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Marquage des oeufs et étiquetage

Marquage des oeufs et étiquetage
Rien ne ressemble plus à un œuf... qu'un autre œuf ?Pas si sûr... Certaines poules sont élevées dans des conditions plus effroyables que d'autres. Sur chaque emballage, le mode d'élevage doit être précisé et sur chaque œuf est inscrit un code : il indique les conditions de vie de la poule qui l'a pondu.Devant les lettres du pays d'origine (FR par exemple), un chiffre allant de 0 à 3 permet de savoir si cette poule vit en cage, au sol en bâtiment fermé, ou si elle a un accès au plein air. Mention obligatoire sur la boîte : « œufs de poules élevées en cages ». 68% des poules en France vivent enfermées dans des cages qui ne leur laissent même pas la place d'étendre leurs ailes sans se gêner les unes les autres. 16 poules/m² (l'équivalent d'une feuille A4 par poule !) Pas de sortie à l'extérieur Pas de lumière du jour Sexage : les poussins mâles sont broyés ou gazés Épointage : les becs sont souvent coupés peu après la naissance transport / abattage après un an de ponte Lumière du jour Sources Related:  GreenLife

Les oeufs de poule Les œufs de poules ont la taille et la couleur qui varient en fonction de la race. Chez nous, les extrêmes vont de 38 g. pour notre petite poule anglaise à 100 g., le record d'une pondeuse de race Harco et même 105 g pour une Sex-Link. Les couleurs varient du blanc cassé au brun, dans les races les plus courantes. Couleurs La couleur de la coquille des œufs est fonction de la race de la poule. Dans la plupart des cas, l'oeuf est enrobé à la fin du processus de ponte par une couche colorée. Dans d'autres cas, le colorant est incorporé à la coquille en cours de fabrication. Celle-ci n'a aucune influence sur le goût. Parmi les particularités, on peut noter les œufs: bleu-vert des poules Araucana roux foncé des poules Marans Composition L'apport calorique d'un œuf est d'environ 85 Kcal/100 g. d'œuf. Sa composition chimique: avec notamment: Ceci se répartit comme suit: Notez toutefois que ce sont des moyennes et qu'il existe des variations d'une race à l'autre. L'œuf dans l'alimentation Anomalies

Le lait : bon ou mauvais pour la santé ? Profil santé Depuis plusieurs années, il existe une controverse quant aux effets positifs de la consommation de lait sur la santé. La littérature scientifique portant sur la relation entre le lait et l’apparition, la prévention ou le traitement de certaines maladies abonde. C’est pourquoi il est important de porter un jugement critique et objectif. Les énoncés ci-dessous se veulent un reflet des données scientifiques actuelles. Certains éléments de controverse, qui ne sont pas appuyés par des recherches scientifiques, sont brièvement présentés en tenant compte de la documentation accessible sur le sujet. Principes actifs et propriétés Le lait contient plusieurs vitamines et minéraux, dont le calcium et la vitamine D (ajoutée), essentiels au maintien de la santé osseuse. Maladies cardiovasculaires. Lipides sanguins. Hypertension artérielle. Obésité. Ostéoporose. Diabète. Cancer. Autres propriétés Nutriments les plus importants Calcium. Phosphore. Vitamine B2. Vitamine B12. Vitamine D. Notes

Arrêté du 8 juillet 1977 relatif aux ovoproduits destinés à la consommation humaine Méthodes d'analyses concernant les ovoproduits. Abrogé par Arrêté 1992-04-15 art. 8 JORF 14 juin 1992 I - Ovoproduits liquides ou congelés. - Echantillonnage. 1. Lot composé de plusieurs unités. n = 10 % du nombre des unités composant le lot si le lot comporte moins de 100 colis ; n = racine carrée du nombre d'unités composant le lot si le lot comporte entre 100 colis et 1000 colis ; (au-dessus de 1000 colis, il sera prélevé un échantillon supplémentaire par tranche de 1000 colis). 2. n = 1 si le poids total du lot est inférieur à 100 kg ; n = 3 si le poids total du lot est supérieur à 100 kg. - Matériel de prélèvement. Perceuse électrique avec mèche d'acier chromé de 380 mm de long et 25 mm de diamètre. Récipient correspondant aux dimensions de la mèche et contenant de l'alcool à 90 degrés ; il est utilisé pour la désinfection de celle-ci. Lampe à gaz de pétrole liquéfié ; coton hydrophyle ; compresse de gaze. Flacons "col de santé" de 250 ml, stérilisés. Cuillères métalliques stériles. Composition :

