Ebooks : livres augmentés ou livres diminués ? L'appel des 451, exprimant les intérêts corporatistes à courte vue des acteurs de la "chaîne du livre", oublie les enjeux fondamentaux liés au livre numérique, au centre desquels les droits des lecteurs. Notre chroniqueur Calimaq se charge de nous les rappeler. La sphère intéressée par les mutations provoquées par le livre numérique est agitée depuis une semaine – à moitié par des rires convulsifs, à moitié par des grincements de dents – suite à la publication dans les colonnes du Monde d’une tribune intitulée “le livre face au piège de la marchandisation“. Émanant d’un “groupe des 451“, auto-désigné ainsi en référence au roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, ce texte constitue une diatribe radicale contre le livre numérique, bien que ses rédacteurs essaient de s’en défendre maladroitement à présent. Un ami paysan nous racontait : « Avant, il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. 1984 supprimé des Kindle Régression des droits Quels usages collectifs ? — Images Flickr
L'arbre de l'évolution à l'heure numérique Un méga-arbre phylogénétique explorable sur le Net : c'est le projet OneZoom. "Dessine-moi un mouton", demandait le Petit Prince à l'aviateur. La représentation graphique a toujours été vecteur de connaissance, mais aujourd'hui, dans une culture qui abandonne peu à peu l'écrit pour l'image, elle devient une composante essentielle de la transmission du savoir. Un second défi se dresse : comment rendre compte de la masse d'informations disponibles pour décrire fidèlement la complexité du monde dans lequel nous évoluons, et notamment la diversité de la biosphère ? Ce projet, lancé par James Rosindell de l'Imperial College (Royaume-Uni) et Luke Harmon de l'université d'Idaho (États-Unis), se veut "l'équivalent de Google Maps pour l'ensemble de la vie sur Terre". Quand Charles Darwin rencontre Larry Page Le premier arbre phylogénétique, tel qu'il apparaît en 1859 dans De l'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle de Charles Darwin.
Les 7 technologies numériques qui vont changer le monde 01net le 27/05/13 à 08h38 La révolution numérique, tout le monde en parle. Le cabinet McKinsey vient maintenant de la quantifier, au travers d’une étude sur les technologies dites disruptives, c’est-à-dire qui ont le pouvoir de changer la face du monde. Parmi les 12 technologies les plus disruptives identifiées, une majorité est formée par des technologies à dominante numérique : Internet mobile, automatisation de la connaissance, objets connectés, cloud computing, robotique avancée, véhicules autonomes et impression 3D. Source :
Emmanuel Davidenkoff: Informatique à l'école: veut-on un pays de consommateurs ou de citoyens concepteurs? Cette tribune a été précédemment publiée dans L'Echo Républicain. ÉDUCATION - "Il est urgent de ne plus attendre". C'est le sous-titre, bien peu académique, du rapport que l'Académie des sciences vient de publier sur l'enseignement des sciences informatiques à l'école. En filigrane, une question qui nous concerne tous: nos enfants sont-ils condamnés à n'être que des consommateurs passifs, ignorants, et aisément manipulables de l'ère numérique, ou saura-t-on en faire à la fois des acteurs de la révolution en cours et des citoyens éclairés, capables de dominer la machine et non d'en devenir les esclaves? Le rapport suggère notamment d'initier les enfants, dès le plus jeune âge à la "pensée algorithmique" -leur faire comprendre, par l'expérience, qu'une tablette ou un smartphone répondent à des séries d'instructions pensées et programmées par un être humain. Comme sur bien des sujets, l'Education nationale n'est pas totalement inerte en la matière.
Sciences informatiques à l'école : l'urgence Enseignement de l'informatique - QUESTION D'EDUCATION Gérard Berry : son CV et son site. Téléchargez le rapport Résumé des conclusions : "Forte de son analyse de la situation en France comme à l'étranger, notamment en Europe (Royaume-Uni et Allemagne), l'Académie des sciences détaille la nature des concepts (algorithme, langage, information, etc. ) à enseigner, et esquisse un cursus qui, débutant par une initiation aux concepts dès le primaire, monterait en puissance au collège et au lycée. Le rapport souligne l'importance d'individualiser une "discipline informatique", œuvrant dans un esprit d'interdisciplinarité, et pointe les besoins de formation de tous les enseignants à cette nouvelle discipline, notamment ceux de l'école primaire.
