant les périodes historiques ; elle a été généralement abandonnée vers la fin du Ve siècle av. Sous l'Empire, les rites ont également changé avec l'adoption des cultes orientaux comme le culte d'Isis qui promettaient une autre vie après la mort. Déroulement des rites[modifier | modifier le code]
L’Atlantide, mythes et réalités - Campus Condorcet – Paris-Aubervilliers L’Atlantide, mythes et réalités René Treuil, archéologue et historien de l’Antiquité, Université de Paris 1 Panthéon - Sorbonne L’Atlantide est d’abord un mythe, forgé par Platon au IVe siècle avant notre ère, pour illustrer une pensée politique précise : la richesse et la puissance navale d’Athènes ne doivent plus la conduire à vouloir dominer ses alliés, car elle risquerait un cataclysme analogue à celui qui a détruit l’Atlantide, île merveilleuse anéantie par la mer. On a pourtant cherché depuis l’Antiquité à localiser cette île, à retrouver un monde réel qui aurait pu conduire à imaginer ce monde virtuel. Certains archéologues, en particulier, ont voulu y retrouver l’écho de la destruction de Santorin et même de la Crète minoenne par l’éruption volcanique du IIe millénaire av.
Religion de la Rome antique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La religion de la Rome antique est l'ensemble des pratiques et croyances religieuses que les romains considéraient comme proprement romaines, ainsi que les nombreux cultes importés à Rome ou pratiquées par les populations faisant partie de l'Empire romain. Les romains se considéraient eux-mêmes comme profondément religieux, et ils attribuaient le succès de leur empire à leur piété collective (pietas) qui permettait de conserver de bonnes relations avec les dieux. D'après l'histoire légendaire des premiers siècles de Rome, la plupart des institutions et des rites religieux de Rome remontent aux premiers fondateurs de Rome, particulièrement Numa Pompilius, le second roi de Rome. Étude de la religion romaine[modifier | modifier le code] En dehors de quelques témoignages archéologiques et épigraphiques, notre connaissance directe de la religion romaine ne remonte pas au-delà du IIIe siècle avant notre ère. Le Romain ne craint pas ses dieux.
Prospective en éducation : quels scénarios à prévoir ? European Journal of Futures Research (link is external) Cette revue scientifique en open access, lancée en 2013, est consacrée à la prospective et aux études futuristes, dans une approche comparative. Parmi les sujets récemment traités en éducation : le futur de l’éducation en Europe et l’innovation dans l’enseignement supérieur en 2025. Les scénarios élaborés imaginent, par exemple, une « explosion » de MOOCs, une publication scientifique presque instantanée avec une validation par les pairs à posteriori, la création de grands pôles universitaires régionaux, l’émergence d’un nouvel emploi de « relations publiques » dans les universités, qui facilite le dialogue entre recherche et entreprises. Millennium Project (link is external) Ce think thank a été fondé en 1996, après une étude de faisabilité de trois ans menée en particulier par l’Université des Nations unies (link is external). Federica Minichiello Centre de ressources et d'ingénierie documentaires du CIEP [1] J. [4] A.
Quand le numérique recule devant l'Histoire C’était il y a quelques années. C’était l’époque de Wikileaks, celle des révolutions arabes, d’Anonymous et d’OWNI. C’était l’époque où Twitter explosait, l’époque où Couchsurfing concernait plus de gens qu’Airbnb. C’était l’époque où l’économie collaborative sortait le bout de son nez. C’était il y a bien longtemps. Wikileaks n’a pas mis fin aux méthodes des gouvernements douteuses, les révolutions arabes ont souvent tourné au vinaigre, l’économie collaborative a été largement associée aux pratiques d’Uber ou Airbnb, Couchsurfing n’a pas explosé, OWNI a disparu… Le réel est passé par là et la naïveté numérique a pris fin. La fin de l’illusion technophile Bien sûr, les innovations numériques ont transformé notre monde et nous ont permis de résoudre bon nombre de problèmes; souvent, elles nous ont rendu la vie plus facile. L’information ne suffit pas. L’information pure ne résout pas l’impuissance politique. Elle n’a pas mis fin au court-termisme médiatique. Welcome to reality !
