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Caravage et le courant caravagesque

Caravage et le courant caravagesque
Le Caravage Peintre parmi les plus appréciés de l’histoire de l’art, il doit son succès à l’expression véridique et passionnée des scènes qu’il a traitées. Michelangelo Merisi, dit le Caravage (Milan 1571 – Porto Ercole, Grosseto 1610), une vie courte, malheureuse et romanesque sert de cadre à sa très féconde activité artistique. Il fut apprenti à Milan auprès du peintre Simone Peterzano, élève de Titien. En 1592 il se rendit à Rome et connaît le cardinal Francesco Maria del Monte qui fut son premier puissant protecteur romain et exerça un sévère contrôle sur sa production de jeunesse, influençant certainement, au niveau théorique, sa formation artistique. La Vocation de saint Matthieu, 1600, Caravage, (Rome, Saint-Louis-des-Français). Jeune garçon au panier de fruits, vers 1594, Caravage, (Rome, Galleria Borghese). Les joueurs de cartes, vers 1594, Caravage, (Forth Worth – Texas, Kimbell Art Museum). La Mort de la Vierge, détail, 1605-1606, Caravage, (Paris, Musée du Louvre). La France Related:  peinture

Écoles Cosmè Tura L’école des maîtres de Ferrare L’école de Ferrare ou l’Atelier de Ferrare (Officina ferrarese) appelée ainsi par Roberto Longhi (1890-1970) considéré comme l’un des meilleurs connaisseurs de la peinture italienne du XIVe au XIXe siècle, est une école singulière. Sa croissance en tant qu’extraordinaire laboratoire formel d’élaboration et de pensée artistique fait de cette cité un cas unique. L’école de Ferrare naît auprès de la maison d’Este, qui soutient les arts dès le XVe siècle. Lire la suite » Les Primitifs flamands : la naissance d’un réalisme pictural La naissance d’un réalisme pictural Pendant le XVe siècle, la Flandre attirait les meilleurs peintres des anciens Pays-Bas. Ercole de’ Roberti Ercole de’ Roberti (Ferrare vers 1456 – 1496) Troisième des grands peintres ferrarais du XVe siècle, l’activité d’Ercole de’ Roberti se mêle à celle de Francesco del Cossa à Bologne où il fut un remarquable assistant de ce dernier dans des fresques et des œuvres sur bois. Jan van Eyck

Caravagisme Le caravagisme, ou école caravagesque, est un courant pictural de la première moitié du XVIIe siècle. Apparu à la suite de l'œuvre du Caravage à la fin du XVIe siècle, le caravagisme est parfois assimilé à une forme de baroque romain face au classicisme des Carrache. Cette idée est cependant à nuancer en raison des nombreuses similitudes qui rapprochent ces deux écoles romaine et bolonaise. Ce courant ne doit pas être décrit comme un groupe ou comme une école, car il ne constituait pas un mouvement structuré, mais tout au plus une imitation, une influence de l’Italie. Cette évolution intellectuelle se situe à mi-chemin entre l’opposition à la rhétorique classique des Académies d’une part, et le brillant enthousiasme illusionniste du baroque, d’autre part. L’école caravagesque d'Utrecht constitue, quant à elle, un groupe séparé[N 2]. Contexte historique et culturel[modifier | modifier le code] Peu de révolutions artistiques auront été aussi explicites et marquantes.

Michelangelo Merisi dit il Caravaggio en français le Caravage Peintre italien (Milan ? vers 1571-Porto Ercole, province de Grosseto, 1610). Initiateur d'une forme de réalisme populiste qui mit un terme à l'esprit de la Renaissance, le Caravage fut combattu par ceux que scandalisaient ses audaces. Considéré comme l'un des pères de la peinture moderne, il laissa en héritage le caravagisme, qui exerce toujours la même fascination. 1. Michelangelo Merisi tiendrait son surnom du village lombard de Caravaggio, d'où ses parents sont originaires et dans lequel il passe une partie de son enfance. C'est au cours de cette période que se joue le destin d'un artiste appelé à devenir révolutionnaire. 2. Très tôt, le Caravage adopte un style personnel. N'établissant aucune hiérarchie de valeurs dans les multiples aspects du réel qui nourrissent son inspiration, le Caravage traite un thème religieux comme le Repos pendant la fuite en Égypte (1595-1596) à la manière d'un thème trivial comme la Diseuse de bonne aventure (vers 1594). 3. 4. 5. 6. 7.

