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Danser sa vie - Dossier pédagogique

Danser sa vie - Dossier pédagogique
Robert Morris, Site, 1963 Performance au Surplus Dance Theater, Stage 73, New York, 1963 Danseurs : Carolee Schneemann et Robert Morris Film 16 mm, noir et blanc, sonore, 18’30” L’exposition : une approche inédite de l’art moderne et contemporainL’art du corps en mouvement Les artistes plasticiens ont souvent réalisé des décors, fonds de scène, rideaux ou costumes, pour des chorégraphes. Les danseurs et danseuses ont servi de modèles aux peintres et aux sculpteurs, aboutissant à de magnifiques portraits. En parallèle à l’exposition, venant enrichir son versant contemporain, une programmation de Spectacles vivants est proposée, couvrant une large palette d’approches du corps en mouvement (Meg Stuart, Maria La Ribot, Olga de Soto, Myriam Gourfink, Herman Diephuis…), ainsi qu’une nouvelle édition de la manifestation Vidéodanse, un programme de conférences et des cycles cinématographiques : Prospectif Cinéma et Vidéo et après. Isadora Duncan (1877-1927) Antoine Bourdelle (1861-1929) Anonyme.

Podcasts videos - Kurt Schwitters Kurt Schwitters (1887-1948) Dans ce nouveau podcast, jamais l’incrustation des assemblages de fragments verbaux typographiques proposée par Eric Bernaud n’aura été aussi pertinente pour illustrer le portrait que fait Michel Giroud de K. Schwitters… Entrez dans le continent MERZ... Kurt Schwitters, né le 20 juin 1887 à Hanovre en Allemagne, et mort le 8 janvier 1948 à Ambleside en Angleterre, est un peintre, sculpteur et poète allemand. On est au cœur de l’artichaut, la périphérie c’est du centre ! Il faut le présenter d’une manière non sérieuse, mais sérieusement élémentaire, chaotique et concentrée le cas (K) Schwitters qui n’a que très lentement pénétré le doux pays de France, dans les années 1947-1948… Un bon dossier de la revu K mise en maquette par Pierre Faucheux où il a été présenté par Alain Gheerbrant et Schwitters venait de mourir connu et méconnu comme poète, musicien, théoricien, fabricant de la fameuse revue Merz, comme coordinateur européen de toutes les tendances. De Stilj

12ème Biennale de lyon : interview du commissaire Gunnar B. Kvaran à propos des formes narratives de l'art contemporain Le directeur du musée d’art contemporain de Lyon, Thierry Raspail a invité Gunar B. Kvaran pour le commissariat de la Biennale de Lyon en septembre. Gunnar B. Kvaran est directeur du musée Astrup Fearnley à Oslo. Il a été commissaire de la Biennale de Sao Paulo en 2011 et de la deuxième Biennale de Moscou entre 2006 et 2012. Pourquoi avez-vous choisi de travailler à partir du terme « transmission » ? C’est le directeur de la biennale Thierry Raspail qui m’a proposé de travailler à partir du mot « Transmission». Sur quoi porte la transmission ? Au mot « Transmission », j’ai répondu « récit » avec une attention particulière aux questions de narration. Comment ce thème va-t-il traverser la biennale ? La sélection inclut des pratiques artistiques et des univers narratifs très différents. Vous avez choisi des œuvres d’art narratives. La narrativité se transmet et s’expérimente différemment selon le médium choisi (littérature, cinéma, peinture, sculpture…). Combien d’œuvres y aura-t-il ?

Centre national de la danse « La danse et le cinéma racontent des histoires avec des gestes. Des histoires parfois très abstraites, mais tout de même des histoires : prenez Merce Cunningham et sa grande histoire de l’égalité, quand se valent toutes les zones du corps, tous les points de l’espace ou du temps. Dès lors, par leur matière première commune, danse et cinéma sont voués l’un à l’autre. L’ambition de cette installation vidéographique et de ce coédité avec les éditions Capricci est de se situer au point de rencontre gestuel où la danse entre en collision avec le cinéma. L’installation Filmer la danse présentée au CND propose une multitude de montages de films et d’extraits proposant d’éloquentes "solutions" aux questions que pose l’articulation de la danse au cinéma. Stéphane Bouquet, écrivain, scénariste, critique de cinéma, danseur auprès de Mathilde Monnier, directeur de publication du livre Danse / Cinéma (coédition CND / Capricci). 5/ DANSES ABSTRAITES - Fusion, Ed Emshwiller, 1967 - Le Lys, George R.

mouvement dada ou dadaïsme Le dadaïsme est un mouvement intellectuel et artistique qui apparut à New York et à Zurich (1916), se diffusa en Europe jusqu'en 1923 et exerça, par sa pratique subversive, une influence décisive sur les divers courants d'avant-garde. Dada, mouvement international d'artistes et d'écrivains, est né d'un intense dégoût envers la guerre qui signait à ses yeux la faillite des civilisations, de la culture et de la raison. Terroriste, provocateur, iconoclaste, refusant toute contrainte idéologique, morale ou artistique, il prône la confusion, la démoralisation, le doute absolu et dégage les vertus de la spontanéité, de la bonté, de la joie de vivre. Paradoxalement, son activité de déconstruction et de destruction des langages (verbal et plastique) se traduit par des œuvres durables qui ouvrent certaines voies majeures de l'art contemporain. Non-sens et provocation Un mouvement cosmopolite À la fin de la guerre, en Allemagne, Dada eut un sens plus politique.

