Reportage Bhoutan : au pays du Bonheur National Brut De Marie-Monique Robin – ARTE GEIE / M2R Productions – France 2014 Niché au cœur de l’Himalaya, le petit royaume du Bhoutan a décidé d’en finir avec « la dictature du Produit Intérieur Brut (PIB) » et de la croissance économique à tout prix, en proposant un nouvel indicateur de richesse : le Bonheur National Brut (BNB). Lancé par le 4ème Roi, le « nouveau paradigme » s’appuie sur quatre piliers : la protection de l’environnement, la conservation et la promotion de la culture bhoutanaise, la bonne gouvernance et le développement économique responsable et durable. Œil pour Œil : les réfugiés de Calais De Lionel Charrier - Agence MYOP Une caméra regarde un appareil photo : l'idée est plutôt simple mais pourquoi faudrait-il se compliquer la tâche pour filmer au travail nos confrères photographes ? A Calais, de nombreux Syriens mènent une vie d'errance en attendant l'opportunité de passer en Angleterre.
Jobs, Productivity and the Great Decoupling Cambridge, Mass. A WONDERFUL ride has come to an end. For several decades after World War II the economic statistics we care most about all rose together here in America as if they were tightly coupled. G.D.P. grew, and so did productivity — our ability to get more output from each worker. At the same time, we created millions of jobs, and many of these were the kinds of jobs that allowed the average American worker, who didn’t (and still doesn’t) have a college degree, to enjoy a high and rising standard of living. Productivity growth slowed in the 1970s but revved up again in the 1990s and has stayed strong most years since. We are creating jobs, but not enough of them. Photo As the jaws of the snake opened, wages suffered even more than job growth. What’s going on? As we move ahead the Great Decoupling will only accelerate, for two reasons. Second, technologies are going to continue to become more powerful, and to acquire more advanced skills and abilities.
Mindfulness: more than a fad, less than a revolution. Meditation is simply about being yourself, and knowing something about who that is. - Jon Kabat-Zinn. (The following post is a selection of ideas and links to add some texture and critical apparatus to help people better engage with the growing mindfulness phenomenon. It is by no means an exhaustive account, and was written mostly to make sense of how mindfulness connects with RSA’s work, past and present, which I refer to at the end. While one can and should distinguish between mindfulness meditation and meditation in general, Kabat Zinn’s statement captures why RSA’s Social Brain centre is interested – mindfulness is a form of practice that helps to cultivate self-knowledge.) A colleague recently remarked that mindfulness was ‘on the way out’. And yet, people are right to react to the tendency to see mindfulness as a panacea before really knowing it deeply from a first, second or third person perspective. So when people say ‘mindfulness’ they can mean 1. Mindfulness in Parliament
Classic Economic Models Classic Economic Models EconModel Classic Economic Models Getting Started Support Links Microeconomics Cool Picture (opens in new window) Introduction Overview of Micro Models Supply and Demand Basic Supply and Demand Who Pays a Sales Tax? Theory of the Firm Perfect Competition# Monopoly / Monopolistic Competition Price Discrimination The Demand for Labor Theory of the Consumer Two Goods - Two Prices# Intertemporal Substitution Labor Supply, Income Taxes, and Transfer Payments Getting Started The models listed here (with the exception of the Solow Growth Model and the two free on-line calculators) run from your browser when you click on a "Model Link" IF you first download and install the EconModel program. Economics Terms Definitions for economics terms used on this web site. Phillips Curve Macroeconomics Introduction Overview of Macro Models Financial Markets Utility-Based Valuation of Risk Mean-Variance Analysis: Risk vs. Meet the Author
La guerre pour l'argent Temps de lecture: 3 min Quand notre classe politique sortira de ses petites affaires et lèvera le nez au-delà des prochaines échéances électorales, elle découvrira que le monde qui vient est si lourd de menaces que les guerres sont à nouveau possibles. Telle est la sombre prédiction de Jean-Hervé Lorenzi, le président du Cercle des économistes, et de Mickaël Berrebi, auteurs d'un livre au titre glaçant: Un monde de violences. Les sources de conflits sont nombreuses et si «nous hésitons à évoquer la guerre… notre incapacité à les surmonter nous y conduira sans nul doute». On avait connu Lorenzi professeur d'optimisme, le voilà effrayant. Le livre est, hélas! On s'arrête sur la finance parce que l'ouvrage présente une thèse nette: le monde financier s'est autonomisé dans les dernières décennies et aucun retour en arrière n'est possible. Cette finance spéculative, inarrêtable, n'oeuvre plus que pour elle-même. Le livre ouvre d'autres pistes. Nous y revoilà, à notre classe politique.
