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Divertissement sous la Rome Antique

Divertissement sous la Rome Antique
Divertissements dans la Rome Antique Les jeux publics ou "ludi" Les ludi est le terme employé pour désigner les jeux publics à Rome: spectacles théâtraux, épreuves sportives et concours. Ces jeux se déroulaient lors des fêtes en l'honneur des dieux; ils furent institués pour gagner leur bienveillance ou pour détourner leur colère. Généralement annuels, ils pouvaient néanmoins avoir lieu lors d'occasions particulières. Ils ne comportaient pas d'épreuve athlétique, comme chez les Grecs. Ce sont les magistrats (préteurs ou édiles) qui étaient chargés de leur organisation. Sous la République Les ludi les plus anciens sont les courses de chars (ludi circenses) célébrant Mars ou Consus, sous le contrôle des magistrats. Les ludi Apollinares, en l'honneur d'Apollon, furent instaurés lors de la seconde guerre punique (212 av. Sous la République également, la chasse au gros gibier fit son apparition dès 186 av. Sous l'Empire Les jeux privés D'abord constructions provisoires au Ier siècle av. Related:  Les jeux et spectacles dans l'AntiquitéDIVERTISSEMENTS SPORTS

Rome cité des jeux : introduction page suivante page précédente Avant d'entreprendre l'étude des textes relatifs aux "jeux", il est important de rappeler quelques notions essentielles à propos de l'origine, de l'importance, de l'organisation et des aléas de ce que nous appelons communément aujourd'hui "jeux du cirque". Ce bref rappel évitera que l'on se pose les mêmes questions à propos de chaque texte et il éclairera la compréhension par l'explication préalable de certains termes techniques. D'origine étrusque, les jeux avaient, au départ, un caractère privé et ils étaient surtout offerts à l'occasion des funérailles (ludi funebres). La célébration des jeux relevait du culte et avait originellement un caractère sacral : leur date figurait au calendrier officiel et ils se déroulaient à l'occasion de grandes fêtes religieuses. Après le défilé solennel, les combattants dont des esclaves portaient les armes venaient saluer le prince de la fameuse formule "Ave, Caesar, morituri te salutant". 6.

Ancient Roman Sport Stars: Chariot Racers Posted on 28. Jan, 2014 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture Good Day Readers! An Average Race Model of Rome in the 4th century AD, by Paul Bigot. They normally began with a pompa (procession) which started atop the Capitoline Hill and went through the Forum and Sacred Way and back towards Form Boarium, The carceres (starting gates) of the Circus Maximus (which could hold 250,000 people) abutted the Forum Boarium. Ground plan of the Circus Maximus, according to Samuel Ball Platner, 1911. Once the pompa was finished. Technique Roman drivers steered their chariots using their body weight. A white charioteer; part of a mosaic of the third century AD, showing four leading charioteers from the different colors, all in their distinctive gear. There were factions (factiones) or teams for chariot racing (each color allowed 3 chariots in a race): russata(Red), albata (White), veneta (Blue), and prasina (Green). Racers or Charioteers Winners & Famous Charioteers Horses Hello There!

Les jeux du Cirque. Selon la mythologie romaine , les jeux du cirque furent institués par Romulus lorsqu'il voulut attirer à Rome les Sabines, afin de procurer des épouses à ses compagnons. Comme ils furent d'abord célébrés en l'honneur du dieu Consus ou Neptune équestre, on les nomma Ludi Consuales. Après la construction du grand cirque, on les appela indifféremment Jeux du cirque (Ludi Circenses), Jeux romains (L. Le Colisée de Rome. Quoi qu'il en soit, les jeux sanglants, dits du cirque, disparurent lorsque le christianisme eut pris possession de l'empire romain. Les cirques et les amphithéâtres étaient spécialement affectés à six sortes de jeux ou de spectacles. 1° Courses de chars (cursus). Auriga. Lorsque tout était prêt, les portes des carceres s'ouvraient toutes grandes; les Moratores, ainsi nommés en raison de leurs fonctions, alignaient les chars de front le long de la ligne blanche; puis le personnage qui présidait aux jeux, ou l'empereur lui-même, donnait le signal du départ. . , en Grèce .

jeux du cirque - LAROUSSE Dans l'Antiquité, compétitions sportives ou dramatiques, de caractère liturgique à l'origine, et qui se déroulaient en présence de la foule. Les origines Très populaires en Grèce, les jeux publics, auxquels prenaient part des représentants des cités, étaient à l'origine des concours athlétiques (lutte, course, pugilat, disque, courses de chars, etc.), auxquels s'ajoutèrent plus tard des concours musicaux et poétiques. Les plus célèbres étaient les grands jeux d'Olympie, de Delphes, de Némée, de l'Isthme. Ils avaient toujours lieu en l'honneur d'un dieu. Pour en savoir plus, voir l'article jeux olympiques de la Grèce antique. Les spectacles préfigurant ceux du cirque ont lieu en Grèce et en Crète dans des amphithéâtres et des stades. Les jeux étaient l'accompagnement ordinaire des fêtes, des célébrations d'anniversaires, des funérailles, etc. Les jeux comportaient aussi des scènes de chasse (combats d'animaux) et des luttes entre gladiateurs. Les jeux du cirque à Rome Le cirque antique

The Olympic Games in Ancient Rome With the close of the modern Olympic Games in Sochi, let us take a look at their beginnings. The Olympic Games began in Ancient Greece in honor to the supreme god Zeus. The game was one of four PanHellenic festivals held in Greece. However, the Olympic Games were the most famous: The sanctuary’s legend is in the picture link. The Olympic Games, originally created to honor Zeus, was the most important national festival of the ancient Greeks, and a focus of political rivalries between the nation-states. Ruins of the Temple of Hera at Olympia. For the Ancient Romans, the Olympic Games were part of the grandeur of Ancient Greece and their Golden Age. The statue known as the Augustus of Prima Porta, 1st century. “But after these years of decline, the Olympic Games had a second heyday during the Roman Empire. [ Just in case the earlier video of the Games’ history was too long; here is a short historic song for your viewing pleasure] Hello There!

