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Oppida celtiques, atlas des fortifications celtiques Europe, villes celtiques, oppidum gaulois

Oppida celtiques, atlas des fortifications celtiques Europe, villes celtiques, oppidum gaulois

Oppidum de Gergovie | Dossier Situé à 6 km au sud de Clermont-Ferrand, le Plateau de Gergovie se présente sous la forme d'une table basaltique de 1500 m de long, 500 m de large. De ses 744 m de hauteur, il domine une grande partie du département du Puy de Dôme. Carte de France situant Gergovie Pour profiter du panorama qu'offre ce belvédère naturel, il suffit d'emprunter le chemin qui longe la crête. Si votre regard se pose du côté nord-ouest, il suivra l'alignement des volcans de la Chaîne des Puys et découvrira à ses pieds la ville de Clermont Ferrand. Parvenu à la Maison de Gergovie, vous pourrez découvrir sur grand écran le déroulement de la célèbre bataille de 52 av. Lorsqu'il retrace les différentes péripéties de la bataille de Gergovie (Gergovia ou Gergobia selon les manuscrits), César utilise très souvent le mot oppidum pour désigner le site : " ex oppida Gergovia, in Arvernos ad oppidum Gergoviam, e regione oppidum " etc.... en tout une douzaine de fois.

Catégorie:Ville ou oppidum celtique Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette catégorie regroupe les villes, villages et places fortifiées des celtes. Pour vous aider, voici le lien vers une carte de la BNF du XVIIe siècle, reprenant les différentes routes et cités décrites dans la Guerre des Gaules par César et Hirtius, couvrant la France entière et la Belgique. Carte d'après la table de Peutinger remise en forme par les géographes du XVIIe s. Sous-catégories Cette catégorie comprend les 3 sous-catégories suivantes. Pages dans la catégorie « Ville ou oppidum celtique » Cette catégorie contient les 91 pages suivantes.

Oppidum « Oppidum » (du latin n. oppidum, pl. oppida : « ville », « agglomération généralement fortifiée » ; le pluriel francisé donne : oppidums[1]) est le nom donné par les historiens romains à un type d'habitat protohistorique fortifié que l'on trouve en Europe occidentale et centrale[2]. Il s'agit d'un lieu habité de façon permanente [2] qui remplit des fonctions économiques, politiques et parfois religieuses. Les oppida celtiques connaissent un âge d'or lors des IIe et Ier siècles av. J.-C., au cours de ce que l'on nomme la Civilisation des oppida. Après la conquête romaine, une bonne partie des oppida sont abandonnés au profit des agglomérations de plaine qui adoptent le nouveau modèle urbanistique romain tandis que d'autres continuent leur développement pour donner naissance à plusieurs grandes villes actuelles telles que Bourges (Avaricum) ou Besançon (Vesontio). Définitions[modifier | modifier le code] Définitions anciennes et étymologie[modifier | modifier le code] Liste non exhaustive.

Glauberg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le site et sa découverte[modifier | modifier le code] Les tumulus et l'oppidum. Le sité est connu depuis 1906 avec la découverte d'un torque. L'oppidum est fouillé par Heinrich Richter en 1933-33, puis par F.-R. Occupation[modifier | modifier le code] Le site est occupé tout au long de la période de Hallstatt (premier âge de fer), soit de -1300 à -400.Les premiers Celtes s'y seraient installés vers-450.Le village fortifié fut habité jusqu'au VIe siècle. La tombe princière[modifier | modifier le code] Un tumulus y est découvert au pied des fortifications, précédé d'une longue allée .On y trouve la statue à taille humaine (1m86) d'un guerrier en armes du même type que celle de Hirschlanden ainsi que des vases de bronze et des offrandes funéraires. Parc[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Glauberg, sur Wikimedia Commons

Heuneburg Heuneburg: Reconstruction des maisons celtiques La Heuneburg est un habitat protohistorique fortifié se trouvant sur le Haut Danube près de Hundersingen dans la commune de Herbertingen, entre Ulm et Sigmaringen en Bade-Wurtemberg, Allemagne. L'agglomération se constitue vers 600 avant notre ère, et est considérée comme l'un des plus importants centres urbains des Celtes en Europe centrale. Découverte du site et historique des fouilles[modifier | modifier le code] Le site fortifié est repéré au début du XIXe siècle et une première description en est donnée par Eduard Paulus (de) en 1882[2]. C'est en 1950 que se met en place un programme de fouilles systématiques qui se déroulera jusqu'en 1979 sous la direction de Adolf Rieth, Kurt Bittel, Egon Gersbach et Wolfgang Kimmig[4]. Depuis 2003, le site est l'objet d'un projet de recherche multidisciplinaire sur les centres celtiques entrepris par la Fondation allemande pour la recherche. Description du site[modifier | modifier le code]

