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70 Percent of Journalists Use Social Networks to Assist Reportin

70 Percent of Journalists Use Social Networks to Assist Reportin
According to a new survey from Middleberg Communications and the Society for New Communications Research (SNCR), as reported in PRWeek , 70 percent of journalists said they use social networks to assist in reporting (compared to 41 percent last year). This is a huge spike in one year, though it shouldn’t surprise any of us with all the lists of journalists using Twitter and other social networks. The survey also found that 69 percent of respondents go to company websites to assist in their reporting, while 66 percent use blogs, 51 percent use Wikipedia (wow), 48 percent go to online videos (double wow), and 47 percent use Twitter and other microblogging services (would have guessed higher on this one). A big part of this shift has to revolve around journalists having less help to do their jobs, while being required to produce more content across various formats in near real-time. When it comes to Twitter, 57 percent of journalists found this social medium to be credible.

USA : Facebook écrase MySpace, Twitter monte mais reste un nain Soumis parfois à une profonde critique, les réseaux sociaux n'en restent pas moins très utilisés, surtout aux États-Unis. Et si MySpace a longtemps écrasé le "marché", le phénomène Facebook écrase tout sur son passage depuis deux ans. Les chiffres d'Experian Hitwise parlent d'eux-mêmes. Captant moins de 20 % des utilisateurs de réseaux sociaux outre-Atlantique, Facebook a quasiment multiplié par trois ce pourcentage, occupant désormais 58,59 % de part d'audience. Facebook et MySpace occupent donc depuis près d'un an entre 80 et 90 % des utilisateurs de réseaux sociaux. Experian Hitwise a profité de l'occasion pour se procurer quelques statistiques intéressantes. Enfin, Experian Hitwise s'est renseigné sur les catégories d'âges des visiteurs de Facebook et MySpace. Nil Sanyas Journaliste, éditorialiste, créateur des LIDD, aime les interviews insolites et les tablettes tactiles (malgré leurs défauts).

VUVOX - slideshows, photo, video and music sharing, Myspace code Réseaux sociaux : les entreprises en sont encore au stade expéri 01net. le 28/09/09 à 11h57 Les réseaux sociaux sont davantage des laboratoires d'analyse que des outils stratégiques dans l'entreprise. » Tel est le constat dressé par Christophe Excoffier, directeur général de Novamétrie, lors de la présentation, le 24 septembre à Paris, de la première édition du Baromètre des réseaux sociaux en entreprise réalisé avec Digital Jobs, cabinet de conseil en management RH. Sa particularité ? Une trentaine de responsables des ressources humaines de moyennes et grandes entreprises (Cegid, Bouygues Telecom, IBM, PSA, etc.) et près de 300 salariés ont été sondés. Pour 80 % des DRH et pour 92 % des collaborateurs, les sites de mise en relation type Facebook ou Viadeo sont d'abord des outils d'image et de communication. Seulement 2 % des recrutements issus des réseaux sociaux Dans le recrutement, par exemple, les réseaux sociaux ne représentent encore qu'une part minime des ermbauches effectués (2 %). Reste que les choses bougent.

Vigie du Web Top 5 Social Media Myths Social media holds great advantages, whether for improving internal collaboration, communication and social learning, or for building and enhancing trust through more responsive communications with key stakeholders and clients. Unfortunately, some organisations still hold onto a number of fears that hold them back from utilising these tools: 1. Employees will waste time Fear: Employees will waste time regardless of whether social computing tools are available to them or not.Fact: Research from MIT notes that 40% of employees productivity is directly explained by the amoung of communication they have with others to discover, gather and internalise information. Employees with the most extensive digital networks are 7% more productive than their colleagues. [1] 2. Overall, the use of Web 2.0 technologies internationally has grown rapidly in the last few years with an increase in from approximately 0.5 billion to 0.67 billion participants between 2007 and 2008. 3. 4. 5. No ROI? 1. 2. 3. 4.

Soundslides: Software for Storytellers YouTube va rémunérer les auteurs des vidéos les plus populaires 01net. le 27/08/09 à 10h39 YouTube, le premier site mondial de partage de vidéos, annonce qu'il va reverser une partie de ses revenus publicitaires aux utilisateurs dont les clips sont les plus populaires. Le site, propriété du géant Google, compte étendre son programme de partenariat – créé en décembre 2007 – pour permettre aux particuliers de toucher des royalties lorsque leurs vidéos sont jugées éligibles, en fonction du nombre de visionnages et de leur diffusion dans la communauté des utilisateurs. Certains actionnaires de Google s'étaient montrés très critiques vis-à-vis de YouTube ces derniers temps, lui reprochant son incapacité à transformer sa grande popularité en source de revenus. Envoi d'un courrier électronique Jusqu'à présent, les contributeurs réguliers pouvaient être rémunérés s'ils s'inscrivaient de manière formelle au programme de partenariat. YouTube en quête de ressources

The pros and cons of newspapers partnering with 'citizen journal Bleacher Report, which calls itself “the Web’s largest sports network powered by citizen sportswriters,” made a big breakthrough for itself on Feb. 22… and the citizen journalism movement. The company announced it was beginning a partnership with Hearst to introduce local online editions in the newspaper publisher’s four largest markets, including San Francisco Chronicle’s SFGate, the Houston’s Chronicle’s Chron.com, the San Antonio Express-News’ MySan Antonio.com, and Seattlepi.com. Essentially, headlines will be pulled into the main sports page, highlighting local content from Bleacher Report’s citizen journalists. For the newspapers involved, the partnership represents an extra stream of advertising revenue and, most importantly, a commitment to increasing coverage of local sports. Sports pages are a particularly excellent venue for this test. Indiana University journalism professor David Weaver doesn’t even think citizen journalists should be the correct term in this discussion.

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