090215 - Le Caravage, La vie en clair-obscur : Rome / Art et foi / Documentaires premium Le Jour du Seigneur rend hommage au peintre Le Caravage , à l’occasion du 400e anniversaire de sa mort, avec un documentaire en deux parties. La vie de Michelangelo Merisi da Caravaggio dit Le Caravage est un véritable roman. Son tempérament colérique et querelleur est aussi célèbre que son talent. La spiritualité du Caravage demeure un élément clé pour comprendre son oeuvre. Dans cette première partie, nous assistons à l’ascension de Michelangelo Merisi da Caravaggio dit Le Caravage dans ce creuset bouillonnant qu’est la ville de Rome. C’est tout naturellement qu’il choisit ses modèles parmi le peuple les prostituées et les mendiants mais peu à peu, le Christ et l’Evangile vont s’imposer dans sa peinture. Avec : Bruno Mathon et Manuel Jover, critiques d’art; Ernest Pignon-Ernest, artiste plasticien; Hervé Joubert-Laurencin, spécialiste et traducteur de Pasolin et le cardinal Poupart, théologien.

Bacchus (Le Caravage) Bacchus est un tableau du Caravage conservé au musée des Offices de Florence. Il a été peint à la fin du XVIe siècle, mais les experts sont partagés sur sa date précise ; il n'est pas non plus possible d'identifier un commanditaire certain, même s'il est établi que le tableau se retrouve rapidement dans la collection de la famille Médicis, où il est répertorié à partir de 1618. Une hypothèse courante consiste à penser que le premier commanditaire serait le cardinal del Monte, protecteur et mécène de Caravage, qui l'offrirait ensuite au grand-duc de Toscane Ferdinand Ier de Médicis. Dès lors, le tableau reste dans la collection Médicis jusqu'à son passage dans le fonds du musée des Offices. La toile semble représenter le dieu romain Bacchus en position semi-allongée, un verre de vin à la main tendu vers le spectateur comme une offrande, un plateau de fruits devant lui et la tête couronnée de feuilles de vigne. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Liste des peintures de Caravage

Le Caravage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Caravage. Caravage Le Caravage, craie sur papier par Ottavio Leoni, vers 1621 (soit plus de 10 ans après la mort du peintre), Florence, Bibliothèque Marucelliane Michelangelo Merisi da Caravaggio, en français Caravage ou Le Caravage, est un peintre né le à Milan et mort le à Porto Ercole. Après une longue période d'oubli critique, il faut attendre le début du XXe siècle pour que le génie de Caravage soit pleinement reconnu, indépendamment de sa réputation sulfureuse. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Son père exerce des fonctions qui sont différemment définies selon les sources : contremaître, maçon ou architecte[4] ; il a le titre de « magister », ce qui pourrait signifier qu'il est l'architecte décorateur ou l'intendant de Francesco Ier Sforza [5] époux de Costanza Colonna, elle même fille du célèbre vainqueur de la bataille de Lépante.

