Memo to Rio+20: 'green economy' doesn't mean monetising nature | Global development A lone green tree amid deforested land near Mae Chaem, Thailand. Would ascribing a monetary value to the area have made a difference? Photograph: Barbara Walton/EPA The 1992 Rio Earth summit established "sustainable development" firmly in the global political lexicon – even though the term meant, and continues to mean, different things to different people. As the Rio+20 anniversary conference approaches, a battle rages over the definition of another term: "green economy". According to one of the official preparatory documents (pdf): "Several delegations proposed the valuing of ecosystem services and internalising of environmental externalities as key elements of a green economy, as well as green accounting (pdf); while some delegations cautioned against further marketisation of nature's services." The jargon masks some diametrically opposing views. A market-based approach to dealing with natural resources is not an entirely new concept.
Malthus, Marx ou Marché? - A Baoding en juin 2011. REUTERS/David Gray - JE RENTRE TOUT JUSTE d’un voyage en Chine, et alors que je m’y étais encore rendu il n’y a pas si longtemps, j’ai été de nouveau surpris par les mutations de ce pays, qui s’opèrent à une vitesse déconcertante! Nous parlons d’un pays dont le taux de croissance se situe à 10% par an en moyenne. J’ai effectué mon premier voyage en Chine en 1978, lorsque les réformes économiques en étaient encore à leurs balbutiements. Je me rappelle les grandes avenues presque dépourvues de voitures, mais grouillant de bicyclettes. publicité Ces mêmes artères sont aujourd’hui bordées de gratte-ciels à l’architecture audacieuse. Moins de pauvreté, plus de consommation Le changement fondamental est que des millions de Chinois sont sortis de la pauvreté, s’intégrant à une classe moyenne qui, bien que plus pauvre que les classes moyennes d’Europe ou des Etats-Unis, a désormais les moyens de s’acheter plus de nourriture, de médicaments ou de consommer plus d’énergie.
UNEP (unepandyou) ‘Green Economy’ - New Disguise for Old Tricks? FLORENCE, May 28, 2012 (IPS) - Though the current global economic and financial crises are undoubtedly devastating much of the world, they present the perfect opportunity for remodeling our economic system, according to participants at the ninth annual Terra Futura (Future Earth) exhibition of ‘good practices’ in social, economic and environmental sustainability held here from May 25-27. "What, how, how much and for whom to produce? Those are the questions we urgently need to answer," said Guido Viale, environmental economist and author of several books on ecological issues. "The crisis offers us a chance to ecologically reconvert the ways we produce and use goods and services, paving the way to reduce our dependency on fossil fuels, to respect biodiversity and to create a safe, low-carbon economic system." "With no binding commitment to energy efficiency for 2020 and no verifiable energy saving targets for EU members, Europe risks (feeding) its addiction to fossil fuels," Frassoni added.
Le développement durable? C'est de l'économie pure et dure Le réchauffement climatique arrive à une vitesse et avec une intensité que personne n'avait anticipées, et pourtant la droite partisane de l'énergie fossile a quasiment réussi à éliminer la question de l'ordre du jour, sous couvert d'une prétendue défense des «marchés libres». En réaction, les écologistes ont eu tendance à se retirer encore davantage dans leurs enclaves biologiques, alors que ce qu'il faut réellement, c'est retourner aux bases de l'économie: les marchés ne peuvent être libres quand les bénéfices sont privatisés et quand d'énormes coûts sont socialisés. Le seul moyen de sortir de cette crise écologique est d'aligner les intérêts individuels des citoyens sur la santé de la planète. Le problème, c'est que ceux qui seraient justement les plus à même de nous aider –les économistes– ont été mis à l'écart du débat public. «Aucun sacrifice individuel ne sera suffisant» Le contraste est saisissant. Commençons par le trafic aérien. Bonnes initiatives de l'UE «Payer pour la pollution»
A la conférence de Cocoyoc, le Sud liait écologie et égalité, par Aurélien Bernier Programmées à quelques mois d’intervalle, deux rencontres internationales sur l’écologie occupent les calendriers diplomatiques : la conférence de Durban (Afrique du Sud) sur le changement climatique, du 28 novembre au 9 décembre 2011, et le sommet de la Terre à Rio, du 20 au 22 juin 2012. Sur fond de crise économique, peu se risquent à parier sur une avancée positive des négociations lors de ces rendez-vous. Après les sommets de Copenhague (2009) et de Cancún (2010), le thème du changement climatique et de la réduction des gaz à effet de serre est rangé au rayon des préoccupations accessoires. Quant aux sommets de la Terre, qui ont lieu tous les dix ans, celui de Stockholm, en 1972, avait suscité l’espoir d’une action concertée pour protéger la planète ; celui de Nairobi, en 1982, a constaté l’échec complet de la « communauté internationale », et ceux de Rio en 1992 et Johannesburg en 2002 ont salué la récupération de l’écologie par les multinationales. Des prescriptions oubliées
Green economy or greedy economy? | World Development Movement What is a green economy? A true green economy would embrace economic justice - the right of poor communities to determine their own path out of poverty, and an end to harmful policies which put profit before people and the environment. It would end our obsession with economic growth and unsustainable consumption and replace these with a focus on how everyone’s needs can be met in a truly sustainable manner. However, industrialised countries like the UK, alongside banks and multinational companies, are using the phrase 'green economy' as a smokescreen to hide their plan to further privatise the global commons and create new markets in the functions nature provides for free. Out of this Trojan horse will spring new market-based mechanisms that will allow the financial sector to gain more control of the management of the global commons. Subject the natural world to cost-benefit analysis and accountants and statisticians will decide which parts of it we can do without.
