Liste des principaux chefs croisés Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liste des principaux chefs croisés classés par croisade : La Salle des croisades du château de Versailles créée par Louis-Philippe en 1843 comporte les armoiries et noms des principaux chefs croisés. Première croisade (1096-1099)[modifier | modifier le code] Croisés[modifier | modifier le code] religieux[modifier | modifier le code] croisades de secours (1101)[modifier | modifier le code] venus entre la première et la seconde croisade[modifier | modifier le code] Deuxième croisade (1147-1149)[modifier | modifier le code] Croisés[modifier | modifier le code] Barons de Terre sainte[modifier | modifier le code] venus entre la seconde et la troisième croisade[modifier | modifier le code] Troisième croisade (1189-1192)[modifier | modifier le code] Croisés[modifier | modifier le code] Frédéric Barberousse habillé en croisé barons de Terre-Sainte[modifier | modifier le code] Quatrième croisade (1202-1204)[modifier | modifier le code] v.1210 : Jean de Brienne
Vocabulaire des croisades Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le vocabulaire des croisades et de la reconquista comprend un certain nombre de termes spécifiques à cette époque de conflits de religion. Proche-Orient[modifier | modifier le code] Entre 1095 et 1291 le Proche-Orient vit s'opposer croisés catholiques, byzantins orthodoxes et arabes musulmans. Ces dénominations et leur usages reflètent les revendications des chrétientés rivales d'Occident et d'Orient concernant la légitimité de l'héritage politique et religieux romain : l'Occident et l'Église de Rome se qualifient de « latins » et dénomment « grecs » les chrétiens orientaux (non sans mishellénisme) tandis que les chrétiens orientaux se qualifient de Romées et dénomment « Francs » les chrétiens catholiques, suivis en cela par les musulmans, bien que plus tard, le mot arabe roumi ait fini par désigner tous les chrétiens indifféremment de leur obédience[1]. Péninsule Ibérique[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code]
Sources arabes sur les croisades Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sources arabes sur les croisades ont longtemps été négligées dans l'historiographie occidentale. Les ouvrages de l'écrivain franco-libanais Amin Maalouf Les croisades vues par les Arabes et Léon l'Africain ont relancé l'intérêt pour ces documents. D'après l'historien Richard Fletcher : « Pour les écrivains islamiques contemporains [des faits], les Croisades n’étaient guère que des escarmouches qui infligeaient des piqûres d’épingle aux confins du monde islamique. ». Car, pendant ces croisades, il se passe bien d'autres événements dans le monde musulman. Ensuite, pendant toute cette période, le monde musulman est secoué par diverses factions et chefs de guerre qui se taillent des empires les uns sur les autres : les 4 branches Seldjoukides, les 6 branches Ayyoubides, les Mamelouks, les Ismaéliens, les Chiites, etc. Enfin, le monde musulman fait face à la même époque à une autre offensive : l’irruption des armées mongoles de Gengis Khan.
Portail:Ordre du Temple Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Articles récents Articles récemment créés ou ayant subi une évolution significative dernièrement Février 2014 Novembre 2013 Octobre 2013 Septembre 2013 Août 2013 Juillet 2013 Juin 2013 Mai 2013 Avril 2013 Février 2013 Janvier 2013 Décembre 2012 Organisation Si vous souhaitez participer à la rédaction et à l'amélioration des articles sur les templiers, vous êtes invité à visiter le Projet:Ordre du Temple et à venir discuter avec ses participants. Articles proposés (votes en cours) : Articles en phase de préparation : N'hésitez pas à venir voter pour de nouveaux articles ! 1095-1291 - Bilan des croisades - Herodote.net L'épopée des croisades a débuté en 1095 avec l'appel du pape Urbain II et s'est étiolée après la bataille de Hattîn, en 1187. Cette période clé du Moyen-Âge a connu par ailleurs l'épanouissement de l'art roman et de l'art gothique, ainsi que l'émergence de la bourgeoisie. Elle s'est caractérisée par une exceptionnelle poussée démographique de l'Europe. André Larané Les croisades en Terre Sainte Cliquez pour agrandir Le 27 novembre 1095, à Clermont, le pape Urbain II appelle les guerriers d'Occident à délivrer le Saint-Sépulcre et secourir les chrétiens d'Orient. Byzance sauvée ! Les croisades ont mis en branle dès 1095 plusieurs centaines de milliers de personnes (150.000 pour la première expédition militaire, 200.000 pour la malheureuse expédition de renfort de 1101, sans compter les pèlerinages populaires et les départs par petits groupes). Ils sont partis pour prier sur le tombeau du Christ, mûs par une foi profonde, sincère et naïve, aujourd'hui difficile à comprendre.