Crise... quelle crise ? - Les Econoclastes Crise. Ce mot est utilisé par tous pour justifier l’environnement économique actuel… Mais la durée du phénomène doit désormais nous pousser à nous interroger : et si nous n’étions finalement pas en crise, mais vivions plutôt une transition profonde et durable ? Parler d’une crise sous-entend que l’état final de l’économie redevient conforme à l’état initial, à savoir celui du couple croissance/inflation que nous avons connu au cours des trois dernières décennies. Or ce n’est pas le cas : nous vivons probablement aujourd’hui une transition nous faisant entrer dans un monde dans lequel le couple stagnation/déflation l’emporte. Cette conviction s’appuie sur une grille de lecture : celle de la démographie. L’exemple le plus marquant du poids du déterminisme démographique sur l’économie est pour le moment le Japon. Chiffres clés : Le profil de consommation croisé avec les prévisions démographiques disponibles nous permettent de calculer un potentiel de croissance de la consommation.
Devenir décroissants à l'Ere numérique? Hypothèse - Digitalis Purpurea Cela fait maintenant quarante ans que le corps politique se débat autour du mythe de la croissance. Telle soeur Anne du haut de sa tour, il scrute l’horizon économique à le recherche du moindre signe qui lui permettrait d’escompter des jours meilleurs qui, au fil des décennies, il faut le reconnaitre, se font de plus en plus rares. Et si la croissance disparaissant pour de bon? Si elle ne revenait plus? Mais peut être est-ce le compteur qui n’est plus le bon. Mais il y a autre chose, plus structurel : dans notre économie, nous assistons de plus en plus à l’expression de ces gains d’opportunités permis par le numérique. Tout cela repose massivement sur la multitude et la donné. L’incapacité de nos soit disant élites à repenser le monde autour de nouveaux paradigmes devient de moins en moins acceptable tant il nous met chaque jour plus en danger. [1] Décroissance, Wikipedia :
Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif Bernard Stiegler est philosophe, théoricien de l’évolution des systèmes techniques. Il a découvert les modèles du libre de façon presque accidentelle, en tant que Directeur de l’INA. Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou. Les modèles ouverts, contributifs et collaboratifs sont de plus en plus nombreux, la contribution s’étend à de nouveaux territoires, comment interprétez-vous cette évolution ? Avant de répondre, il y a un préalable, reconnaître que tous les modèles ne sont pas équivalents. C’est pour cela que je parle de pharmakon. Aujourd’hui, nous avons besoin d’une typologie des modèles contributifs. Je travaille beaucoup avec des communautés de Hackers : jusqu’à “la crise Snowden” ils ne voyaient pas véritablement le caractère pharmacologique du net. J’ai une vision freudienne de l’économie.
à qui appartiendra l'économie de demain? «Une économie contributive repose sur le développement des savoirs des individus, et le partage de ces savoirs est facilité par une propriété collective qui n’empêche pas sa circulation.»Ou comment penser l'après-demain quand l'économie sera pris d'assaut par le deep learning, en éliminant comptables, vendeurs, rédacteurs techniques, agents d'immeubles, etc... Posté un peu plutôt aujourd'hui sur Facebook par Alain Depocas, le lien vers cette réflexion de Bernard Stiegler m'interpèle. «Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif», dit Stiegler. L’économie contributive est fondée sur la recapacitation : elle augmente la capacité des gens plutôt qu’elle ne la diminue. Il y a donc une utopie qui peut répondre au modèle capitaliste? Pas que ce n'est pas le cas, le savoir fait parti du bien commun, en théorie, mais dans les détails il y a des zones très grises (notamment au niveau du droit d'auteur). Intéressant, non? Le deep learning se nourrit du «Big Data».
Ten ways we can build a better economic system For the numerous readers who asked: "But what can we do?" after reading my "10 reasons to smash capitalism," here are ten ways we can build a better economic system: 10. We can elect governments that represent people rather than corporations. 9. 8. 7. 6. 5. 4. 3. 2. 1. Gary Engler is a Canadian journalist, novelist (The Year We Became Us) and co-author of the recently released New Commune-ist Manifesto -- Workers of the World It Really is Time to Unite (www.newcommuneist.com).