Fondation J.-E Berger: Caravage Représentations de la nuit ou la naissance du clair-obscur Caravage est l'inventeur du clair-obscur, en tant qu'agent principal du drame que l'artiste pose sur la toile. D'autres peintres italiens ont tenté, avant lui, de représenter la nuit. Éblouissant Caravage Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenu personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Le Caravage: Biographie et peintures Le Caravage (Michelangelo Merisi) Né en 1571 à Caravaggio - Mort en 11610 à Porto Ercole Nationalité : italienne Attaché au courant : Caravagisme Le Caravage, de son vrai nom Michelangelo Merisi, naît à Caravaggio en Lombardie en 1571. Très tôt orphelin de père il grandit au sein d’une famille aisée. Il entre en 1584 en apprentissage dans l’atelier du peintre Simone Peterzano à Milan qu’il quitte au bout de quelques années. C’est sans doute là qu’il acquière sa sensibilité pour le traitement réaliste, caractéristique de l’école lombarde de l’époque. En 1592 il part pour Rome et rejoint l’atelier du peintre maniériste Cavalier d’Arpino où il est chargé de peindre des natures mortes de fleurs et de fruits, motifs qu’il utilisera toute sa vie et qui deviendront quasiment une marque de sa production artistique. Néanmoins son caractère agressif et coléreux finit par jouer en sa défaveur. Le Caravage aura laissé aux générations suivantes un héritage artistique des plus importants.

Edward Hopper, la présentation de la lumière New York Office, 1962, huile sur toile, Montgomery, Alabama, Montgomery Museum of Fine Arts, The Blount Collection © Montgomery Museum of Fine Arts. On arrive dans l’exposition Hopper comme un immigrant des années 1920 débarquant à New York. Sur un mur défile la ville en noir et blanc, immense, haute, profonde, avec ses falaises de gratte-ciel, ses vues plongeantes et son mouvement perpétuel. Le film s’appelle Manhatta, il est signé Charles Sheeler et Paul Strand, autour d’un poème de Walt Whitman, et date de 1920-21. On quitte l’exposition sur des portraits d’hommes de Californie, photographiés par Philip-Lorca diCorcia. Ce sont des prostitués posant dans une lumière artificielle et très construite, des portraits posés. Entre les deux, entre le monde nouveau et le rêve américain échoué sur la côte Ouest, soixante-dix ans se sont écoulés, l’œuvre d’Edward Hopper y prend sa place. Soit. * « Hopper.

Delacroix, Rodin, Puvis de Chavanne… Acquises lors des « salons », commandées à l’artiste, achetées rétrospectivement, offertes par des amateurs éclairés, les œuvres ci-dessous témoignent des divers modes d’enrichissement des collections de l’État. Mais ce petit ensemble se compose avant tout des créations les plus célèbres du fonds, partout reproduites et régulièrement utilisées comme illustrations à des fins diverses. Sans pour autant que l’on sache qu’elles font partie de cette vaste collection de quelques 93 000 articles, toutes périodes confondues, dont le CNAP assure la garde et la gestion. UNE SAINTE TRINITE PICTURALE : LES ŒUVRES D’INGRESPeint à Rome en 1811, « Jupiter et Thétis » orne depuis 1835 les cimaises du musée Granet à Aix-en-Provence. OMBRES ERRANTESModelées en 1880 pour le couronnement de la « porte de l’Enfer », les « Trois Ombres » de Rodin font la fierté du musée de Quimper depuis 1914.

J’irai graffer sur ton wall Cette semaine c'était la fête à Facebook, du coup notre graph(art)iste-maison prend sa plume et fait le tour des initiatives street-art les plus remarquables qui gravitent autour de la thématique des réseaux sociaux. Bref, c'est vendredi et donc c'est graphisme ! Bonjour et bienvenue sur Vendredi c’est Graphism ! :) Il y a quelques semaines, cette vidéo a fait beaucoup d’émois avec 107 000 vues. Ironique et pleine d’humour, elle dénonce, critique, provoque les différents médias sociaux que nous utilisons. #MyLifeSucks Son auteur témoigne : Les gens me regardent comme si j’étais sur une autre planète quand je leur dis que je ne suis pas sur les médias sociaux comme Facebook, Twitter ou Instagram. Nous vivons dans une vie au rythme ridiculement rapide où l’information est échangée si rapidement qu’il nous fait nous sentir inadéquat et détruit notre capacité d’attention. Street-art déconnecté ? Le street-art semble donc avoir une dent contre les réseaux sociaux ? Facebook est dans ta rue

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