Le lait : de la colle, des hormones et du pus… | Site Officel de Mutien (FR) On ne peut aborder ce sujet sans parler de Robert Cohen, surnommé aux USA, « l’homme anti-lait ».Il a écrit l’un des livres les plus fascinants et les plus documentés sur ce sujet : MILK,The deadly poison (« Le lait, poison mortel »), qui a fait grand bruit aux USA (pas encore traduit en français). Dans sa dédicace, il s’adresse à « toutes les personnes dans le monde qui souffrent de toutes sortes de troubles de santé sans être conscients de l’origine alimentaire de leurs maux. Puissent-elles découvrir que la fontaine de jeunesse, pour elles, leurs enfants et les générations futures, pourrait bien venir du simple fait d’éliminer le lait de leur vie ! » Une tachycardie en 20 minutes ! Je fais partie de ceux-là….avec une tachycardie à la clef dans les 20 minutes qui suivent. Parlons un peu des bébés : Les vaches à lait sont des vaches malades ! La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait. Le cancer du lait Et le calcium ? - Source -

Le scandale alimentaire qui s'annonce LE MONDE | • Mis à jour le | Par Fabrice Nicolino, enquêteur, chroniqueur et reporter Que se passe-t-il vraiment dans l'univers de la viande industrielle ? Et que nous fait-on manger, de gré ou de force ? La première, publiée en 2011, montre la présence dans le lait - de vache, de chèvre ou d'humain - d'anti-inflammatoires, de bêtabloquants, d'hormones et bien sûr d'antibiotiques. La seconde, qui date de 2012, est encore plus saisissante. Analysant des petits pots pour bébés contenant de la viande, ils y ont découvert des antibiotiques destinés aux animaux, comme la tilmicosine ou la spiramycine, mais aussi des antiparasitaires, comme le levamisole, ou encore des fongicides. Certes à des doses très faibles – en général –, mais, comme on le verra, la question se pose aujourd'hui dans des termes neufs. On remarquera que, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone. Sait-on comment l'oxytétracycline se mélange avec la gonadolibérine chez un poulet ?

Gaz de schiste : quelles conséquences sanitaires ? Trois chercheurs américains se sont penchés sur les effets sanitaires de l'exploitation du gaz de schiste. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Que sait-on des effets sanitaires de l’exploitation du gaz de schiste ? La question sanitaire devient d’autant plus sensible outre Atlantique que, dans la dizaine d’Etats producteurs, le développement rapide des gaz de schiste et de réservoirs compacts, place un nombre croissant d’Américains à proximité d’installations gazières de toutes sortes. Plusieurs études rassemblées montrent qu’un grand nombre des substances utilisées pour le fracking peuvent avoir des effets sanitaires. « A certaines concentrations, plus de 75 % des produits identifiés sont connus pour affecter négativement les yeux, la peau et d’autres organes sensoriels, le système respiratoire, le système gastro-intestinal et le foie, écrivent les auteurs.

Gaz de schiste : alerte sur la toxicité des additifs utilisés LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir « On sait encore très peu de choses sur les risques potentiels pour la santé d'environ un tiers des produits chimiques utilisés pour la fracturation hydraulique... » Pire, « huit substances ont été identifiées comme particulièrement toxiques pour les mammifères. » C'est ce qui ressort de communications scientifiques présentées à la 248e conférence de la Société américaine de chimie, organisée du 10 au 14 août à San-Francisco. Il y a été question du « risque possible de contamination des eaux souterraines », des « séismes induits » par l'exploitation des huiles et gaz de schiste et, donc, de la toxicité des additifs chimiques auxquels a recours la fracturation hydraulique. Un sujet particulièrement sensible au pays des hydrocarbures non conventionnels. Lire le dossier (en édition abonnés) : Révolutions sur la planète gazière Lire l'analyse : Gaz de schiste : quelles conséquences sanitaires ?

Les 10 additifs alimentaires les plus mauvais pour la santé ALIMENTATION - Nombreux sont ceux qui ont pris l'habitude, ces dernières années, de bien lire l'étiquette au dos d'un produit avant de l'acheter. Bon réflexe, encore faut-il que ces étiquetage ne nous induisent pas en erreur, et qu'ils nous renseignent sur certains ingrédients ou additifs alimentaires qui squattent certains produits. En France, la liste des ingrédients doit figurer sur le produit par ordre d'importance décroissante, y compris les additifs et les arômes ajoutés. Comme leur nom l'indique, les additifs sont des produits ajoutés aux produits alimentaires de base dans le but d'en améliorer la conservation, la couleur, le goût, l'aspect… Mais parfois, un constituant peut en cacher un autre. Une addition malsaine Nos confrères du Huff Post Canada s'en sont référés à la nutritionniste canadienne Danielle Felip, pour connaître les aliments de tous les jours qui contenaient les additifs alimentaires les plus nocifs sur le long terme. Envoyer une correction Contactez-nous

Opération Pommes en ville - 2013 - Collectif Raccourci Opération Pomme en Ville Plan Google Les 21 et 22 septembre 2013, salariés, paysans et « consomm’acteurs » se sont relaieront pour aller à la rencontre des passants et leur offrir plus de 5000 pommes issus de l'agriculture locale ! Aujourd’hui à Lyon, consommer responsable et soutenir l’agriculture locale c’est possible et accessible à tous. Organisée par le collectif Raccourci*, cette action symbolique a pour objectif d’informer largement les citoyens sur l’existence des circuits courts alimentaires et sur leur nécessité pour le maintien de l’agriculture sur notre territoire. En Amap, en coopérative, systèmes de paniers avec ou sans abonnement, ce sont plus de 4000 foyers qui s’approvisionnent chaque semaine sur près de 100 lieux de distributions dans l’agglomération.

