Histoire Mondiale
Préhistoire
Dessins sculptés au silex, sur des os d'animaux. La Préhistoire se divise en deux grandes parties, le Paléolithique (l'âge de la pierre taillée) et le Néolithique (l'âge de la pierre polie), qui se divisent elles-mêmes en différentes sous-périodes. La phase de transition entre ces deux grandes périodes est appelée le Mésolithique. La définition classique de la Préhistoire pose un certain nombre de problèmes, notamment en ce qui concerne les critères retenus pour son début et sa fin, mais aussi pour la datation de ses limites.L'Homme de Cro-Magnon (28 000 ans), découvert en 1868 par Louis Lartet[2]. La Préhistoire commence avec l'apparition de l'Homme. Pour certains chercheurs, le genre Homo serait attesté il y a environ 2,8 millions d'années, d'après un fossile actuellement attribué à ce genre découvert en Éthiopie en 2013 (LD 350-1)[3]. La fabrication d'outils a longtemps été considérée comme propre au genre Homo. — Lucrèce, De rerum natura, Ier siècle av. À partir de 4500 av.
Paléolithique
Le Paléolithique est la première et la plus longue période de la Préhistoire, durant laquelle les humains sont tous des chasseurs-cueilleurs. Elle est presque contemporaine du Pléistocène. Les humains du Paléolithique sont la plupart du temps nomades, se déplaçant au gré des saisons en fonction des ressources alimentaires disponibles, qu'elles soient végétales ou animales. La densité de population est très faible, en particulier pendant les périodes glaciaires, caractérisées par un climat plus sec (densité inférieure à 0,01 habitant/km2). Le Paléolithique commence avec l’apparition des premiers outils lithiques, il y a 3,3 millions d'années en Afrique. Le Paléolithique est subdivisé en trois ou quatre grandes périodes, correspondant aux grandes évolutions culturelles et techniques mises en évidence par les fouilles archéologiques : le Paléolithique archaïque, le Paléolithique inférieur, le Paléolithique moyen et le Paléolithique supérieur. Étymologie[modifier | modifier le code]
Âge du bronze
L’âge du bronze[a] est la période de la Protohistoire et de l'Histoire caractérisée par l'existence de la métallurgie du bronze, nom générique des alliages de cuivre et d'étain. L'âge du bronze succède au Néolithique final et précède l'âge du fer dans de nombreuses régions de l'Ancien Monde. Schématiquement, dans les régions du monde où il est significatif et étudié (Moyen-Orient, Europe, Afrique du Nord, Asie), l'âge du bronze s'étend sur une période de près de deux mille ans, de 2700 à 900 av. J. Archéologie[modifier | modifier le code] Les précurseurs[modifier | modifier le code] Antoine de Jussieu[modifier | modifier le code] Nicolas Mahudel et la théorie des trois âges[modifier | modifier le code] Le préhistorien Nicolas Mahudel, par ses travaux de classification archéologique, élargit les concepts émis par Antoine de Jussieu. Christian Jürgensen Thomsen[modifier | modifier le code] Le chercheur danois Christian Jürgensen Thomsen réinvente la notion d'« âge du bronze ». Culture Elp (en)
Âge du fer
L’âge du fer[a] est une période archéologique caractérisée par la métallurgie du fer et faisant généralement suite à l'âge du bronze. Toutefois, les limites chronologiques de l'âge du fer varient considérablement selon l'aire culturelle et géographique considérée. L'âge du fer peut être considéré comme appartenant à la Préhistoire, à la Protohistoire ou à l'Histoire selon les populations et régions concernées. L'âge du fer débute vers 1200 av. J. Historiographie[modifier | modifier le code] L'existence d'un âge du fer est déjà évoquée dans le De rerum natura de Lucrèce, mais comme simple hypothèse philosophique[4]. L'invention de l'expression « âge du fer » est attribuée au chercheur danois Christian Jürgensen Thomsen[5]. Cette période succède, en Eurasie et en Afrique du Nord, à l'âge du bronze et accompagne ou précède l'entrée des peuples concernés dans l'Histoire. La notion d'âge du fer ne doit donc pas s'entendre partout comme une notion chronologique ou comme un stade d'évolution.
de 1435 à 2000
8 mai : fin de la deuxième guerre mondiale En 1944, « les destructions couvrent tout notre sol, rappelle le Général de Gaulle dans ses Mémoires. Il manque des logements pour six millions de Français. Et que dire des gares écroulées, des voies coupées, des ponts sautés, des canaux obstrués, des ports bouleversés ? Quant aux terres, un million d’hectares sont hors d’état de produire, retournés par les explosions, truffés de mines, creusés de retranchements. Partout, on manque d’outils, d’engrais, de plants, de bonnes semences. le programme du CNR prévoit aussi : « Une retraite permettant aux vieux travailleurs de finir dignement leurs jours » « Le retour à la Nation des grands moyens de production monopolisés, fruit du travail commun, des sources d’énergie, des richesses du sous-sol.... « Qu’était ce programme ? « Nous ne pourrons pas nous contenter d’un système asservi au culte du profit, impitoyable aux faibles, nos usines sans ouvriers, nos campagnes sans paysans.
de 2000 à 2009
29 septembre: Les plans de sauvetage des banques le gouvernement US veut injecter 700 milliards de dollars pour sauver l'économie américaine: projet finalement rejeté par le congrès au dernier moment.il est finalement revoté et connu désormais sous le nom de plan Paulson. Le Bénélux nationalise une banque pour protéger l'épargne de ses citoyens Le gouvernement britannique nationalise 3 nouvelles banques qui risquent la faillite. Encore et toujours le même scénario: on privatise les profits et on nationalise les pertes, le contribuable est toujours perdant. en quelques mois, la Bourse de Paris a perdu 40 % de sa valeur. De grandes institutions bancaires, comme Fortis ou Dexia, sont déclarées en faillite et sauvées « de justesse » par le rachat par les gouvernements nationaux. le 6 octobre : nouveau lundi noir la dégringolade se poursuit depuis le 29 septembre. échec dans l'immédiat du plan Paulson Pourquoi le krach du 6 octobre?
de 2001 à 2009
petit boormark de désintox sur les retraites : Nous ne paierons pas leur crise "Avec la contre-information délivrée ici, rigolote sur la forme mais sérieuse sur le fond, pas bête mais accessible, combative mais pas sectaire, on peut entamer le travail de conviction dans notre famille, parmi nos amis, nos cousins, nos collègues. Comme quoi, tout simplement, des marges de manœuvre existent. En 1944, « les destructions couvrent tout notre sol, rappelle le Général de Gaulle dans ses Mémoires. En 2009, les exonérations fiscales ont coûté près de 75 milliards d'euros à l’Etat, alors que l'Impôt sur le revenu ne rapportait "que" 51 milliards. capturé sur alternatives économiques Woerth qui noie grossièrement le poisson face à Paul Jorion: Vive les retraites ! Lordon: et si on fermait la bourse ? Vive les peuples grecs et islandais !