Rome cité des jeux : introduction page suivante page précédente Avant d'entreprendre l'étude des textes relatifs aux "jeux", il est important de rappeler quelques notions essentielles à propos de l'origine, de l'importance, de l'organisation et des aléas de ce que nous appelons communément aujourd'hui "jeux du cirque". Ce bref rappel évitera que l'on se pose les mêmes questions à propos de chaque texte et il éclairera la compréhension par l'explication préalable de certains termes techniques. D'origine étrusque, les jeux avaient, au départ, un caractère privé et ils étaient surtout offerts à l'occasion des funérailles (ludi funebres). La célébration des jeux relevait du culte et avait originellement un caractère sacral : leur date figurait au calendrier officiel et ils se déroulaient à l'occasion de grandes fêtes religieuses. Après le défilé solennel, les combattants dont des esclaves portaient les armes venaient saluer le prince de la fameuse formule "Ave, Caesar, morituri te salutant". 6.
Ancient Roman Sport Stars: Chariot Racers Posted on 28. Jan, 2014 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture Good Day Readers! An Average Race Model of Rome in the 4th century AD, by Paul Bigot. They normally began with a pompa (procession) which started atop the Capitoline Hill and went through the Forum and Sacred Way and back towards Form Boarium, The carceres (starting gates) of the Circus Maximus (which could hold 250,000 people) abutted the Forum Boarium. Ground plan of the Circus Maximus, according to Samuel Ball Platner, 1911. Once the pompa was finished. Technique Roman drivers steered their chariots using their body weight. A white charioteer; part of a mosaic of the third century AD, showing four leading charioteers from the different colors, all in their distinctive gear. There were factions (factiones) or teams for chariot racing (each color allowed 3 chariots in a race): russata(Red), albata (White), veneta (Blue), and prasina (Green). Racers or Charioteers Winners & Famous Charioteers Horses Hello There!
jeux du cirque - LAROUSSE Dans l'Antiquité, compétitions sportives ou dramatiques, de caractère liturgique à l'origine, et qui se déroulaient en présence de la foule. Les origines Très populaires en Grèce, les jeux publics, auxquels prenaient part des représentants des cités, étaient à l'origine des concours athlétiques (lutte, course, pugilat, disque, courses de chars, etc.), auxquels s'ajoutèrent plus tard des concours musicaux et poétiques. Les plus célèbres étaient les grands jeux d'Olympie, de Delphes, de Némée, de l'Isthme. Ils avaient toujours lieu en l'honneur d'un dieu. Pour en savoir plus, voir l'article jeux olympiques de la Grèce antique. Les spectacles préfigurant ceux du cirque ont lieu en Grèce et en Crète dans des amphithéâtres et des stades. Les jeux étaient l'accompagnement ordinaire des fêtes, des célébrations d'anniversaires, des funérailles, etc. Les jeux comportaient aussi des scènes de chasse (combats d'animaux) et des luttes entre gladiateurs. Les jeux du cirque à Rome Le cirque antique
The Olympic Games in Ancient Rome With the close of the modern Olympic Games in Sochi, let us take a look at their beginnings. The Olympic Games began in Ancient Greece in honor to the supreme god Zeus. The game was one of four PanHellenic festivals held in Greece. However, the Olympic Games were the most famous: The sanctuary’s legend is in the picture link. The Olympic Games, originally created to honor Zeus, was the most important national festival of the ancient Greeks, and a focus of political rivalries between the nation-states. Ruins of the Temple of Hera at Olympia. For the Ancient Romans, the Olympic Games were part of the grandeur of Ancient Greece and their Golden Age. The statue known as the Augustus of Prima Porta, 1st century. “But after these years of decline, the Olympic Games had a second heyday during the Roman Empire. [ Just in case the earlier video of the Games’ history was too long; here is a short historic song for your viewing pleasure] Hello There!
Les Romains et les jeux du cirque | lhistoire.fr C'est une image singulièrement contrastée que nous avons des Romains. D'un côté ils apparaissent comme un peuple énergique, vertueux et dominateur. Installés vers le milieu du VIIIe siècle avant notre ère sur quelques arpents de terre autour du Palatin, les « fils de la Louve » absorberont, dans leur empire, la plupart de leurs voisins. Peuple conquérant qui, non content de dominer les hommes, veut ordonner la nature : les réseaux des voies romaines, les gigantesques travaux qui firent par exemple sortir de terre une nouvelle Carthage (à la fin du Ier siècle av. Pour résoudre ce paradoxe, on ne saurait certes négliger l'aspect chronologique : Juvénal écrivait au début du IIe siècle et les spectacles romains avaient alors connu un fantastique développement. A se référer à la geste de Romulus, on peut d'abord se demander si Rome n'est pas, au moins symboliquement, fille des jeux du cirque. On ne sait à vrai dire que peu de chose sur cette fête du dieu Consus. A partir du IVe siècle av.
