RepRap, la machine réplicante qui fait peur aux capitalistes L’un des multiples objets 3D réalisés par la RepRap Machine d’Adrian Bowyer, qui dit travailler sur l’auto-réplication des objets. En open-source, naturellement… © RepRap RepRap, la machine réplicante qui fait peur aux capitalistes « Nous sommes en 2020, les hackerspaces, fablabs et autres usinettes se comptent par milliers en France et pas seulement dans les grandes villes. Des gens de bonne volonté se sont regroupés dans certains villages désertiques, dans d’anciennes MJC-Algeco de banlieues "chaudes", dans des usines désaffectées. Nous sommes en 2010 et ceci n’est pas une fiction, c’est écrit sur le site d’Usinette. Adrian Bowyer présente son RepRap Project et sa machine infernale : Alors donc, cette RepRap machine (pour « replicating rapid prototyper ») et sa copine, la Makerbot, une imprimante 3D open source, sont des machines anticapitalistes. La Makerbot, la copine de la RepRa, version Dark Vador : Cindy désire une assiette pour son invité supplémentaire !
Le gouvernement recommande l’utilisation de logiciels libres Voici une bonne nouvelle pour les défenseurs des logiciels libres. Le 19 septembre 2012, le premier ministre Jean-Marc AYRAULT a diffusé une circulaire qui vise à encourager l'adoption de logiciels libres dans les administrations publiques françaises. Ce document, qui fait 19 pages, nous explique dans un premier temps ce que sont les logiciels libres (section 2, page 5) et nous détaille ensuite (section 3.1, page 7) les avantages qu'ils peuvent apporter dans le contexte public : leur coût est souvent moins cherils sont pilotés par les besoins, minimisant les évolutions superfluesils offrent du support sur du long termel'absence de droit d'usage permet d'évoluer sans contrainteils facilitent la mutualisation entre les acteurs publicsils apportent une meilleure transparence On nous explique également (section 3.3.2, page 10), que certains contextes sont défavorables au modèle du libre. La section 4 (page 11) nous décrit comment l’État doit agir pour favoriser l'usage des logiciels libres.
L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain "Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd'hui autour de l'impression 3D", s'énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs - la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars - et que Pirate Bay estime que les "physibles" - les plans d'objets qu'on peut réaliser via des machines 3D et qui s'échangent dès à présent sur The Pirate Bay - sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de "l'expédition". C'est-à-dire qu'il sera bientôt plus coûteux d'expédier une pièce depuis la Chine ou de n'importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l'impression 3D "Ce n'est pas seulement prématuré, c'est absurde", rétorque Christopher Mims. Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l'impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu'il y a encore à accomplir. Hubert Guillaud
Ceci est une Révolution : ce que l'Open Source a changé Logiciel libre et open source Revenons aux origines. Le logiciel libre est imaginé dans les années 80 par Richard Stallman. A certains égards, l'open source est un mouvement humaniste. L'open source, disons ici plutôt le logiciel libre, porte aussi un message particulièrement d'actualité: le logiciel nous contrôle, il est vital pour nous de contrôler le logiciel. Ces 20 dernières années, le logiciel libre et open source, réuni sous l'appellation FLOSS, a apporté d'incroyables bouleversements. Dans l'informatique, une révolution aux multiples facettes D'abord dans la manière de créer des programmes. L'open source a apporté une rupture dans l'économie du logiciel en abaissant les coûts d'une manière incroyable. Comme toutes les révolutions technologiques depuis la machine à vapeur, l'open source a amené une forme de destruction créatrice, comme l'avait décrit l'économiste Joseph Schumpeter. Le développement logiciel a été profondément modifié lui aussi. Open Innovation Open Art Open hardware
L’imprimante 3D, une opportunité pour créer un nouveau marché L’imprimante 3D est principalement utilisée pour la fabrication des prototypes directement à partir d’un plan. Devenue plus efficace et meilleur marché, elle est perçue comme une menace pour l’industrie. C’est en fait une opportunité… L’imprimante 3D offre aujourd’hui l’avantage d’une grande flexibilité dans le processus de fabrication. Chaque objet peut être fabriqué d’une manière individualisée pour répondre aux diverses demandes ou bien pour s’adapter en temps réel aux changements de la demande du marché. La technique d’impression 3D modifie la structure des coûts: le coût unitaire de fabrication pour les grandes séries est certes plus élevé que celui de la fabrication traditionnelle, mais il est meilleur marché pour les petites séries et les très faibles quantités personnalisées. Les sociétés Sculpteo et Shapeways fabriquent à la demande, et prennent les commandes par Internet. Quand l’imprimante 3D sera accessible au grand public… Mes conseils : Benoit Sarazin by
Open Data : Europeana ouvre les données de 20 millions d'oeuvres Europeana, la médiathèque co-financée par l'Union Europénne, a annoncé mercredi la mise en ligne d'un ensemble de métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres numérisées, sous une licence gratuite qui autorise toute forme d'exploitation. Excellente nouvelle pour les développeurs, et pour les amateurs d'art. Alors qu'en France les données culturelles sont exclues du champs des données devant être offertes librement au public, Europeana a annoncé mercredi l'ouverture de ses métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres référencées, dans 29 langues. Les données accessibles via une API sont publiées sous une licence Creative Commons CC0, la plus généreuse de toutes, qui autorise quiconque à exploiter l'ensemble gratuitement, y compris à des fins commerciales, sans aucune restriction. Lancé en novembre 2008, Europeana met en ligne des oeuvres numérisées issues de différents musées, bibliothèques, archives et collections audiovisuelles européennes. Lire L'Assemblée nationale se met à l'Open Data
Stereolithography How are parts built? SLA enables the building of complex, 3-D models by successively "laser-forming" cross sections of liquid resin, using data from most surface or solid modeling CAD systems.The .STL file sent to the machine is sliced into small layers and the laser is driven by the design. The liquid plastic hardens only where touched by the laser beam, and the model is built layer-by-layer, without tooling, programming, or machining. After each pass of the laser, the platform on which the exposed polymer sits is lowered, submerging the hardened material under the surface of the liquid in the vat. When the part is finished the uncured resin is drained off and the supports are removed. The SLA machine The platform holds the part and is lowered to create new layers. Multiple parts made using SLA. The oven used to cure the finished part. If you would like to get a part manufactured using SLA, contact Jim DiPasquale (jimdipas@engrng.pitt.edu) from University of Pittsburgh.