Quel est l'essai le plus marquant de ces dernières années ? Après la lecture de Prospérité sans croissance de Tim Jackson, notre collaborateur Arnaud Gonzague s’est demandé s’il s’agissait là de l’essai sur le développement durable le plus important des 50 prochaines années. Un avis que certains d’entre vous partagent volontiers. FredO, blogueur sur Terra eco, nous explique ainsi pourquoi il faut lire Tim Jackson et nous recommande aussi les réjouissants écrits de l’éditorialiste britannique George Monbiot, auteur entre autre de L’âge du consentement. Si on dressait un top 10 des livres les plus marquants, Jérôme voudrait aussi que l’on fasse figurer celui de Jean-Marc Jancovici C’est maintenant !. Luciole, grande lectrice, ne partage pas l’enthousiasme de Terra eco sur le bouquin de Tim Jackson. André-Jacques Holbecq, auteur de Une alternative de société : l’écosociétalisme Philippe Derudder, auteur de Les 10 plus gros mensonges sur l’économie Baptiste Mylondo pour son précis d’utopie réaliste Un revenu pour tous Le débat reste ouvert.
Will Rio+20 Spark a Green Revolution? UXBRIDGE, Canada, May 25, 2012 (IPS) - Think of Rio+20 as the hothouse to grow the green ideas and values humanity needs to thrive in the 21st century. No one is expecting, or even wants, a big new international treaty on sustainable development said Manish Bapna, interim president of the World Resources Institute, a global environmental think tank based in Washington, D.C. "The important action will be on the sidelines of the formal negotiations," Bapna told IPS in an interview. Blocs of countries, civil society organisations and representatives of business will meet, create coalitions and make commitments on specific issues and on regional concerns. "There could be some exciting specific commitments coming out of Rio," Bapna said. Perhaps the most important outcome from Rio+20 would be to put to rest the erroneous belief that protecting the environment comes at the cost of economic growth when it is in fact the opposite. U.S. The U.N.' The world has changed since 1992.
Tim Jackson : « Il est très difficile pour des individus de réduire leur consommation » Vous dites qu’il est enfantin de comprendre qu’on ne peut pas vivre dans un système de croissance perpétuelle sur une planète finie. Dans le même temps, vous avez découvert qu’il n’existe pas de théorie macroéconomique intégrant l’écologie. Qu’est-ce qui explique qu’il ait fallu autant de temps pour intégrer cette donnée-là ? Les économistes comme Keynes étaient confrontés à des enjeux très différents d’aujourd’hui. La question était alors de maintenir la stabilité d’un système économique, d’assurer l’emploi avant la guerre, de savoir comment dépenser l’argent en période de guerre, d’augmenter le niveau de vie… La question des ressources était absente des débats. Mais je ne dirais pas que les économistes ne voyaient pas la question des limites. Comment les économistes « classiques », qu’ils soient keynésiens ou néolibéraux, reçoivent-ils vos travaux ? Ils disent que je ne tiens pas suffisamment compte du pouvoir des impôts et des taxes. Et le plus difficile ? 1957 Naissance
3. Green Economy Conference - Green Economy Group Creating a Green Economy:Pioneering Next Generation Green Companies,Green Projects and Green Jobs The cleantech conference will be held in San Franciscoon October 21st and October 22nd, 2014The Green Economy Awards will also be presentedduring the conference Green Economy Conference 2014 The Green Economy Conference 2014 will be held in San Francisco on October 21st and October 22nd, 2014. Conference registration will open on February 1st, 2014. To suggest a speaker, inquire about sponsorship opportunities, or learn more about the Green Economy Conference 2014, please send an email to sfconference@greeneconomygroup.com The Green Economy Awards will also be presented during the Green Economy Conference 2014. To learn more, contact us or explore social media options.