Pourquoi et comment les médias se transforment en agences de contenus pour les marques ? Excellent article du Monde de ce WE consacré au phénomène des médias, qui deviennent des agences de communication. Pourquoi cette évolution ? - parce que ce sont des sources de revenu parfois majeures et que les médias ont des savoir-faire clés à valoriser - parce que (en dehors des bannières vendues aux enchères), le digital conditionne une présence des marques plutôt sous forme de contenus que sous forme de publicité intrusive Est évoquée dans cet article du Monde la structure Idea Lab du New York Times, qui propose des solutions éditoriales très innovantes. Les grands médias comme le Monde (cf exemple IBM), le Figaro avec ses "Ateliers", TF1 ou M6 développent leurs services en allant jusqu'au brand publishing. Les pure players sont aux premières loges de cette activité : Webedia déclare 90% de ses 21 ME de chiffre d'affaires liés à cette activité et Melty 50% des 2,3 millions d'euros de 2012. Ce phénomène va s'amplifier. A/ rôle de transfert de compétences du média à la marque.
How to Attract More Followers, Likes, Etc. By Mark Evans - Wednesday, August 3rd, 2011 at 7:30 am ShareThis Within social media – at least the corporate variety – there is the belief that more is better. The more “Likes” on Facebook, the more followers on Twitter, the more readers and RSS subscribers to your blog, the better. So how does a brand attract more attention? It’s one thing to strive for a large following but if there is any interest in quality as well as quantity, it makes sense not to be blatantly obvious about your efforts to get more followers, likes, readers, etc. Instead, there are better ways to get the job done. 1. For companies, it means generating a steady flow of content on a regular basis to meet demand. 2. Just as politicians troll for votes by appearing in public to meet and greet the “folks”, brands need to be talking to people, answering questions and providing information and insight to attract more attention. 3. At the end of the day, there is no silver bullet to getting a lot of Likes, followers, etc.
Réseaux sociaux, mobiles et brand content: le triptyque du marketing digital en 2013 Alors que près de 52% des marketeurs ont déjà recruté un client sur Facebook et 36% sur Twitter, que le nombre de mobinautes dans le monde a dépassé le milliard et ne cesse d’augmenter et que le brand content est un enjeu majeur pour les marques, l’agence marketing Slicktext résume dans l’infographie ci-dessous ces trois tendances du marketing digital pour cette année. On y apprend que: 63% des marques constatent une amélioration de leur efficacité marketing liée à leur présence sur les réseaux sociaux et que 67% des utilisateurs de Twitter sont plus susceptibles d’acheter des produits des marques qu’ils suivent. L’usage du couponing est en plein boom en France comme aux États-Unis, où, influencés par le nombre de mobinautes, 53,2 millions de bons de réduction devraient être utilisés en 2014 contre 12,3 millions en 2010. Enfin, 61% des consommateurs sont réceptifs à la communication et aux offres d’une entreprise pratiquant le brand content. Source: Slicktext
Définition Brand content Brand content est le terme anglais qui désigne les contenus produits directement par une marque à des fins de communication publicitaire et d’image. Le brand content désigne généralement des contenus éditoriaux (conseils, articles pratiques, forums, reportages, ...) proposés sur Internet, supports papier ou en TV, mais il peut également prendre la forme de nombreux autres contenus ( vidéos, jeux, expositions, livres, etc.). L’utilisation du brand content se distingue généralement du parrainage ou sponsoring dans la mesure ou le brand content est un contenu produit directement par la marque ou par une agence de contenu sur commande de la marque. Dans le cadre du sponsoring la marque vient se greffer sur un contenu qu’elle ne contrôle pas ou dont elle n’est pas à l’initiative. La production de brand content permet généralement : d’affirmer une image ou un positionnement (écologique par exemple) de démontrer une expertise ( marque de couche sur l’enfance)
Document sans titre 10/01/2013 - En 2013, les effets de la quasi-recession économique vont vraiment se faire sentir sur les dépenses de communication, les agences et les médias Alors que l'horizon des investissements publicitaires semble s'éclaircir au niveau mondial (+4,1% en 2013 et +5,6% en 2015, selon Zenith-Optimedia), l'Europe et singulièrement la France ne sont pas près de sortir du marasme qu'elles subissent depuis 2008. Après une baisse de 1,9% l'an dernier, 2013 devrait en effet se solder par un recul de 1,3 ou 1,4%, selon les prévisionnistes. La filiale médias de Publicis Groupe ne prévoit une stabilisation qu'en 2014, de 0,3% (+1,1% en 2015). Et ce n'est pas Maurice Lévy, président du groupe leader en France, qui donnera du baume au cœur des acteurs du marché. Autant dire que l'ambiance n'est pas à la fête. Une rationalisation qui, comme par le passé, devrait se traduire par une forte pression sur le coût des médias et sur les marges des agences de communication. La ligne du bas des bilans
Continuer à communiquer en période de crise Je rencontrais hier le responsable formation d'un constructeur automobile. Vu la situation actuelle, son budget de formation a subi des coupes. Je lui demande si leurs budgets de pub ont aussi beaucoup souffert. " Au contraire, me dit-il, ils ont beaucoup augmenté ! " On peut s'en étonner. Certains pourront même être choqués. Depuis que la crise a pris de l'ampleur, beaucoup d'entreprises diminuent leurs budgets de communication. C'est exactement pour cela que les entreprises qui choisissent de communiquer davantage vont gagner des points. Par ailleurs, garder le cap défini avant la crise, maintenir sa visibilité permet de conserver la confiance de ses clients. Les publicitaires s'accordent à dire que regagner les points de notoriété perdus après une baisse des investissements en communication coûte plus cher que si on avait continué à communiquer. On peut se demander si faire peser des coûts importants sur une activité qui sera à peine en train de redémarrer est le meilleur choix....
