Hantz Farms | World's Largest Urban Farm Planned for the City of Detroit L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? - La vi N’en déplaise aux architectes qui rêvent de potagers verticaux, aucune ville au monde n’est en mesure d’assurer son autosuffisance alimentaire en l’état actuel des savoir-faire de notre civilisation. En revanche, cette autosuffisance peut être imaginée à l’échelle d’une région urbaine impliquant au minimum sa périphérie rurale. On peut dès lors se demander quelle doit être l’échelle de cette région et dans quelle logique spatiale elle doit être comprise. À ces deux types d’espaces correspondent deux types de proximité. Pour que la notion de ville autosuffisante ne se réduise pas à une vaine utopie mais puisse au contraire être le moteur de projets urbains cohérents, il est important de cerner cette question de l’espace de la ville et de son échelle, ce que nous proposons d’esquisser ici du point de vue de sa relation à l’agriculture. Quelles échelles pour l’autosuffisance alimentaire ? Quelle autosuffisance environnementale et paysagère ? Réinventer les liens entre ville et agriculture
Comment reconvertir son usine en ferme écologique ? Publié sur Bastamag.net Que faire des friches industrielles laissées en désuétude ? Aux États-Unis, plusieurs usines abandonnées sont reconverties en ferme d’agriculture urbaine. Objectif : produire des aliments sains à proximité des villes et de manière quasi auto-suffisante, tout en créant des emplois. Reportage à Milwaukee dans une ferme en aquaculture. Consommer du poisson provenant du lac Michigan comporte un « risque élevé ». À proximité de l’immense lac Michigan, une ferme urbaine s’est lancée en 2009 dans l’élevage de poissons et de légumes en aquaculture. Viser l’autosuffisance L’ancienne usine est devenue un véritable écosystème en quasi autosuffisance. À l’extérieur du bâtiment s’étend un compost de plusieurs mètres de haut sur près de 800 m2. « Les copeaux de bois ont été mélangés à du marc de café, des déchets d’origine végétale, des graines provenant des distilleries alentour, explique James Godsil. Reconvertir les usines abandonnées Sophie Chapelle
Partageons un jardin à cultiver Le projet : En quoi consiste votre projet ? Ce projet vise à créer un jardin partagé au sein du quartier de Bécon, à Courbevoie (92) afin de dynamiser ce quartier et de fédérer ses habitants autour d’une activité saine et écologique. Au bout de six mois d’exploitation, nous souhaiterions jumeler le jardin et les expériences avec celles des jardins partagés du XXème arrondissement en créant des weekend d'animations C'est un jardin de proximité animé par une association qui propose des activités collectives de jardinage développant l'éducation, l'insertion et la création de lien social en favorisant la biodiversité.C'est un lieu ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre les générations et les cultures. Il permet de tisser des relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux... Un tel jardin est confié à une association par convention pour une durée limitée (1 an renouvelable jusqu'à 5 ans). Fonctionnement:
phrases clées : "il faut cultiver là où vivent les gens", "il est dangereux que 4% de la population s'occupent de nourrir les 96 autre %" by guiyaum May 22