Écoles
Cosmè Tura L’école des maîtres de Ferrare L’école de Ferrare ou l’Atelier de Ferrare (Officina ferrarese) appelée ainsi par Roberto Longhi (1890-1970) considéré comme l’un des meilleurs connaisseurs de la peinture italienne du XIVe au XIXe siècle, est une école singulière. Sa croissance en tant qu’extraordinaire laboratoire formel d’élaboration et de pensée artistique fait de cette cité un cas unique. L’école de Ferrare naît auprès de la maison d’Este, qui soutient les arts dès le XVe siècle. Lire la suite » Les Primitifs flamands : la naissance d’un réalisme pictural La naissance d’un réalisme pictural Pendant le XVe siècle, la Flandre attirait les meilleurs peintres des anciens Pays-Bas. Ercole de’ Roberti Ercole de’ Roberti (Ferrare vers 1456 – 1496) Troisième des grands peintres ferrarais du XVe siècle, l’activité d’Ercole de’ Roberti se mêle à celle de Francesco del Cossa à Bologne où il fut un remarquable assistant de ce dernier dans des fresques et des œuvres sur bois. Jan van Eyck
090215 - Le Caravage, La vie en clair-obscur : Rome / Art et foi / Documentaires premium
Le Jour du Seigneur rend hommage au peintre Le Caravage , à l’occasion du 400e anniversaire de sa mort, avec un documentaire en deux parties. La vie de Michelangelo Merisi da Caravaggio dit Le Caravage est un véritable roman. Son tempérament colérique et querelleur est aussi célèbre que son talent. La spiritualité du Caravage demeure un élément clé pour comprendre son oeuvre. Dans cette première partie, nous assistons à l’ascension de Michelangelo Merisi da Caravaggio dit Le Caravage dans ce creuset bouillonnant qu’est la ville de Rome. C’est tout naturellement qu’il choisit ses modèles parmi le peuple les prostituées et les mendiants mais peu à peu, le Christ et l’Evangile vont s’imposer dans sa peinture. Avec : Bruno Mathon et Manuel Jover, critiques d’art; Ernest Pignon-Ernest, artiste plasticien; Hervé Joubert-Laurencin, spécialiste et traducteur de Pasolin et le cardinal Poupart, théologien.
Fondation J.-E Berger: Caravage
Représentations de la nuit ou la naissance du clair-obscur Caravage est l'inventeur du clair-obscur, en tant qu'agent principal du drame que l'artiste pose sur la toile. D'autres peintres italiens ont tenté, avant lui, de représenter la nuit.
Edward Hopper, la présentation de la lumière
New York Office, 1962, huile sur toile, Montgomery, Alabama, Montgomery Museum of Fine Arts, The Blount Collection © Montgomery Museum of Fine Arts. On arrive dans l’exposition Hopper comme un immigrant des années 1920 débarquant à New York. Sur un mur défile la ville en noir et blanc, immense, haute, profonde, avec ses falaises de gratte-ciel, ses vues plongeantes et son mouvement perpétuel. Le film s’appelle Manhatta, il est signé Charles Sheeler et Paul Strand, autour d’un poème de Walt Whitman, et date de 1920-21. On quitte l’exposition sur des portraits d’hommes de Californie, photographiés par Philip-Lorca diCorcia. Ce sont des prostitués posant dans une lumière artificielle et très construite, des portraits posés. Entre les deux, entre le monde nouveau et le rêve américain échoué sur la côte Ouest, soixante-dix ans se sont écoulés, l’œuvre d’Edward Hopper y prend sa place. Soit. * « Hopper.
Delacroix, Rodin, Puvis de Chavanne…
Acquises lors des « salons », commandées à l’artiste, achetées rétrospectivement, offertes par des amateurs éclairés, les œuvres ci-dessous témoignent des divers modes d’enrichissement des collections de l’État. Mais ce petit ensemble se compose avant tout des créations les plus célèbres du fonds, partout reproduites et régulièrement utilisées comme illustrations à des fins diverses. Sans pour autant que l’on sache qu’elles font partie de cette vaste collection de quelques 93 000 articles, toutes périodes confondues, dont le CNAP assure la garde et la gestion. UNE SAINTE TRINITE PICTURALE : LES ŒUVRES D’INGRESPeint à Rome en 1811, « Jupiter et Thétis » orne depuis 1835 les cimaises du musée Granet à Aix-en-Provence. OMBRES ERRANTESModelées en 1880 pour le couronnement de la « porte de l’Enfer », les « Trois Ombres » de Rodin font la fierté du musée de Quimper depuis 1914.
J’irai graffer sur ton wall
Cette semaine c'était la fête à Facebook, du coup notre graph(art)iste-maison prend sa plume et fait le tour des initiatives street-art les plus remarquables qui gravitent autour de la thématique des réseaux sociaux. Bref, c'est vendredi et donc c'est graphisme ! Bonjour et bienvenue sur Vendredi c’est Graphism ! :) Il y a quelques semaines, cette vidéo a fait beaucoup d’émois avec 107 000 vues. Ironique et pleine d’humour, elle dénonce, critique, provoque les différents médias sociaux que nous utilisons. #MyLifeSucks Son auteur témoigne : Les gens me regardent comme si j’étais sur une autre planète quand je leur dis que je ne suis pas sur les médias sociaux comme Facebook, Twitter ou Instagram. Nous vivons dans une vie au rythme ridiculement rapide où l’information est échangée si rapidement qu’il nous fait nous sentir inadéquat et détruit notre capacité d’attention. Street-art déconnecté ? Le street-art semble donc avoir une dent contre les réseaux sociaux ? Facebook est dans ta rue
La peinture anglaise – Aparences: Histoire de l'Art et actualité culturelle
La grande époque du portrait anglais Au XVIIIe siècle, l’école anglaise se fait une gloire du portrait dont la tradition s’était établie à la fin du XVIIe siècle. Les plus grands interprètes du portrait anglais, un genre directement lié aux séjours londoniens de Holbein et de Van Dyck, sont Joshua Reynolds (1723-1792) et Thomas Gainsborough. La révolution industrielle anglaise de la seconde moitié du XVIIIe siècle modifie les équilibres sociaux et ouvre un nouveau rapport entre les classes bourgeoises et l’art. Portrait de Sarah Siddons, 1785, Thomas Gainsborough, (Londres, National Gallery). George Romney, à Londres à partir de 1762, il acquit en quelques années une réputation de portraitiste très élégant, rivalisant avec Reynolds et Gainsborough. Portrait de Lady Hamilton en Circé, vers 1782, George Romney, (Londres, Tate Gallery) Joshua Reynolds Après avoir travaillé dans son Devonshire natal et à Londres, Joshua Reynolds (1723-1792) partit pour l’Italie. Thomas Gainsborough