Égaux mais pas trop : Aux portes de l’élite Dans ce premier numéro, Rokhaya Diallo cherche à savoir comment entrer dans les formations universitaires d’élite au Pays de la méritocratie. Les filières d’excellence qui mènent à l’obtention d’un bon diplôme sont de plus en plus réservées aux milieux aisés, même si des initiatives tentent d’y remédier. Ainsi, Science Po fête les dix ans de sa « convention d’éducation prioritaire », qui a permis l’accès, sans examen d’entrée, à des élèves issus des ZEP. Saltana, Kemy et Hamid, mais aussi Aurélia qui est maintenant DRH à la Défense, témoignent de ce qu’est leur adaptation dans un nouvel univers. Rokhaya cherche alors à comprendre comment la France pourrait ouvrir ses formations d’excellence à la diversité Notre héritage républicain prône une démocratie pluraliste, porteuse de sens et de différences. A travers de nombreuses rencontres en immersion avec les citoyens concernés et les reportages en écho, Egaux mais pas trop bouscule les clichés sur la diversité.
Politesse dans la culture japonaise Les règles de politesse dans la culture japonaise sont essentiellement inspirées du shintoïsme et de la culture chinoise[1]. Elles forment un ensemble de codes stricts dont le sens profond cède le pas sur l'importance du respect des manières. Roland Barthes écrit ainsi : « Si je dis là-bas que la politesse est une religion, je fais entendre qu'il y a en elle quelque chose de sacré ; l'expression doit être dévoyée de façon à suggérer que la religion n'est là-bas qu'une politesse, ou mieux encore : que la religion a été remplacée par la politesse[2]. » Au Japon, le terme général reigi (礼儀?) Les salutations[modifier | modifier le code] Le salut (o-jigi) est probablement l'attribut de l'étiquette japonaise qui est le plus connu hors des frontières du Japon (le o est honorifique mais ne peut pas être enlevé pour ce mot). Il existe trois types principaux : informels, formels et très formels. Pour traiter avec des étrangers, beaucoup de Japonais serreront la main. Le keigo (敬語? Teineigo (丁寧語?)
Les codes du travail En parlant des codes du travail tout le monde pense à la réglementation au travail, aux lois, aux réformes, au ministre du travail, à Macron et Rebsamen, à la loi El Khomri, aux revendications, aux grèves, aux manifestations, aux casseurs, et peut-être même à la révolution… pour résumer : le code du travail. Mais mettre ce mot au pluriel en change le sens, et les codes du travail n’ont rien à voir avec tout cela. Pas besoin de banderole, de porte-voix, de pavés, de pieds pour marcher quand il n’y a pas de métro et de RER à cause des grèves. Alors de quoi s’agit-il ? Le costume En principe, le choix de se vêtir est libre au travail, sauf pour certains métiers où pour raison d’hygiène ou de sécurité il y a obligation de protections particulières : un casque, une blouse, un masque, des gants, des chaussures de protection, des lunettes… Également dans certains secteurs d’activité, le port de l’uniforme peut être imposé. La posture Ses codes au travail
Qui sont les profils des générations X, Y et Z ? - Millenials et Génération Z Vous n’êtes certainement pas passé outre les différents qualificatifs, attribués aux générations qui nous ont précédé ou succédé en ces temps d’évolution technologique. Ces années où nous sommes passés des ordinateurs aux smartphones et aux tablettes. Les générations X, Y et Z sont parmi nous et elles ont assuré tour à tour la redéfinition des usages et leur approche du digital notamment. Aperçu des générations depuis les Baby-boomers jusqu’à la génération Z Les sociologues distinguent la société du 21ème siècle en 4 types de générations : les Baby-boomers, personnes nées entre 1946 et 1965,la génération x, personnes nées entre 1965 et 1980,la génération y, personnes nées entre 1980 et 2000,la génération z, personnes nées à partir de l’an 2000 Pour mieux comprendre le fonctionnement de chacune de ces générations (X, Y, Z) il est nécessaire d’y mettre en parallèle les évolutions technologiques. Les générations X, Y, Z d’un point de vue général Les Baby-boomers La Génération X La Génération Z
Thème : préjugés et les stéréotypes La semaine prochaine… un choix de thème particulièrement différent et moins lourd puisque j’ai une grosse semaine de prévue ! Comme je l’ai déjà mentionné, je choisis nos thèmes en fonction des sujets qui apparaissent au sein de notre famille présentement. Comme je tiens à poursuivre un travail adéquat dans nos programmes scolaires, j’essaie de puiser mes ressources dans les manuels de chacun des niveaux des enfants. Je m’assure ainsi que la matière sera couverte malgré un parcours atypique. Mon thème pourrait être exploité de long en large sous plusieurs aspects.. mais, dans mon cas, mes deux derniers sont jeunes et ne voient pas ce qu’il y a de «bizarre» à côtoyer une personne d’une autre religion ou d’une autre nationalité, de se lier d’amitié avec une personne ayant un handicap quelconque ou de voir un homme occuper un emploi traditionnellement féminin. Je pense que tout le monde a déjà bien compris ma routine de travail : j’insère le thème dans une base individuelle de travail.