Wikilivres:Tous les livres Un livre de Wikilivres. La bibliothèque contient 476 livres actuellement. Information : Il existe, pour le moment, deux systèmes d'indexation internes pour trouver du contenu : Le système de catégories . La quasi-intégralité des livres peuvent être trouvés via ce système.La classification décimale universelle , utilisée dans les bibliothèques. Tous les livres par catégorie Tous les livres selon la classification décimale universelle Recherche thématique des livres selon la Classification Décimale Universelle (CDU) Pourquoi les entreprises doivent adopter l’impression 3D dès maintenant Selon Gartner, « le moment est idéal » pour expérimenter cette technologie, alors que les imprimantes 3D vont passer à une utilisation et des tarifs bien plus accessibles. L’impression en trois dimensions est en train de passer d’un marché de niche à un marché généralisé. Les entreprises qui tardent à examiner comment la technologie pourrait leur être bénéfique seront désavantagées sur le plan de l’innovation par rapport à leurs rivales qui prennent la technologie au sérieux. Tel est le message essentiel à retenir d’une nouvelle note de recherche de Gartner, l’un des plus grands cabinets de conseil et d’études informatiques. Tester en prenant un risque minime Récemment, nous avons vu les grands fabricants de chaussures Nike et New Balance utiliser l’impression 3D pour fabriquer et personnaliser des éléments de leurs chaussures, ce qui aurait pris beaucoup plus de temps, voire aurait été impossible, avec la fabrication traditionnelle. À lire aussi
L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler. Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo Bernard Stiegler
Des organes imprimables? La révolution des cellules souches imprimées en 3D Des chercheurs affirment avoir trouvé la solution pour utiliser l’impression 3D afin de créer des cellules souches… alors, quelle est la prochaine étape? Les donneurs d’organes sont malheureusement rares. En outre, même si vous trouvez un donneur compatible, après avoir passé un long moment sur liste d’attente, les conditions se détériorent et il est possible qu’un organe ne puisse pas être accepté. Le manque d’organes disponibles fait partie des raisons qui incitent les hôpitaux à se livrer des batailles incessantes sur le rationnement de ces ressources. Comme me l’a confié un chirurgien de ma connaissance, cette situation peut non seulement mettre à mal la relation entre les différents hôpitaux, mais aussi avoir un impact sur les patients. Alors que peut-on faire, hormis trouver des méthodes artificielles pour prolonger la vie jusqu’à ce que des organes soient disponibles ou créer des substituts aux organes? Ainsi, le Dr Will Shu explique: À lire aussi
Peut-on être anonyme sur le Net ? Du mot « anonyme » et des notions aussi mal comprises d’appellation et d’identifiabilité en marge de la révélation de l’identité de Noisette Sociale. Notions abordéesNotion abordée : Le niveau d’identifiabilité d’une personne décrite par un ensemble d’informations ne résulte pas nécessairement de l’usage ou non d’identificateurs. Un fait divers presque banal sur le Web, dont voici la version de la journaliste Josianne Massé de Branchez-Vous ! : « Noisette Sociale a blogué sous un pseudonyme pendant deux ans. (…) Au milieu d’un conflit entre blogueurs, sous la forme d’un commentaire anonyme, la véritable identité de Noisette Sociale a été dévoilée. Évidemment, l’incident a reçu moult échos dans la blogosphère. « Je me demande quoi penser de quelqu’un qui blogue de façon anonyme, pis qui ferme son blog parce qu’on l’a reconnu. » « Peut-on vraiment espérer demeurer anonyme ? En effet. En fait, le mot « anonyme » même est source de confusion, comme l’attestent plusieurs dictionnaires.
L'impression 3D peut sauver des vies humaines L’impression 3D, vous en avez certainement déjà entendu parler, avec un étudiant réalisant des sculptures en verre grâce au sable et au soleil égyptiens du désert de Siwa ou avec des chercheurs britanniques utilisant du chocolat comme matière première. Mais si cette impression 3D pouvait avoir une réelle utilité pour l’Homme ? C’est ce que des chercheurs de l’institut de Fraunhofer en Allemagne vont mettre en avant lors du salon des biotechnologies et des sciences du vivant Biotechnica qui aura lieu les 11, 12 et 13 octobre prochains à Hanovre en Allemagne. Le modèle d’imprimante 3D sur lequel ils ont planché et sur lequel ils ont récemment donné quelques détails s'appuie sur une technologie nommée polymérisation multiphotonique pour créer des vaisseaux sanguins ultra fins destinés à vasculariser des organes artificiels qui seront proposés aux personnes en attente de greffe.