How Google+ Could Cost Online Retailers Millions | TagMan Not Much for Etailers to ‘Like’ About Social Plug-Ins One second is how long Google’s +1 plug-in drags down page-load time, and that’s not “just” a second when research shows that ten percent of site traffic is lost for every extra second a site takes to load. Facebook’s ubiquitous ‘like’ plug-in stalls page load time by approximately .2 seconds. This means featuring both plug-ins on a page adds c. 1.2 seconds to its load time. That translates to more than a 10% loss in visitors, and by extension, in conversion. Otherwise put, an online business with $35 million in revenue could lose over $3.5 million in sales using just these two plug-ins. Adoption of Google’s +1 plug-in has been astonishingly fast. Smart Tag Loading (STL) is the solution for social plug-in page drag as well as how tags affect page load speed. Has your site been affected by Google’s +1 plug-in?
5 things to consider before firing back at online critics (Editor’s note: Curtis Smolar is a partner at Ropers Majeski Kohn & Bentley. He submitted this column to VentureBeat.) A reader asks: My business has been hit with several negative reviews online that I believe are unfair. Can I stop them? Defamation and/or libel are generally untrue statements that damage your reputation. It might be tempting to file suit or defend yourself aggressively, but before you react, here are five things to consider: Avoid sending a nasty demand letter – This is really a practical issue. Creative speech limitations can backfire – Recently, in an attempt to reduce the medical malpractice risk for doctor, one company came up with an ingenious plan: Have patients assign all their rights in any future Internet posts to the physician. While it’s certainly a creative approach, an effort like that basically amounts to prior restraint on free speech. For example, there are several sites online that amend a company’s registered trademark with the word “sucks.”
Following A Web Design Process - Smashing Magazine L’avenir de Google+ se dévoile Voilà presque un mois que Google a lancé sa plateforme sociale Google+ : Google lance sa plateforme sociale unifiée Google+. Beaucoup d’agitation et de spéculations autour de cette nouvelle plateforme qui a fait grand bruit. Il faut dire que le programme de déploiement par invitation a généré beaucoup d’attente et de frustration. Visiblement tout ceci devrait rentrer dans l’ordre, car le service serait accessible librement à partir du 1er août (à confirmer). Je pense ne pas me tromper en disant que Google a réussi son pari, car Google+ a connu une croissance spectaculaire : Nous en savons maintenant un peu plus sur l’audience de Google+ avec plus de 20 millions d’utilisateurs, chiffres confirmés par Google et d’autres instituts sérieux comme comsCore : Google+ Off to a Fast Start with 20 Million Visitors in 21 Days. Mais il convient néanmoins de relativiser, car l’Amérique du Nord représente tout de même la part d’audience la plus importante :
Nouveaux médias: une nouvelle classe de dominants » Article » OWNI, Digital Journalism Pour Cyrille Frank, Internet et les nouveaux médias ne facilitent en fait pas le partage du pouvoir. Ces nouvelles technologies comme beaucoup avant elles, permettent surtout l’avènement d’une nouvelle classe dirigeante. Avec les nouvelles technologies de l’information se répand l’idéologie du peuple au pouvoir : simplification des techniques, baisse des coûts d’entrée… Les nouveaux produits démocratisent la culture et permettent à tous de s’élever socialement, de “reprendre la main”. C’est un peu l’idée inhérente à l’UGC (User Generated Content). D’autres plate-formes libèrent la création du plus grand nombre grâce au financement mutualisé de type My major company… De même le consommateur, désormais acteur (“consom’acteurs” disent les marketeux jamais en mal de néologismes fumeux), prend sa revanche sur les marques. Avec Facebook, les PME peuvent se lancer dans le grand bain du e-commerce avec facilité : il leur suffit de monter une page de fan. Nouveaux médias : le nouvel eldorado
10 Tips for Decreasing Web Page Load Times Patience is a virtue, but for many, it is often a difficult concept to practice. That is especially true for web users visiting a website that takes a long time to load. Users are enamored with speedy websites, and when a site responds slowly, visitors lose their patience and are less likely to come back. Improving the speed of your website is important not only to users, but to search engine rankings as well. Last April, Google announced that they are now including website speed in their search ranking algorithms. While this inclusion doesn’t hold the same weight as many of Google’s other ranking signals, it is still something that should be considered when planning out your website’s SEO efforts. The following are some tips for decreasing your web page loading times. 1. The first thing you will want to do is to analyze your current page speed. There are many free tools out there for checking how long it takes to load your website. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Conclusion Related Content
Réseaux sociaux : le spectre du consensus mou » Article » OWNI, Digital Journalism Les réseaux sociaux, Facebook et Twitter, accentuent tous deux la valeur de socialisation. Laquelle conduit à une forme d’auto-contrôle de ses membres, notamment via le conformisme qui traduit l’évitement du risque. Readwriteweb avait commenté l’étude (2009) de Cameron Marlow, sociologue travaillant pour Facebook, qui montre le décalage entre le nombre d’amis Facebook et le nombre réel d’amis, ceux avec qui on a de vrais échanges. Les internautes ont en moyenne 130 amis sur Facebook (chiffre 2010) mais ne dialoguent qu’avec quatre d’entre eux (pour les hommes) ou six (pour les femmes). Même les collectionneurs ayant 500 amis ou plus, ne font guère mieux : 10 pour les hommes et 16 pour les femmes. (Peut-être parce qu’elles y passent plus de temps, mais cela ne répond pas à la question de leurs motivations, à creuser…) Voilà qui remet en cause l’idée d’une sur-sollicitation sociale qui conduirait à l’appauvrissement des échanges en raison du nombre. Initialement publié sur Mediaculture
Four More Non-Facebook Social Gaming Platforms Launched Today Early this morning, we wrote about in-game monetization company Offerpal’s plan to help Facebook game developers move off the platform onto other distribution channels like Yahoo or MySpace. But Offerpal is hardly alone in that ambition. Four other companies launched their own takes on social gaming outside Facebook either yesterday or today: Oberon, Hi5, Sony and WildTangent. Most of these efforts haven’t received much coverage yet, because there’s a logjam of news from the ongoing Casual Connect conference in Seattle. But that doesn’t mean they’re not significant — if not individually, then as a broad trend that shows just how many parties want a slice of the market that Facebook currently dominates. Each take is fairly different; here they are: Oberon Blaze Oberon Media is a rather large casual gaming company that prides itself on cross-platform work. Hi5 Developer Portal Hi5 has been extremely vocal about its desire to attract Facebook developers, launching a developer program in March.
La troisième frontière du Web « Cratyle.net Chacun sent que le Web entre aujourd’hui dans une nouvelle phase de son développement. Les tentatives de synthèse fleurissent, mais ne semblent pas suffire à rendre compte des évolutions en cours. Peut-être sont-elles encore trop vagues? ou déjà trop précises? Le concept de « Web Squared » s’ajuste assez bien au « Web 2.0″ passé, mais il ne permet pas vraiment de saisir la nature des changements, moins encore d’en déduire les effets concrets. Le « Web en temps réel », l’une des principales expressions du moment, ne nous renseigne pas beaucoup plus sur la portée de ces changements. Peut-être trouvera-t-on d’ailleurs inutile de vouloir décrire les évolutions d’ensemble du Web? Je crois pourtant que la nature décentralisée du Web offre un moyen de comprendre son orientation. C’est cette piste que je voudrais explorer ici. Les principes fondateurs du Web Ces principes sont simplement les objectifs initiaux que Tim Berners-Lee et Robert Caillau ont donnés à leur projet. La troisième frontière
Comprendre facilement les médias sociaux avec Mc Kinsey