10 Ways to Escape An Awkward Situation Lonely Lights: l'exposition | Événements spéciaux | Activités | MNBAQ L'exposition Lancement: Mercredi 14 mai | 18 h à 21 h Exposition: Du 14 au 25 mai | En tout temps Gratuit Dans les cellules du pavillon Charles-Baillairgé Le magicien de la musique électronique de Québec Pascal Asselin, alias Millimetrik, poursuit son exploration foisonnante dans les méandres de la musique électronique depuis plus de 10 ans. Pour faire écho à l’univers musical de cet album conçu comme un circuit nocturne dans une ville inconnue que l’on explorerait lentement, Millimétrik a créé un parcours réel dans la ville de Québec pour découvrir, de station en station, des extraits de son album. Biographie Les bidouillages de Pascal Asselin (Millimetrik), ambassadeur de la ville de Québec, sont des paysages musicaux électroniques empreints d’images, de hip-hop et de rythmes à tempos lents nappés de bonne grosse basse. À lire: le billet de Millimetrik sur notre blogue. Photo: Carl Raymond.
Contagious Yawning: Why We Do It, What It Shows About Us Yawning is a mysterious thing. For starters, just reading that sentence may have caused you to yawn. The behavior, technically a reflex that involves opening the mouth and a simultaneous stretching of the eardrum, is contagious--and the video above sets out to explain why. The video was created by VSAUCE, a YouTube channel that offers "Amazing Facts & The Best of the Internet." It starts by debunking various myths about yawning. We don't do it for lack of oxygen, and it doesn't just help equalize the pressure in our heads—the real medical reason is less obvious, but you'll have to watch the video to learn what it is. We also learn about the function of pandiculation, or yawning and stretching simultaneously, and how animals that move in groups might have evolved such a mechanism. But not everyone can benefit. The video is full of interesting facts about yawning, including why other animals use it to look intimidating, attract mates, or just realign their jaws after a big meal.
Fun Adults – “Sap Solid Precision. Care. Attention to detail. In a world where anyone can pirate a copy of Pro Tools and start the road to stardom, complete internet anonymity, or the increasingly undefinable land the lies between, it’s common to come across tracks that feel utterly tossed off, completed with a deficit of discrimination in taste, choices, and thought. Well, nothing says “we are extremely precise” like restoring a 200-year-old barn to record your album. Which is exactly what British band Fun Adults did: The band have spent the summer renovating a 200-year-old barn into a studio, where they wrote, recorded and produced ["Sap Solid"], alongside friend and producer Tom Howe. With a product like “Sap Solid”–which combines a lilting, memorable melody with crisp percussion to enhance the pretty ache–perhaps more bands should find themselves barns to restore. (The Fader)
Timber Timbre On pourrait vous dire, on vous l’a dit cent fois déjà, à quel point cette musique est bonne. On pourrait en tartiner des pages, sur la moiteur des morceaux de Timber Timbre, sur ce son qui occupe l’espace, alourdit l’air, vient lécher les murs. Mais on l’a déjà dit cent fois, donc. Sachez donc juste qu’ils étaient ce soir là, dans cet appartement, en pleine possession de leurs moyens. Mais regardez surtout cet homme, Taylor Kirk. Mucca Pazza, Boss Taurus: Big Band, Itty-Bitty Stage : All Songs Considered Blog Take a humongous group of excitable jokers who have too much free time on their hands, mix in enough instruments to satisfy an entire marching band variety, toss a few gigantic pom poms and enormously-loud/elaborate outfits their way and you'll get Mucca Pazza. The Chicago-based band is a 30-piece (yes, 30 trombonists, trumpeters, guitarists, cheerleaders, and more) community of "circus punks" that makes music that sounds like the results of a rowdy weekend at band camp. Mucca Pazza's new song, "Boss Taurus," feels like a musical debate: the trumpets make a declaration; there's a response from the guitars; and the lone tuba tries to get a word in edgewise. The pieces constantly break apart and then get back to working together to get you bouncing in your chair. The video for "Boss Taurus" has a remarkably simple concept — the members of the band perform and goof off on a tiny stage for three minutes. For this video I wanted to keep things simple.
L'auto playlist de Timber Timbre Y avait-il un plan de bataille pour ce nouvel album de Timber Timbre ? Au début de l’enregistrement, il y avait l’idée de faire quelques chose de très épuré, de très simpliste et puis finalement on a fait exactement l’inverse ! Cela vient du fait qu’il y avait des instruments que l’on voulait utiliser et des endroits en particulier où l’on voulait travailler. On savait que l’on voulait par exemple aller au Banff Center pour écrire et travailler ensemble. Le studio possédait énormément de percussions, de superbes pianos, plein d’instruments que l’on n’avait pas l’intention d’utiliser au départ comme des carillons… et le premier truc que l’on a fait, c’est qu’on en a mis sur toutes les chansons. Et puis nous sommes allés dans un musée d’instruments de musique pour enfants, le Calgary National Music Center, et pour nous ce fut comme une cour de recréation. "Hot Dreams" a-t elle été l’une des premières chansons de l’album ? Oui, c’est l’une des premières. Quel adolescent étais-tu ?
Timber Timbre : «On préfère faire parler les sons» Il y a un délicieux soupçon de nostalgie dans Hot Dreams, dernière escapade des Canadiens errants de Timber Timbre. Mais, surtout, l’écho cathartique d’une mélancolie West Coast au plus près, au plus touchant. Langoureuse, fiévreuse, vénéneuse, mais en rien malheureuse. Histoire de décrypter les méandres d’une réussite troublante, on a posé sept questions différentes à chacun des deux hommes clés de Timber Timbre. Pour enregistrer l’album, vous avez frayé au National Music Centre de Calgary, où se trouvait une foultitude de claviers. Simon Trottier : Après un concert à Calgary, Taylor est allé visiter le NMC et m’a dit : «Simon, tu dois voir cette collection d’instruments, c’est un rêve pour les musiciens, nous devons y aller pour l’enregistrement du prochain disque.» Hot Dreams est inspiré d’un voyage à Laurel Canyon, en Californie. S.T. : En général, quand nous composons de la musique ou que Taylor se met à l’écriture, on se laisse influencer par tout ce qui nous entoure. T. T.K.