Ne pas couper les dépenses mais mieux investir La crise dans laquelle nous entrons est différente non seulement par son origine et par l’impact qu’elle a sur le comportement des consommateurs, mais surtout parce que nous faisons face à la première récession post Révolution Digitale. En termes de marketing et de communication, la Révolution Digitale n'est pas uniquement liée à l'apparition du Web et d'autres canaux numériques et interactifs, mais à un profond changement dans la façon dont les consommateurs fonctionnent et dans la façon dont les marques peuvent agir. Les consommateurs ont plus de choix, plus de médias, plus de sources d'informations, plus de transparence, plus de facilité dans la gestion de leurs choix, et en conséquence utilisent cette nouvelle liberté pour gérer leur budget et leurs achats. Cette nouvelle liberté apporte une forte fragmentation des comportements consommateurs. En d'autres termes, la Révolution Digitale apporte les solutions pour survivre et se développer en temps de crise.
Crise et publicité : ou l’art de saisir une opportunité! | Nadeau Bellavance Date: 22 février 2013 Auteur: Charlotte Rocher « La communication est un investissement, non une dépense. » Cette phrase, vous l’avez peut-être déjà entendue. Néanmoins, malgré cet adage, le budget communication est souvent le premier coupé lorsqu’une entreprise subit des difficultés. Or, toute réduction dans un budget de communication ou de publicité finit par avoir une conséquence négative à court ou moyen terme. En France, par exemple, la situation économique est fortement dégradée du fait d’une croissance neutre, d’un fort coût des matières premières, des États voisins en perte de vitesse et d’une augmentation continue du chômage depuis deux ans. Qu’ils soient exacerbés ou non, les effets de cette quasi-récession économique ont eu un impact fort sur la créativité des agences de publicité et de communication. Leurs stratégies sont intéressantes à observer. - Le joaillier parisien Mauboussin a su jouer la carte de l’ opportunisme . Sources :
Débat Mercator : le marketing en temps de crise Ressources numériques complémentaires du livre Mercator 2013 Accueil Mercator-Publicitor > Ressources numériques complémentaires du livre Mercator 2013 > Chap. 12 - De la stratégie d'entreprise à la stratégie marketing > Débat : Le marketing en temps de crise Débat : Le marketing en temps de crise En temps de crise, les entreprises font des coupes sombres dans leurs budgets marketing et baissent les prix pour préserver leurs ventes et leurs parts de marché en volume. Ce sont là des idées simplistes mais fort répandues qui sont mises à mal par les analyses développées dans ce dossier. En effet, les conduites des entreprises sont beaucoup plus diversifiées et réfléchies qu’on ne le dit habituellement. Consultez ce débat, Mercator attend vos avis ! Consultez le débat Mercator : marketing de crise (PDF - 1.4 Mo) Mots-clés : low cost (3) , marketing de crise (1)
SoLoMo : Quoi ? Pourquoi ? Comment ? SoLoMo est un horrible acronyme ! Nous sommes d’accord. Laissons cependant nos appréhensions de côté pour apprécier le potentiel extraordinaire de ce concept. L’ignorer serait d’ailleurs risqué puisqu’il représente probablement la prochaine révolution dans l’univers des marques et de la relation client ! Le SoLoMo n’est pas vraiment une nouveauté sur le marché : de nombreuses entreprises ont déjà adopté cette approche Social / Local / Mobile. Et les consommateurs apprécient : 80% des mobinautes déclarent préférer recevoir des offres géolocalisées. Le SoLoMo, de quoi s’agit-il exactement ? Pour faire simple, c’est une approche marketing qui permet aux marques de profiter de la culture « smartphone » pour proposer du contenu marketing personnalisé et géolocalisé tout en favorisant la viralité et le partage social. Francois Laxalt, Responsable Marchés et Innovations chez Neolane Par exemple… Vous lisez une publicité avec un QR code dans un magazine. Cela vous semble futuriste ?
Profil du Community Manager en 2013 en France Le site RegionsJob vient de publier les résultats de son enquête sur le profil type du Community Manager en France (Gestionnaire de communauté au Québec). Cette étude de référence présentée sous format Slideshare (ci-dessous) a été réalisée auprès de 610 community managers français. Elle présente dans l’ordre : le profil-type du poste, l’employeur, le salaire, son travail au quotidien, son importance et son évolution : Selon les auteurs de l’étude : « Depuis 2012, un certain nombre d’évolutions sont à souligner : importance croissante de la création de contenu, utilisation d’un smartphone au travail, salaire médian en légère baisse… 610 professionnels en poste ont répondu à nos questions, nous permettant ainsi d’avoir un résultat le plus proche possible de la réalité du terrain. » Le résumé en 10 points :
Les annonceurs, peu satisfaits de leurs tactiques marketing sur les réseaux sociaux ? Malgré un budget conséquent et des résultats payants, les annonceurs ne seraient pas satisfaits de leur stratégies marketing sur les réseaux sociaux. Repenser les objectifs serait peut-être la solution. « Avec des milliards de personnes à travers le monde activement connectées à Facebook, Twitter, Google +, Linked In, et Pinterest, les annonceurs se sont vivement tournés vers les médias sociaux pour attirer leurs audiences cibles » explique Aaron Goldman, directeur marketing pour la plate-forme mondiale de marketing social Kenshoo. Un constat en demi-teinte Ainsi, la tactique la plus fréquemment utilisée reste à maintenir des annonces de marque sur les réseaux sociaux grand public (87%), d'entreprises (51%) et sur les microblogs (67%). Utiliser de nouvelles méthodes Pour améliorer les résultats de ces annonceurs, l'étude propose donc différentes solutions.