The Who, What, When, Where and Why of the Ludi Plebeii Posted on 13. Nov, 2013 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture In understanding the culture and lifestyles of the ancient Romans, we should look to their holidays to both their gods, monuments, and national victories. An amazing list of Roman festivals can be found here. Drawing of the fragmentary Fasti Antiates Maiores (ca. 60 BC), a Roman calendar from before the Julian reform, with the seventh and eighth months still named Quintilis (“QVI”) and Sextilis (“SEX”), and the intercalary month (“INTER”) in the far righthand column (see enlarged) The Ludi Plebeii comes from the two words ludi (meaning play, games, etc.) and plebeii (meaning a “pleb” or plebian: a commoner person as in comparison ta member of the royal or upper class). The ludi or game factor of the festival was because this celebration had both theatrical performances( such as comedy, satire, tragedy plays) and athletic competitions (running, chariot racing,etc) Circus Flaminius Share this Post! Hello There!
Les jeux du cirque, une passion planétaire – Actualités des études anciennes Quelques chiffres suffisent à montrer que les jeux du cirque, les ludi circenses en latin, étaient le divertissement préféré des Romains. Si l’on se place à Rome même à l’apogée de l’Empire, on voit que pas moins d’une cinquantaine de jours leur étaient consacrés, et que l’édifice de spectacle où ils étaient donnés, le Grand Cirque, le Circus Maximus, avait une capacité de 150000 places – remarquons simplement qu’aucun stade de football actuel ne peut accueillir autant de spectateurs et en France le rêve longtemps caressé d’un stade de 100000 places a désormais fait long feu : la capacité du Stade de France n’est que de 80000 spectateurs, et cette situation est partagée par la plupart des pays d’Europe et d’Amérique du Sud. Quant aux courses de chars, s’il existait aussi des chars attelés à deux chevaux, des biges, ou attelés à trois chevaux, des triges que les Etrusques avaient fait connaître aux Romains, rien n’égalait les courses de quadriges qualifiées de maxima spectacula.
La gladiature (MEMO) La désacralisation des ''munera'' Le recrutement L’''auctoratus'' Les chevaliers Les ''ludi'' Les gladiateurs nomades Surnom et armaturæ L'organisation Types Cursus et combinaison de combat Chasseurs Héros de l'arène Vie et mort Repères historiques Vocabulaire relatif à la gladiature Idées reçues Gladiateurs célèbres Dans l'art Les gladiateurs (du latin: gladiatores signifiant «combattant à l'épée», ou «épéiste») étaient des combattants professionnels, esclaves ou non (esclaves affranchis pour leurs exploits ou engagés volontaires, en quête d'une vie meilleure grâce à des victoires bien rémunérées) qui se battaient entre eux ou contre des fauves, à l'origine pour honorer la mémoire d'un mort, puis de plus en plus pour le divertissement du public. A Rome, le plus ancien combat de gladiateurs mentionné dans les textes se déroule en 264 av. Pollice verso ou Bas Les Pouces de Jean-Léon Gérôme, 1872. D'origine étrusque, les combats de gladiateurs avaient chez eux une signification religieuse. L’auctoratus
Venatio et damnatio ad bestias sur la mosaïque de Zliten La frise de l'amphithéâtre court sur quatre côtés, répartis deux à deux : les côtés nord et sud représentent un munus, c'est-à-dire un combat de gladiateurs, spectacle phare de la journée, qui se déroulait l'après-midi les côtés est et ouest sont consacrés aux représentations entrecroisées d'une venatio (spectacle du matin) et d'une damnatio ad bestias (spectacle de midi). Malheureusement, alors que la frise du côté oriental nous est parvenue en excellent état, ce n'est pas le cas de celle du côté ouest, qui est très dégradée. La frise du côté est La frise du côté ouest Scènes de venatio Les spectacles de venatio étaient la grande attraction de l'amphithéâtre le matin. Sur la frise orientale, en haut à gauche, un chien poursuit une antilope, tandis que plus bas, un autre chien rabat un daim vers un chasseur armé d'un épieu. Au milieu, une curieuse scène représente un nain barbu qui semble jouer avec un sanglier domestiqué, peut-être en lui lançant des fruits. Scènes de damnatio ad bestias
Noctes Gallicanae - Munera gladiatoria Noctes Gallicanae décembre 2013 Organisation des spectacles Les gladiateurs Une journée à l’amphithéâtre Le public Jugements et opinions sur les combats de gladiateurs « Achille célébra par des concours les funérailles de Patrocle ; les peintures des tombes étrusques représentent des jeux funèbres. « Alors le peuple devient le véritable destinataire de ces spectacles, plus que la mémoire du défunt : « donner des gladiateurs » devient le meilleur moyen de se rendre populaire ; de « jeux funèbres », les gladiateurs deviennent ainsi un « cadeau » que l'on fait au peuple, un munus : voilà comment ce mot a pris le sens de « spectacle de gladiateurs ». Les combats de gladiateurs sont-ils, à l’origine, une forme de sacrifice humain ? Pour les Romains, la réponse ne fait aucun doute. Le grammairien Servius, né vers 370, nous a laissé un précieux commentaire des vers 62 à 68 du chant III l’Énéide : Ergo instauramus Polydoro funus, et ingens aggeritur tumulo tellus; stant Manibus arae Servius écrit : 264.