Bataille de Hattin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Contexte[modifier | modifier le code] Fin 1186 ou début de 1187, Renaud de Châtillon, seigneur d'Outre-Jourdain et de Montréal, brise la trêve en vigueur depuis près de six ans entre Francs et musulmans en s'emparant d'une caravane, pourtant sous forte escorte, qui se rend du Caire à Damas. Il en massacre les hommes en armes et emprisonne les commerçants et les caravaniers dans sa citadelle de Kérak. Par la suite, il attaque d'autres caravanes de pèlerins allant à La Mecque, et projette même de détruire le lieu sacré de l'Islam. Saladin essaie de se montrer patient et fait preuve de diplomatie, préférant se consacrer entièrement à la gestion de son pays. De leur côté, les croisés s’enlisent dans leurs querelles internes. Le 30 avril 1187, conformément à leur alliance, Saladin demande à Raymond de Tripoli de laisser ses éclaireurs faire une reconnaissance du côté du lac de Tibériade. La marche fatidique[modifier | modifier le code]
Bataille de Legnica (1241) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Bataille de Legnica (ou Bataille de Liegnitz ou Bataille de Wahlstatt) s’est déroulée en 1241 à Legnickie Pole (Wahlstatt en allemand), à proximité de la ville de Legnica (en Basse-Silésie) et a opposé les envahisseurs mongols (Tatars) aux Polonais commandés par Henri II le Pieux, renforcés par de nombreux chevaliers européens (y compris les Teutoniques) accourus pour défendre l’Europe contre les infidèles, et par des paysans et des mineurs. Elle clôt la première vague d'invasion de la Pologne par les Mongols. Traditionnellement, on considère que la bataille aurait eu lieu le , bien qu’aucune source historique ne confirme cette date. L’issue finale de la bataille a parfois été interprétée de manière très différente. Le nombre total de combattants est difficile à estimer. Le déroulement de la bataille est mal connu.
Bataille de Mansourah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Campagne précédant la bataille[modifier | modifier le code] Louis IX fut fait prisonnier durant la retraite. Déroulement de la bataille[modifier | modifier le code] Pendant plus d’un mois, les croisés restent bloqués, toutes leurs tentatives de franchissement du bras du Nil, notamment par la construction d’une digue, échouent. En arrière, le gros de l’armée croisée affronte les Sarrasins dès sa traversée du fleuve et réussit à repousser la cavalerie adverse qui l’avait contre-attaquée. Une nouvelle bataille générale a lieu le 11 février. L’après-bataille[modifier | modifier le code] Le 5 avril, touchés par une épidémie, privés de ravitaillement par la perte de leur flotte, capturée par les Mamelouks, les croisés font retraite. Louis IX est le premier souverain français à être capturé sur un champ de bataille[4]. Le , Damiette est restituée aux musulmans. Notes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Siège d'Ascalon (1153) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le siège d'Ascalon de 1153 succède de 5 ans au siège de Damas qui a été une grosse défaite pour le roi Baudouin III de Jérusalem. Voulant effacer cet échec cuisant, Baudouin III décida alors de lancer une attaque sur Ascalon, dernière place forte du littoral résistant encore aux croisés et constituant une menace pour le royaume de Jérusalem[1]. Au début de l’année 1150, Baudouin III se rendit tout d'abord à Gaza («Gadres»), afin de relever cette ville, ruinée à l'époque[3]. L’emplacement avait été choisi stratégiquement afin de couper tout lien terrestre entre Ascalon, situé à 20 kilomètres au nord, et l’Égypte. Baudouin III et son armée arrivèrent devant Ascalon le 25 janvier 1153, accompagnés par les Templiers de Bernard de Tramelay, les Hospitaliers de Raymond du Puy[4], le clergé de Jérusalem et sous la protection de la «Vraie Croix»[3], symbole du royaume croisé de Jérusalem.