http://francois.muller.free.fr/diversifier/index.htm
Related: PEDAGOGIE • Pédagogie du XXIe siècleLa pédagogie inversée La pédagogie inversée : les flipped classrooms : de nouveaux espaces-temps pour enseigner et apprendre à l'ère numérique Conférence de Marcel Lebrun, professeur à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'éducation de l'UCL de Louvain ; Le mercredi 3 Octobre 2012 lors du Forum@tice Document support de la conférenceLe blog de Marcel Lebrun A propos de la pédagogie inversée Qu'est-ce que c'est ? (Cégep Levis-Lauzon : informations et ressources en technopédagogie)Pédagogie inversée (Pearltrees de V. Conseils aux enseignants débutants Les pratiques pédagogiques de l'école publique de Saint-Didier-sous-Riverie ont souvent été empruntées ailleurs (nous devons beaucoup aux écoles Freinet) et mises en place de façon empirique. Les demandes que nous recevons nous obligent à les formaliser et à examiner à quelles conditions elles fonctionnent. Cette formalisation de notre expérience est redevable à Philippe Meirieu, à Dominique Ginet et surtout à Jacques Lévine. Améliorer la gestion d'une classe, conseils à partir de difficultés répertoriées (cycle 3)
COMPETICE Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye définit tout acte pédagogique comme l’espace entre trois sommets d’un triangle : l’enseignant, l’étudiant, le savoir. Derrière le savoir se cache le contenu de la formation : la matière, le programme à enseigner. L’enseignant est celui qui a quelques enjambées d’avance sur celui qui apprend et qui transmet ou fait apprendre le savoir. Quant à l’étudiant, il acquiert le savoir grâce à une situation pédagogique, mais ce savoir peut être aussi du savoir-faire, du savoir-être, du savoir agir, du faire savoir… Les côtés du triangle sont les relations nécessaires à cet acte pédagogique : la relation didactique est le rapport qu’entretient l’enseignant avec le savoir et qui lui permet d’ENSEIGNER, la relation pédagogique est le rapport qu’entretient l’enseignant avec l’étudiant et qui permet le processus FORMER, enfin la relation d’apprentissage est le rapport que l’élève va construire avec le savoir dans sa démarche pour APPRENDRE.
Les trois niveaux du stress du lundi ou retour de vacances Coach du bonheur Vos week-ends et vos vacances vous semblent toujours trop courts. Il arrive que vous ressentiez une boule au ventre lors de la rentrée mais vous ne comprenez pas comment interpréter ces signes. Mais connaissez-vous les trois niveaux de stress ? Stress logique La rentrée vous oblige à retrouver votre quotidien : sonnerie du réveil vécue comme une agression, horaires contraignants, retrouvailles avec certains salariés ou encore les obligations qui vous ennuient.
L'Agence nationale des Usages des TICE - Organiser l'écriture collaborative des élèves par Béatrice Coutelet * Écrire un roman, construire un site, rédiger un carnet de voyage... autant d'activités qui peuvent être réalisées de façon collaborative par les élèves, mais qui ne sont pas toujours faciles à mettre en place. Comment organiser les échanges entre élèves ? Quelles consignes donner ? Trois études publiées récemment montrent qu'un facteur crucial pour la réussite du travail collaboratif est de permettre aux élèves de communiquer facilement et souvent.
Comprendre l'apprentissage pour enseigner Nous partirons de l’un de nos principes : Enseigner, c’est mettre en place des situations (des dispositifs, des situations-problèmes, des activités … et pourquoi pas un bon exposé de synthèse) dans lesquelles l’étudiant(e) pourra apprendre. Ce « pourra » marque son intentionalité et une certaine indétermination. Nous nous baserons aussi sur une vidéo » Teaching teaching & Understanding understanding » qui tout à la fois inspire et illustre notre propos. « Teaching Teaching & Understanding Understanding » is an award-winning film about university and tertiary teaching generally. We follow Susan and Robert in their studies. Susan is a model student using learning activities that deepen her understanding; Robert uses low level activities that only just scrape him a pass.
Méthodes et modèles pédagogiques Frédéric Haeuw :"L’irruption massive des technologies et des réseaux dans la formation des jeunes et des adultes fait ressurgir de vieux débats sur les méthodes pédagogiques. Les Massive Open Online Courses, par exemple, sont généralement distingués en « xMOOC » plutôt basés sur une pédagogie transmissive de savoirs clairement identifiés dans des référentiels fermés, et en « cMOOC » dont les objectifs d’apprentissage sont plus ouverts et qui se basent sur le principe que ce sont les participants qui créent le contenu. On parle alors de méthodes pédagogiques, classées généralement en méthodes déductives (démonstrative, expositive …) ou inductives (active ou expérientielle), et l’on considère souvent que la méthode dépend de l’objet à construire ou à transmettre : les savoirs académiques se prêteraient davantage à une méthode déductive et les compétences à une méthode inductive. Les constructivistes répondent à cette question de manière radicalement opposée.
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Le numérique favorise-t-il l’indiscipline ? Le numérique est souvent critiqué pour être un lieu sans autorité ni discipline. Pourtant, Bruno Devauchelle nous explique qu'un certaine construction de la discipline est tout de même favorisée par l'expérience du numérique. Autorité et discipline (au sens réglementaire du terme) sont souvent associées à numérique dès lors qu’il s’agit de déplorer leur disparition. L'apprentissage collaboratif facilite la prise de décision et l'inventivité Utiliser des outils comme des bureaux tactiles multi-utilisateurs et connectés au tableau améliorerait la participation et à terme la maîtrise des savoirs inculqués. Cela, à condition que l'outil ne remplace pas l'enseignant. L'apprentissage en mode collaboratif améliore à la fois la maîtrise de matières comme les mathématiques mais aussi la vitesse d'exécution. Reste que travailler de cette manière implique des modes de faire mais aussi des technologies, comme des bureaux multi-utilisateurs et permettant plusieurs points d'interaction.
Les postures enseignantes — Une posture est une structure pré-construite (schème) du « penser-dire-faire », qu’un sujet convoque en réponse à une situation ou à une tâche scolaire donnée. Les sujets peuvent changer de posture au cours de la tâche selon le sens nouveau qu’ils lui attribuent. La posture est donc à la fois du côté du sujet dans un contexte donné, mais aussi de l’objet et de la situation, ce qui rend la saisie difficile et interdit tout étiquetage des sujets. Les « postures d’étayage » permettent de rendre compte de la diversité des conduites de l’activité des élèves par les maîtres pendant la classe : Une posture de contrôle : elle vise à mettre en place un certain cadrage de la situation : par un pilotage serré de l’avancée des tâches, l’enseignant cherche à faire avancer tout le groupe en synchronie.
Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Vers une déontologie de l’enseignement 1 Rawls, 2006, 62-63. 2 Kahn, 2006, 113. 1Le regain d’intérêt pour les questions d’éthique professionnelle et de déontologie peut être compris à la lumière d’une triple analyse. Il y a tout d’abord -fait sociologique majeur- l’évolution des sociétés démocratiques modernes qui, pour toutes une série de raisons (progrès des libertés, pluralité des modes d’expression,...), apparaissent marquées par « le fait du pluralisme1 ». C’est sans doute le propre des « sociétés ouvertes » que d’accueillir en leur sein une pluralité de valeurs et de points de vue idéologiques et axiologiques. Les deux autres raisons sont relatives au monde de l’enseignement et de l’école.