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Pourquoi le e-learning ne marche pas

Pourquoi le e-learning ne marche pas
Les pass-word et login rebutent les utilisateurs Les ressources proposées sont de qualités inégales Les produits sur étagère n’apportent pas toujours de plus-value significative Les produits e-learning se périment vite Les réseaux et terminaux ne sont pas au niveau des solutions proposées Les ressources proposées sont fermées et peu accessibles Les dispositifs proposés sont trop complexes à maîtriser pour une variété d’acteurs Les apprenants ne persistent pas dans l’apprentissage, il ne sont pas automones Les formateurs, ingénieurs ou conseillers formation ne proposent pas l’offre. Suivre ce blog Utilisez notre Reader et abonnez-vous aux meilleurs articles de ce blog !

Présentation webconference fffod_120320_vf Du e-learning au Digital Learning : on y arrive ! La meilleure façon de démarrer le le e-learning dans l’entreprise… c’est de procéder a minima ! Il faut en effet que cette démarche réponde à une vraie problématique de l’entreprise ou de l’un de ses départements. Idéalement, il faudrait même aller au-delà, en s’assurant que l’objectif poursuivi par cette introduction du e-learning est bien aligné sur la stratégie de l’entreprise. Du coup la question posée est celle du choix des premiers projets à « e-learniser »… Impossible ici de faire l’économie d’une analyse approfondie des besoins de formation, qui permettra au Responsable e-learning de prendre en compte les impératifs de formation, comme la nature et la maturité technologique du public à former, les ressources documentaires et humaines existantes, l’éventuelle articulation avec d’autres modalités de formation… Principe à respecter, quel que soit le résultat de cette analyse, et compte tenu des moyens à mobiliser : tout mettre en œuvre pour convaincre les sponsors du projet !

Formation blended (mixte): chacun cherche son mix Tout le monde est d’accord: l’unité temps-action- lieu est finie, place aux dispositifs de formations mixant plusieurs modalités, en différents temps, sur différents lieux. Mais comment décider du meilleur « mix »? Les réalisations des lauréats des récents E-Learning Excellence Awards nous donnent des pistes pour répondre. Ainsi que l’affirme Magali ARTECHE, chef de projet des E-Learning Excellence Awards, les dossiers déposés cette année par les candidats reflétent une grande maturité. Les « parties »: utiliser au mieux chaque modalité pour répondre aux objectifs visés,Le « tout »: veiller à la cohérence du dispositif, de l’amont à l’aval. Premier enseignement, à la lecture des projets: il n’y a pas un , mais plusieurs mix. Un mix? Il y a le mix modalités, bien sûr, pour lequel il me semble que les choix peuvent être répartis ainsi: Le présentiel ne se limite pas au stage, il peut intégrer des conférences, par exemple. Le mix accompagnement L’accompagnement est en soi une modalité.

Tribune Blended learning : la formation multimodale à destination des populations nomades par Olivier Ferhat Pour répondre aux besoins découlant des modifications de l’organisation du travail en entreprise, la formation a pris le pli des nouvelles technologies. En associant e-learning et formation en présentiel, qu’elle soit physique ou virtuelle, le blended learning a recours à l’apprentissage multimodal pour fournir une pédagogie adaptée à l’environnement de l’apprenant. Le e-learning a longtemps rassemblé tout ce qu’il pouvait y avoir de digital dans la formation. Apprendre à distance, grâce à de nouveaux supports, a même été, un temps, voué à supplanter la formation classique (celle des salles de formation en entreprises). Or aujourd’hui, il existe une multitude de champs de possibilités collectives et digitales comme les web conférences ou les classes virtuelles, à intégrer dans la notion de e-learning. C’est ce qu’offre le blended learning, en réunissant des activités de formation dites « synchrones » et « asynchrones ». Le "mobile learning" prépare l’avenir Olivier Ferhat

