Le tableau blanc et la collaboration
Il existe une variété d’applications spécialisées (cartographie, vidéoconférence, création de réseaux conceptuels, présentation de diaporamas, etc.) qui peuvent jouer le rôle de tableaux blancs à vocation particulière. En effet, ces applications ont en commun d’offrir la possibilité de travailler en collaboration en temps réel, en passant par le réseau. Le TBI/TNI est un périphérique qui peut être avantageusement utilisé dans le cadre de cette approche pédagogique au potentiel très riche. En mettant à jour la taxonomie de Bloom en fonction de l’utilisation des technologies, Andrew Churches[1] a identifié la collaboration non pas comme une compétence du 21e siècle, mais bien comme un élément essentiel de la vie au 21e siècle. Pour lui, la collaboration doit faire partie de chaque étape du développement cognitif. En quoi le tableau blanc est-il un outil de coopération, ou un moyen de développer la collaboration entre les élèves? Modèles d'organisation de la classe Tableau vs Bureau
10 actions gagnantes pour MST
Ces 10 actions gagnantes ont été publiées par les services nationaux du RÉCIT en juin 2011. Voici quelques réflexions, documents, sites, pouvant alimenter la réflexion pour le domaine MST. Note: Le présent document peut être utilisé pour toute autre TIC que le TBI. Stratégie des 3-O: Tableau+Bureau+Cerveau Le but, qu’il se passe quelque chose dans le cerveau de l’apprenant (développement de compétences), pas seulement au tableau ou sur le bureau (notes de cours). Le tableau numérique est un des outils disponibles pour atteindre ce but. Lors de l’utilisation du TBI, je gagne à: planifier mon appropriation de l’outil dans une démarche d’accompagnement pédagogique;Se former au TBI ne veut pas dire se former au tébéiciel (logiciel vendu avec le tableau), mais bien d’apprendre à intégrer les TIC (en général) dans l’apprentissage des élèves, et ce dans l’optique de lui faire développer des compétences.exploiter les images et le son (images, tableau, schéma, vidéo, photos...)
Une vision pédagogique du Tableau Blanc Interactif (TBI)
Marc Deloménie, un enseignant qui a utilisé le TNI en classe durant plusieurs années, démontre que ce n’est pas tant l’objet technologique qui a des répercussions sur l’apprentissage des étudiants, mais l’environnement qui est généré par l’utilisation de cet outil. Il présente les trois axes dans lesquels se situe l’utilisation du TNI pour l’apprenant : sociocognitif, métacognition et conceptualisation. En lien avec l’axe sociocognitif, il mentionne que de pouvoir observer une pensée différente se dessiner sous ses yeux et de revenir plus tard dans le temps, la voir à nouveau pour essayer de la comprendre fait vraiment partie des avantages du TNI. En ce qui concerne la métacognition, il est plus facile de créer du dialogue et d’échanger avec un TNI qu’avec un tableau conventionnel ; le fait de pouvoir réfléchir et de communiquer oralement sa démarche avec une posture, une gestuelle et des interactions différentes favorise la communication. -Formations à la carte inscrites dans Fortic ;
Site officiel du musée du Louvre
Un tableau blanc interactif
D’abord, qu’est-ce qu’un tableau blanc interactif ? En peu de mots, ces tableaux sont des écrans tactiles géants qui, lorsqu’ils reçoivent l’image d’un projecteur et qu’ils sont reliés à un ordinateur, nous permettent de le contrôler à la pression des doigts ou d’un stylet plutôt qu’avec une souris. Pourquoi un TBI ? Plusieurs diront plutôt : pourquoi pas ? Il serait difficile de les blâmer étant donné les avantages que l’outil apporte aux enseignants même si l’on sait qu’il ne favorise pas nécessairement un changement de pratique. Cet article vise davantage le développement des compétences des élèves. Excellente première ressource pour nous aider à réfléchir : Si vous n’utilisez pas le logiciel offert avec votre TBI, vous passerez à côté de la majorité des avantages. Tutoriel pour le logiciel Notebook 10 (smartBoard) Tutoriels pour ActiveStudio2 et ActiveStudio3 (Promethean) Des vidéos (5) qui démontrent quelques outils et exemples d’utilisation
Les tableaux blancs interactifs : fonctionnalités et pédagogie
Par Mélissa Bricault, conseillère pédagogique en intégration des TIC, Commission scolaire de la Seigneurie-de-Mille-Îles, et animatrice Récit et Marc-Antoine Parent, secrétariat technologique du GTN-Québec Dossier de La Vitrine Technologie-Éducation Mise en situation Guillaume Pelletier, enseignant de mathématiques, de sciences et de technologie au secondaire, intègre le tableau blanc interactif (TBI) SmartBoard dans ses cours. Source: Guide Sankoré De plus, il lui offre la possibilité de manipuler directement les objets étudiés, parfois abstraits, de noter les observations du groupe, de compiler le tout dans un tableur accessible par les étudiants et dans lequel tous peuvent collaborer. Source: Guide Sankoré Guillaume exploite une panoplie de ressources en ligne et de logiciels dans ses cours: encyclopédies en ligne, logiciels Phet et Phun, des logiciels de simulation d’expériences de physique. Source: Source: Démonstration sur Youtube Études sur le terrain M.
La semaine du TBI au CUEF
Situé entre les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) et les Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Education (TICE), le tableau blanc interactif (TBI) est un dispositif de visualisation collectif qui allie les avantages d’un écran tactile et de la vidéoprojection. Mais c’est tout d’abord un tableau ! En effet, on peut écrire, dessiner et effacer comme sur un vrai tableau. Un logiciel de conception permet à l’enseignant de préparer à l’avance son travail sans avoir besoin de se connecter au tableau. Le Centre Universitaire d’Etudes Françaises spécialisé à la formation du français langue étrangère utilise depuis janvier 2009 le tableau blanc interactif SMART Board. L’objectif de la semaine du TBI est de faire l’état des lieux des usages pédagogiques du TBI dans l’enseignement des langues et en particulier du français langue étrangère (FLE).
MENJ1200116X
Note introductiveLe ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche et la conférence des présidents d'universités ont conclu pour les années 2012 et 2013 un protocole d'accord transitoire avec les titulaires de droits d'auteur sur l'utilisation des livres, de la musique imprimée, des publications périodiques et des œuvres des arts visuels à des fins d'illustration des activités d'enseignement (à savoir la formation initiale et l'apprentissage, mais en aucun cas la formation continue) et de recherche qui remplace l'accord signé le 8 décembre 2010 pour les années 2010 et 2011. Préambule1. Le code de la propriété intellectuelle définit les conditions de protection des œuvres de l'esprit au bénéfice de leurs auteurs, ayants droit ou ayants cause et prévoit à cet effet les modalités de mise en œuvre du droit de reproduction et du droit de représentation qui leur appartiennent.