The Dark Side of Amazon's New Pilots I've been really, really excited about digital video distribution lately: first Netflix greenlights jms's return to science fiction TV, and then Amazon announces their new pilots. Perhaps the decade long dearth of any good television is nearing its end! So, with that in mind, I finished up editing Slashdot for the day and sat down to watch some of these new pilots. Only to discover that Amazon has taken away my ability to watch entirely in the name of Digital Restrictions Management. For ages now, Amazon Instant Video has worked with Android devices supporting Flash and, more importantly to many people (and me) it seems, through an unofficial XBMC plugin. This effectively kills access for everyone using GNU/Linux, even with the (officially unsupported) Adobe Flash plugin! But it seems the loss of access from XBMC is more widely felt: RMS cultists and pragmatic Windows users alike now suffer equally. The problem is that they are going to break the DRM and pirate everything anyway.
Why We Compute By Daniel Reed September 2, 2011 Comments (3) Why do we, as researchers and practitioners, have this deep and abiding love of computing? Why do we compute? Superficially, the question seems as innocuous as asking why the sky is blue or the grass is green. However, like both of those childhood questions, the simplicity belies the subtlety beneath. Just ask someone about Raleigh scattering or the quantum efficiency of photosynthesis if you doubt that simple questions can unearth complexity. At its most basic, computing is simply automated symbol manipulation. However, as deep and as beautiful as the notion of computability really is, I doubt that is the only reason most of us are so endlessly fascinated by this malleable thing we call computing. Lessons from Astronomy When I recently I stood atop Mauna Kea, looking at the array of telescopes perched there, I was again struck by our innate curiosity. Computing the Future Why do we compute? Hubble was right. Anonymous February 24, 2012 11:46
Épisode #120: La vulgarisation mathématique « Scepticisme Scientifique Scepticisme Scientifique Le balado de la Science et de la Raison « Épisode #119: Retour sur l’anomalie Petit-Rechain Épisode #121: Vous êtes une oeuvre d’art » Épisode #120: La vulgarisation mathématique Interview: Jean-Paul Delahaye. Tags: Jean-Paul Delahaye , Mathématiques , Nicolas Gauvrit , Vulgarisation scientifique This entry was posted on Thursday, September 1st, 2011 at 16:49 and is filed under Mathématiques , Vulgarisation scientifique . One Response to “Épisode #120: La vulgarisation mathématique” Philippe says: October 1, 2011 at 11:57 Bon : vulgarisation des maths… mais le sujet déborde très largement. Leave a Reply What is 5 + 9 ? IMPORTANT!
Il faut sauver Wikipedia Le nombre de contributeurs de Wikipedia diminue. Syndrome des experts que l'encyclopédie en ligne voulait éviter et faible adaptation aux nouvelles exigences du web expliquent en partie ce déclin, analyse Cédric Le Merrer. D’abord les chiffres : jusqu’à 90 000 en 2010, les contributeurs actifs n’étaient que 82 000 en juin dernier. Beaucoup sont persuadés que la chute du nombre de contributeurs n’est qu’un phénomène naturel : l’encyclopédie serait complète et surtout Wikipedia reflètant les centres d’intérêt de son contributeur moyen, “un geek masculin de 26 ans” selon son fondateur Jimmy Wales, l’encyclopédie manque fatalement de points de vue féminins et non occidentaux. Mais cette baisse somme toute assez limitée cache un phénomène plus alarmiste : Wikipedia ne correspond plus aux usages en vogue aujourd’hui sur le web, après avoir été pourtant le symbole le plus évident du web 2.0. Les nouveaux experts L’impossible personal branding des contributeurs