E-learning, les 5 alertes de Meirieu Avec l'avènement du numérique, les pédagogues ont dû relever plus d'un défi. Comment intégrer les nouvelles technologies aux apprentissages ? S'agit-il d'une simple amélioration de l'existant, d'une plus-value qui rehausse la qualité de l'enseignement et de la formation ou carrément d'une refonte de nos prestations face à une génération hyper connectée ? Enrichissement du présentiel, hybridation des contenus, FAD, e-learning, applications portables et autres tablettes, réseaux sociaux etc., autant d'outils, de pratiques et d'usages qu'institutions et enseignants ne peuvent plus ignorer sans risquer d'être décalés par rapport au cours actuel des choses. Mais faut-il s'en convaincre encore, il y a toujours débat dans le milieu universitaire autour de la question pédagogique, notamment lors de la conception et mise en oeuvre de projets e-learning. Meirieu et le numérique : méfiance E-learning et pédagogie peuvent (vraiment) faire bon ménage Références :

Où va l'E-Learning ? Dans les établissements d'enseignement supérieur européens, l'e-learning progresse et bien peu d'universités désormais ne proposent pas au moins de la formation mixte associant enseignement en présence et à distance. En Afrique, les universités publiques et privées outrepassent leurs difficultés techniques et organisationnelles pour accroître l'usage des outils numériques de gestion et proposer un nombre croissant de cours et diplômes en ligne. Nécessité fait loi, dira t-on : quand on ne peut décidément plus ajouter un seul étudant dans l'amphi bondé, il faut bien trouver de nouvelles modalités de distribution des cours. Aux USA, plus de la moitié des élèves de secondaire ont déjà suivi un cours en ligne. Mais l'avenir du e-learning se profile ailleurs, dans le mélange bientôt inextricable de la présence et de la distance. Illustration : Mihail Jershov, Shutterstock.com Ces profs devenus populaires... en donnant leur cours ! 21 septembre 2013 Scénario arborescent pour e-learning de qualité

L'École numérique » E-learning : la pédagogie avant tout Comment placer la pédagogie au centre de l’usage des nouvelles technologies en tenant compte des spécificités qu’induisent ces nouveaux outils ? Tel est l’objectif auquel doit avant tout répondre le e-learning. Souvent, l’usage des nouvelles technologies dans la formation et l’enseignement consiste à médiatiser des ressources pédagogiques qui sont déposées sur une plateforme ou un ENT. Les enseignants concentrent fréquemment leur énergie sur la médiatisation des ressources parce qu’ils appréhendent une difficulté technique, ou parce qu’ils se laissent séduire par les possibilités techniques des outils à disposition. On peut le constater quels que soient les outils utilisés (TBI, mise en ligne de parcours à distance, etc.). Le problème, c’est que l’impact négatif de ces pratiques sur l’apprentissage est réel. Deux principes directeurs L’utilisation des NTIC nécessite plus de rigueur dans la conception du dispositif d’apprentissage. Définir une stratégie pédagogique globale

Plaidoyer pour Renouveau du Elearning « 360Learning Le Blog360Learning Le Blog La prochaine évolution du e-learning ne doit consister en rien de moins qu’en sa démocratisation massive. Parce que le e-learning d’entreprise s’obstine depuis quinze ans à tourner en rond avec ses mascottes, ses modules Flash longs et rébarbatifs dont la nature même est incompatible avec les usages en vigueur sur le web. Alors qu’HTML5 a remplacé Flash et que les interfaces de programmation web (API) ont rendu les précédentes normes obsolètes, le e-learning doit s’inspirer du mouvement d’ampleur amorcé outre-Atlantique pour renouer avec ses promesses initiales. Enfin, les coûts d’entrée prohibitifs (de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour l’installation d’une plateforme et la même chose pour la création des modules) doivent être supprimés pour permettre cette démocratisation. Massif, Démocratique et Qualitatif : C’est l’essence même du e-learning, qu’il semblait pourtant avoir perdu de vue depuis ces quinze dernières années. Les MOOC comme références

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