L'école des gladiateurs dans la rome antique Le gladiateur entre dans une troupe, possédée et dirigée par un personnage qu'on appelle le «lanista» (littéralement « le boucher », le marchand de chair humaine, profession entourée d'un mépris profond). L'esclave, lui, est vendu par son maître: l'homme libre conclut une sorte de contrat précisant les conditions de l'engagement (durée, rémunération) et stipulant qu'à l'instar de l'esclave il peut être « brûlé, enchaîné, frappé, tué », les trois premiers châtiments étant liés à des fautes professionnelles, la mort, elle, tenant à l'issue des combats. Dès lors, le nouveau gladiateur, s'il appartient à une bonne troupe, va être soigneusement formé, entraîné, soigné par des spécialistes (« doctores »). Il vivra dans le centre que le laniste possède ou, au hasard des déplacements, dans les locaux mis à la disposition des troupes par les municipalités (on connaît ceux de Pompéi, improprement appelés casernes), éventuellement accompagné par sa femme, sa concubine et ses enfants.

Les Romains et les jeux du cirque | lhistoire.fr C'est une image singulièrement contrastée que nous avons des Romains. D'un côté ils apparaissent comme un peuple énergique, vertueux et dominateur. Installés vers le milieu du VIIIe siècle avant notre ère sur quelques arpents de terre autour du Palatin, les « fils de la Louve » absorberont, dans leur empire, la plupart de leurs voisins. Peuple conquérant qui, non content de dominer les hommes, veut ordonner la nature : les réseaux des voies romaines, les gigantesques travaux qui firent par exemple sortir de terre une nouvelle Carthage (à la fin du Ier siècle av. Pour résoudre ce paradoxe, on ne saurait certes négliger l'aspect chronologique : Juvénal écrivait au début du IIe siècle et les spectacles romains avaient alors connu un fantastique développement. A se référer à la geste de Romulus, on peut d'abord se demander si Rome n'est pas, au moins symboliquement, fille des jeux du cirque. On ne sait à vrai dire que peu de chose sur cette fête du dieu Consus. A partir du IVe siècle av.

The Who, What, When, Where and Why of the Ludi Plebeii Posted on 13. Nov, 2013 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture In understanding the culture and lifestyles of the ancient Romans, we should look to their holidays to both their gods, monuments, and national victories. An amazing list of Roman festivals can be found here. Drawing of the fragmentary Fasti Antiates Maiores (ca. 60 BC), a Roman calendar from before the Julian reform, with the seventh and eighth months still named Quintilis (“QVI”) and Sextilis (“SEX”), and the intercalary month (“INTER”) in the far righthand column (see enlarged) The Ludi Plebeii comes from the two words ludi (meaning play, games, etc.) and plebeii (meaning a “pleb” or plebian: a commoner person as in comparison ta member of the royal or upper class). The ludi or game factor of the festival was because this celebration had both theatrical performances( such as comedy, satire, tragedy plays) and athletic competitions (running, chariot racing,etc) Circus Flaminius Share this Post! Hello There!

Les jeux du cirque Les jeux du cirque I/ Les courses de chars Les courses de chars étaient précédées d'un défilé solennel : la pompa. Ils débutaient par le tirage au sort des quatre équipes : la bleue, la rouge, la blanche et la verte. Le président des jeux donnait le départ de sa loge en jetant un tissu blanc. Les pilotes de chars, les cochers, devaient s'entraîner des années avant d'avoir accès à la compétition. II/ Les combats de gladiateurs Les gladiateurs étaient des prisonniers de guerre, des condamnés, des professionnels ou des simples aventuriers. Les gladiateurs saluaient l'empereur avec la célèbre phrase : Ave Caesar, morituri te salutant. Les combats de gladiateurs sont très populaires à Rome : ils mettent en valeur les qualités des gladiateurs (et des gladiatrices) de ce temps. Les combats de gladiateurs opposent des adversaires qui n'ont rien à voir avec des soldats. III/ Les combats avec les fauves Les animaux étaient massacrés en grand nombre : 9000 lors de l'inauguration du Colisée.

Les jeux du cirque, une passion planétaire – Actualités des études anciennes Quelques chiffres suffisent à montrer que les jeux du cirque, les ludi circenses en latin, étaient le divertissement préféré des Romains. Si l’on se place à Rome même à l’apogée de l’Empire, on voit que pas moins d’une cinquantaine de jours leur étaient consacrés, et que l’édifice de spectacle où ils étaient donnés, le Grand Cirque, le Circus Maximus, avait une capacité de 150000 places – remarquons simplement qu’aucun stade de football actuel ne peut accueillir autant de spectateurs et en France le rêve longtemps caressé d’un stade de 100000 places a désormais fait long feu : la capacité du Stade de France n’est que de 80000 spectateurs, et cette situation est partagée par la plupart des pays d’Europe et d’Amérique du Sud. Quant aux courses de chars, s’il existait aussi des chars attelés à deux chevaux, des biges, ou attelés à trois chevaux, des triges que les Etrusques avaient fait connaître aux Romains, rien n’égalait les courses de quadriges qualifiées de maxima spectacula.

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