Delacroix, Rodin, Puvis de Chavanne…
Acquises lors des « salons », commandées à l’artiste, achetées rétrospectivement, offertes par des amateurs éclairés, les œuvres ci-dessous témoignent des divers modes d’enrichissement des collections de l’État. Mais ce petit ensemble se compose avant tout des créations les plus célèbres du fonds, partout reproduites et régulièrement utilisées comme illustrations à des fins diverses. Sans pour autant que l’on sache qu’elles font partie de cette vaste collection de quelques 93 000 articles, toutes périodes confondues, dont le CNAP assure la garde et la gestion._ UNE SAINTE TRINITE PICTURALE : LES ŒUVRES D’INGRESPeint à Rome en 1811, « Jupiter et Thétis » orne depuis 1835 les cimaises du musée Granet à Aix-en-Provence. OMBRES ERRANTESModelées en 1880 pour le couronnement de la « porte de l’Enfer », les « Trois Ombres » de Rodin font la fierté du musée de Quimper depuis 1914.
Au secours, la poésie !
Haro sur la poésie ? Depuis que la décision du Centre National du Livre de réformer son institution a été dévoilée, les poètes de France se sont mobilisés : pas question que disparaisse la commission poésie, et les subventions qui en découlent. Le CNL a beau répondre que ce n'est pas le propos de la réforme, la résistance s'organise. Et en dernier lieu, c'est la ministre de la Culture qui a décidé de suspendre la réforme dont la mise en application devait intervenir au 1er janvier 2013. (voir notre actualitté) Dans une tribune publiée sur Libération, Xavier Person et Philippe Beck, écrivains et poètes, prennent les armes, les mots, pour défendre la cause ‘Poésie'. Car non, en dépit des arguties des uns et des autres, la poésie n'est pas un vain mot. « La mort répétée de la poésie, l'adieu qu'elle ne cesse de se faire à elle-même, inscrivent sa dynamique dans une interrogation et une incertitude qui, paradoxalement, lui redonnent légitimité aujourd'hui. » Prétention excessive ?
Space Invader – In Space
The amazing French artist Invader invaded… Space. After having invaded big cities all around the world with his ceramic Space Invaders artworks for years, his next hd to be space ! So he sent one of his little fellows in the air thanks to a helium ballon equiped with a camera and a GPS. It’s been a 4 hours flight, and the balloon went 35 km above our heads… When the balloon finally exploded, he found the camera back thanks to the GPS. As simple as that ! L’incroyable Invader a encore frappé et a envahit… L’espace. via and via » Non classé » Space Invader – In Space About the Author: Geek-Art « Thanasis Mokas – Pac-Man Table Fabio Castro – Batman Graphic Novel Collection »
Les Français & Le Nouveau Monde numérique
Enquête Retrouvez ci-dessous en images les résultats de la première édition du baromètre Inria « Les Français et le Nouveau Monde numérique ». Partager / Intégrer © 22 mars
Edward Hopper, la présentation de la lumière
New York Office, 1962, huile sur toile, Montgomery, Alabama, Montgomery Museum of Fine Arts, The Blount Collection © Montgomery Museum of Fine Arts. On arrive dans l’exposition Hopper comme un immigrant des années 1920 débarquant à New York. Sur un mur défile la ville en noir et blanc, immense, haute, profonde, avec ses falaises de gratte-ciel, ses vues plongeantes et son mouvement perpétuel. Le film s’appelle Manhatta, il est signé Charles Sheeler et Paul Strand, autour d’un poème de Walt Whitman, et date de 1920-21. On quitte l’exposition sur des portraits d’hommes de Californie, photographiés par Philip-Lorca diCorcia. Entre les deux, entre le monde nouveau et le rêve américain échoué sur la côte Ouest, soixante-dix ans se sont écoulés, l’œuvre d’Edward Hopper y prend sa place. Ils ne sont pas tristes, pas forcément solitaires, les corps de Hopper, ils sont en attente, des corps perdus dans leurs pensées. Soit. * « Hopper.
Les vases communicants
Art mural: Les RA sont dans la ville
Ces gens-là, quand ils peignent, ont l’air de gosses qui construisent des cabanes. Les regarder faire, c’est revenir à cet âge où quelques planches, un chêne et deux branches basses suffisent à se lancer dans une construction fragile, inutile et cruciale. Joe Popi, Mya, K.cendre et Mimo : les quatre membres du crew RA n’ont rien perdu de l’énergie juvénile et de l’effervescence joyeuse des bâtisseurs en culottes courtes. Cette veine qu’on a, des fois. Joe : « Avec Mya, on avait prévu de sortir peindre. La qualité de certaines pièces augmente heureusement leur espérance de vie : celle-ci, qui a beaucoup tourné sur les réseaux sociaux et a été publiée dans le Mensuel de Rennes, tient toujours. Joe : « Je me suis beaucoup penché sur la peinture religieuse, j’aime bien les symboles occultes qui ont fédéré des communautés, qui ont eu une importance dans l’histoire : la vierge, l’oeil – de Ra ou de Sauron… C’est l’idée d’orienter les gens vers des façons de penser, pour les diriger.
Écoles
Cosmè Tura L’école des maîtres de Ferrare L’école de Ferrare ou l’Atelier de Ferrare (Officina ferrarese) appelée ainsi par Roberto Longhi (1890-1970) considéré comme l’un des meilleurs connaisseurs de la peinture italienne du XIVe au XIXe siècle, est une école singulière. Sa croissance en tant qu’extraordinaire laboratoire formel d’élaboration et de pensée artistique fait de cette cité un cas unique. Les Primitifs flamands : la naissance d’un réalisme pictural La naissance d’un réalisme pictural Pendant le XVe siècle, la Flandre attirait les meilleurs peintres des anciens Pays-Bas. Ercole de’ Roberti Ercole de’ Roberti (Ferrare vers 1456 – 1496) Troisième des grands peintres ferrarais du XVe siècle, l’activité d’Ercole de’ Roberti se mêle à celle de Francesco del Cossa à Bologne où il fut un remarquable assistant de ce dernier dans des fresques et des œuvres sur bois. Francesco del Cossa Francesco del Cossa (Ferrare vers 1436 – Bologne 1478) Jan van Eyck Jan van Eyck : Données biographiques
#vasescommunicants – collectif : pour Claude Favre / ⎢la suite sous peu
Les yeux de Claude Favre – Brigitte Célérier Les yeux de Claude – les yeux de Claude ont repris vie, dit-on – leur souhaitons, leur demandons de lui porter joie. Les yeux de Claude, la rare, la toujours présente – les mots de Claude, force, violence, et tendresse, et justesse et rire parfois – besoin en avons Eux, yeux de Claude Favre leur demandons juste l’acuité qu’elle en attend, juste et mes yeux lisent, entendent: Claude Favre, derrière ses mots –résistance, rouge – leur poésie forte, leur violente tendresse Les yeux, les mots, Claude, suis là lointaine et timide, ne peux qu’essayer de comprendre, vraiment, ne peux que ne pas oser penser pouvoir le ressentir À Claude Favre – Sabine Huynh lire qu’en juillet la voix les yeux le corps de Claude Favre se sont tus & se dire chère Claude Favre la mer devant vous la mer derrière vous courage Claude Favre dont on ne connaît que la respiration le souffle obstiné la « mal langue » les défis & les dérapages fulgurants quelque / du / soir / l’heure