Le bio, c’est meilleur pour la santé selon une revue de 343 études « Nous avons montré sans l’ombre d’un doute qu’il existe des différences de composition entre les aliments issus de l’agriculture biologique et ceux issus de l’agriculture conventionnelle », affirme dans une étude publiée dans « British Journal of Nutrition », le Pr Carlo Leifert spécialiste en agriculture écologique à l’Université de Newcastle. Et cette différence est en faveur des aliments bio : « Notre étude démontre que le choix d’aliments produits selon les normes de l’agriculture biologique peut conduire à une consommation accrue d’antioxydants nutritionnellement souhaitables et à une exposition réduite aux métaux lourds toxiques. Elle apporte aux consommateurs de nouvelles informations importantes par rapport à celles disponibles jusqu’à présent qui étaient contradictoires dans de nombreux cas et ont été souvent source de confusion », poursuit le Pr Leifert. Anti-oxydants et vitamines Métaux lourds et pesticides Dr Lydia Archimède

L’incroyable régime Seignalet Le Docteur Jean Seignalet (1936-2003), un de mes excellents collègues, était interne des hôpitaux de Montpellier (promotion 1962). Il fut maître de conférence à la Faculté de Médecine de Montpellier, directeur du laboratoire d’Histocompatibilité de 1969 à 1989 au Centre de transfusion et d’hématologie. Infatigable scientifique et chercheur, il était diplômé et très compétent en trois domaines : l’immunologie, la gastro-entérologie et la rhumatologie. Il avait largement les compétences et les publications pour être professeur titulaire mais les jalousies et manœuvres locales l’en ont empêché. Il est, de tous les universitaires de Montpellier, celui qui aura laissé le plus de traces positives pour la santé publique. Il fut, à Montpellier, pionnier dans le développement de nombreuses greffes d’organes : rein, foie, cœur, pancréas… permettant de mieux sélectionner et adapter donneur à receveur. « Que ton aliment soit ton seul médicament » Voyons d’abord ses découvertes et résultats

Appli mobile Dans le cadre du programme Océan, la Fondation GoodPlanet a développé l’application « Planet Ocean » pour informer les consommateurs sur les espèces marines les moins menacées et encourager une pêche durable. Pédagogique et pratique, l’appli « Planet Ocean » répertorie 100 espèces de poissons, coquillages et crustacés selon leur provenance, l’état de leur stock et leurs techniques de pêche. Elle saura guider le consommateur dans ses choix en l’aidant à identifier les espèces gérées durablement. Vous y découvrirez aussi les actualités du monde marin en temps réel à travers les articles du magazine GoodPlanet, des conseils conso et des recettes de cuisine. L’appli « Planet Ocean » est gratuite. En quelques clics > Voir le film sur YouTube : > Télécharger l’appli sur Android : > Télécharger l’appli sur iOS :

Près du tiers de l'humanité souffre d'obésité ou de surpoids L'obésité devient une pandémie galopante affectant les pays riches comme ceux en voie de développement. Les jeunes sont particulièrement en danger. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir C'est un tableau clinique terrifiant, qui devrait faire réagir gouvernements et responsables des politiques de santé publique. Près d'un humain sur trois souffre d'obésité ou de surpoids. Pire, au cours des trois dernières décennies, ce fléau sanitaire s'est considérablement aggravé, dans les pays pauvres comme dans les pays riches, progressant au total de 28 % chez les adultes et de 47 % chez les enfants et adolescents. L'étude synoptique publiée jeudi 29 mai dans la revue médicale The Lancet, par une équipe internationale de plus de 150 chercheurs, est la première à rassembler, de façon harmonisée, l'ensemble des données disponibles sur ce sujet. Face à cette maladie, tous les pays ne sont pas égaux. Lire aussi (édition abonnés) : Un Mexicain consomme 163 litres de sodas par an

Modern Nutrition Policy is Based on Lies and Bad Science January 19, 2013 | by Kris Gunnars | 19,717 views | 23 Comments Two weeks ago I posted a presentation by comedian Tom Naughton about the difference between good and bad science. A must-watch for anyone interested in nutrition, in my opinion. Today, we’re back with Tom Naughton but this time he tackles the science (or lack thereof) that originally implicated fat as a cause of cardiovascular disease and shaped the dietary guidelines of the past few decades, with devastating consequences. This is actually a video split into 6 parts, total run time is a little over an hour. The Seven Countries Study In the year 1958, an American scientist called Ancel Keys started a study called the Seven Countries Study, which examined the association between diet and cardiovascular disease in different countries. The study revealed that the countries where fat consumption was the highest had the most heart disease, supporting the idea that dietary fat caused heart disease. The McGovern Committee

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