L’histoire s’est arrêtée à Bibracte Bibracte et le Mont Beuvray : c’est bien là que se fit l’Histoire, celle des nations gauloises indépendantes, celle de l’union des peuples en révolte, de Vercingétorix, chef des Gaules… La Gaule vaincue, c’est encore là que César séjourna, qu’un président de la V° République voulu se faire inhumer… Rentrés dans l’Histoire en 58 avant notre ère, le Mont Beuvray et sa ville de Bibracte disparurent peu à peu des mémoires, pour resurgir deux mille ans plus tard, sous la truelle des premiers archéologues. Depuis plus de deux décennies, Bibracte, site archéologique hors norme, « haut lieu de mémoires » et « grand site de France » est l’objet de recherches entreprises par des équipes de chercheurs issus de toute l’Europe… Intervenants Vincent Guichard : protohistorien, directeur de l’établissement public de Bibracte

Oppidum des Encourdoules Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Situation de l'oppidum ligure[modifier | modifier le code] L'oppidum doit dater de la fin du IIIe siècle ou au début du IIe siècle av. J.-C. L'oppidum était entouré d'une enceinte. Au début du règne d'Auguste, l'oppidum est fortement remanié. Les vestiges de mobilier se raréfient au bas-Empire montrant une occupation qui périclite. Site des fouilles archéologiques. Des fouilles ont été effectuées en 2002-2005 sur une surface de 660 m2. On construit alors une porte monumentale à l'entrée du village, au-dessus de l'ancienne porte datant de l'âge du Fer (Tène final). En contrebas de l'oppidum se trouvait la nécropole où plusieurs mausolées ont été trouvés. 161 pièces de monnaies ont été trouvées au cours des fouilles menées de 1874 à 1889. Le site pourrait être aménagé pour le visiter[2]. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Oppidum du Castellar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Situation de l'oppidum celto-ligure[modifier | modifier le code] L'oppidum est connu depuis 1851 quand il a été signalé par le Dr Naudot. Le site se présente comme un camp celto-ligure couronnant une crête allongée. une enceinte extérieure, ou « murs avancés ouest du Mont Bastide »,une enceinte supérieure,un « bastion inférieur ouest ». Une quatrième protection a été définie par G. La réalité des trois systèmes défensifs décrits par le commandant Octobon est discutée par Pascal Arnaud. Des murs entourent l'oppidum, soit d'appareil cyclopéen soit d'appareil moyen. Le site a été occupé de façon sporadique comme l'ont montré les tessons retrouvés, datant de la fin du néolithique local et de la Tène. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] A. Articles connexes[modifier | modifier le code] Liste des monuments historiques des Alpes-Maritimes

Oppidum du Mont-Pezou Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Situation de l'oppidum[modifier | modifier le code] L'oppidum a été signalé dès 1882 par Paul Sénequier. Le site a été étudié par le colonel de Ville d'Avray vers 1900. Il a été fouillé par Maurice Sechter à partir de 1963. Le sommet de la colline du Pezou (altitude 269,9 m) est entouré par une enceinte à double parements en gros blocs, de 500 m de circonférence environ, conservée sur 2 à 3 mètres de hauteur. L'occupation romaine de l'oppidum était connue depuis longtemps. L'oppidum a été détruit à la fin de l'empire romain, probablement à l'époque datée par les découvertes de monnaies de Tétricus, de fragments de poteries sigillées et de verreries romaines (IIIe siècle de notre ère). Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liste des monuments historiques des Alpes-Maritimes

Camp ligure du Mont des Mules Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Situation de l'oppidum ligure[modifier | modifier le code] Le castellar est défendu par un mur en pierre sèche, en arc de cercle, qui délimite un périmètre d'environ 6 000 m². Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Henri Geist, Bénédict P. Articles connexes[modifier | modifier le code] Liste des monuments historiques des Alpes-Maritimes Liens externes[modifier | modifier le code]

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