La religion romaine : Le culte impérial Les dieux - La religion domestique - Le calendrier - Les prêtres - Jeux & Spectacles - Les rituels - Le culte impérial - Mithra Le culte impérial I- Origines A. Deux origines Orientale : divinisation des héros, des hommes qui furent adopter après leur mort par les dieux, il y a un certain nombre de chefs d'Etat (Alexandre), certains furent même divinisé de leur vivant, les Romains ont appliqué cela sur les généraux romains comme Marcellus, Pompée, Marc-Antoine. B. Il avait été héroïsé en Grèce. II- Les formes prises par le culte impérial A. Il s'agit d'abord de citoyens non romain, mais très vite, ce culte se répand dans tout l'empire, y compris en Italie, (en Espagne en 25 av. B. Auguste a permis de rendre un culte aux vertus impériales : en 30 av. C. Ces collèges de prêtres apparaissent pour la première fois en 19 av. D. César fut le premier à être divinisé en 42 av. Après 250, on continue de diviniser les empereurs, mais leur culte ne survivra pas longtemps. Retour
Liste de créatures légendaires Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste regroupe les créatures légendaires (ayant un article dédié), c'est-à-dire des créatures dont l’existence, non prouvée de manière scientifique, repose sur des croyances passées ou actuelles. Elle ne reprend pas les divinités ayant fait l'objet de cultes. Les créatures fictives modernes de la fantasy et de la fiction ne sont pas incluses. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code] L[modifier | modifier le code] M[modifier | modifier le code] N[modifier | modifier le code] O[modifier | modifier le code] P[modifier | modifier le code] Q[modifier | modifier le code] R[modifier | modifier le code] S[modifier | modifier le code] T[modifier | modifier le code]
Religion romaine La religion romaine est une religion polythéiste qui comporte un ensemble complexe de croyances et d'actes rituels. Les Romains se disaient les plus religieux des hommes. En effet, le sentiment du sacré est omniprésent dans la vie publique comme dans la privée. Les dieux étaient présents dans tous les actes de la vie publique ainsi chaque réunion, chaque assemblée était précédée d'un rituel religieux pour obtenir l'accord des dieux. Templum désigne d'abord l'espace rectangulaire que l'augure trace dans le ciel ( inauguration ) avec son bâton recourbé (lituus) et où il notera les passages d'oiseaux. Au calendrier républicain, il y 45 jours de fêtes religieuses, les fêtes fixes ( feriae stativae ) et mobiles ( feriae indictivae ). Les jeux publics: Sous la république, une soixantaine de jours sont consacrés aux ludi solemnes, célébrés à dates fixes. On consultait également les augures pour interpréter les oracles. Encyclopédie Universalis.
Que doivent savoir les étudiants du 21e siècle ? | Défis d'amphi Alors que, sur le terrain, des initiatives fleurissent pour essayer de faire changer l’université, on sent qu’il s’agit là d’une phase transitoire, avec ses pionniers et ses réfractaires, ses idéaux et ses tâtonnements. Il faut dire que l’université est traversée par trois transformations majeures qui font évoluer sa mission de diffusion du savoir. La première, c’est la démocratisation de l’enseignement supérieur. On compte aujourd’hui plus de 2,5 millions d’étudiants, des effectifs en hausse constante depuis huit ans. La deuxième transformation qui touche l’université est liée au fait que nous vivons dans une société de la connaissance. Depuis les années 90, plus la moitié des richesses des pays de l’OCDE repose sur l’industrie de la connaissance. C’est le troisième bouleversement majeur auquel doit faire face l’université : la révolution numérique. Désormais, la connaissance est hébergée dans les data centers et touche un public universel, par-delà les institutions.