Jan Gehl Jan Gehl (born 17 September 1936) is a Danish architect and urban design consultant based in Copenhagen and whose career has focused on improving the quality of urban life by re-orienting city design towards the pedestrian and cyclist. He is a founding partner of Gehl Architects. Biography[edit] Gehl received a Masters of Architecture from the Royal Danish Academy of Fine Arts in Copenhagen in 1960, and practiced architecture from 1960 to 1966. In 1966 he received a research grant from the institution for "studies of the form and use of public spaces," and has since been a lecturer and professor there, and a Visiting Professor in Canada, the US, New Zealand, Mexico, Australia, Belgium, Germany, Poland and Norway. He is a founding partner of Gehl Architects – Urban Quality Consultants. Influence[edit] Gehl Architects' project for Brighton New Road employing shared space, awarded the UK Civic Trust Award Gehl participates in and advises many urban design and public projects around the world:

Pharrell Williams - Happy Oskar Schlemmer | Bauhaus Online Oskar Schlemmer studied applied graphic design at a marquetry workshop in Stuttgart from 1903 to 1905. Between 1906 and 1910, he studied for one semester at the school of applied arts in Stuttgart and then received a scholarship to the city’s Akademie der bildende Künste (academy of art). In 1911/12, Schlemmer worked as a freelance painter in Berlin and made contact with Herwarth Walden’s gallery, Der Sturm. In January 1921, Schlemmer was appointed by Walter Gropius as one of the first masters at the Staatliches Bauhaus in Weimar. From 1929 to 1932, Schlemmer held a professorship at the Staatliche Akademie für Kunst und Kunstgewerbe (state academy of art and applied art) in Breslau, where he directed the stagecraft class among others.

Les modes de vie de proximité dans les villes contemporaines Pour parler en termes caricaturaux, les modes de vie basés sur la proximité concernent deux catégories de citadins : ceux dans des situations d’exclusion sociale et ceux pour lesquels des choix, notamment du lieu de résidence dans des centres-villes, sont possibles. Deux images opposées sont véhiculées par ces modes de vie : la proximité (et/ou l’immobilité) comme un échec social d’une part et la proximité (et/ou le local) comme un accomplissement culturel, social et environnemental. Au travers de ces deux exemples, c’est l’échec d’une planification urbaine que l’on souligne, ou sa réussite. Etudier les modes de vie des citadins concernés n’est-elle pas alors une voie pour réconcilier ces deux regards et mieux penser la place des modes de vie de proximité dans les métropoles contemporaines ? Fruit d’une époque (pas totalement révolue dans certains pays) à laquelle la vitesse était l’apanage d’une élite, la mobilité draine une image positive de réussite sociale et professionnelle.

Kurt und Ernst Schwitters Stiftung Astrid Erll, Ann Rigney (Hrsg.): Mediation, Remediation and the Dynamics of Cultural Memory - Herbert von Halem Verlag Rezensiert von Jana Magdanz Die Aufsatzsammlung Mediation, Remediation and the Dynamics of Cultural Memory , herausgegeben von Astrid Erll und Ann Rigney, stellt einen wichtigen Schritt dar, das Verhältnis zwischen Kultur und Erinnerung als ein wesentliches Thema interdisziplinärer Forschung auf hohem Niveau auszuleuchten, wie es in der jüngeren Vergangenheit immer wieder angeregt und gefordert wurde (Erll 2008: 1; Confino 1997: 1390; Welzer 2002: 10; Matussek 2003). Der Begriff des kulturellen Gedächtnisses geht auf die Forschungen des französischen Soziologen Maurice Halbwachs (1877-1945) zurück. Wenn Halbwachs selbst die Medien der Aufbewahrung kollektiven Gedächtnisses in seinen Schriften nur streift, so ist dies auf die untergeordnete Rolle von Medien im Alltag vor annähernd einem Jahrhundert zurückzuführen. Medien formen heute ganz entscheidend die Elemente und auch die Art und Weise des kulturellen Erinnerns und die Agenda des kollektiven Gedächtnisses. Literaturverzeichnis: Links:

Kurt Schwitters Kurt Hermann Eduard Karl Julius Schwitters (20 June 1887 – 8 January 1948) was a German painter who was born in Hanover, Germany. Early influences and the beginnings of Merz, 1887-1922[edit] Das Undbild, 1919, Staatsgalerie Stuttgart Hanover[edit] Kurt Schwitters was born on 20 June 1887, at No.2 Rumannstraße,[1][2] Hanover, the only child of Edward Schwitters and his wife Henriette (née Beckemeyer). His parents were proprietors of a ladies' clothes shop. After studying art at the Dresden Academy alongside Otto Dix and George Grosz, (although Schwitters seems to have been unaware of their work, or indeed of contemporary Dresden artists Die Brücke[3]), 1909–15, Schwitters returned to Hanover and started his artistic career as a post-impressionist. Schwitters spent the last one and half years of the war working as a technical draftsman in a factory just outside Hanover. He married his cousin Helma Fischer on 5 October 1915. "In the war, things were in terrible turmoil. Der Sturm[edit]

Illustrations : libre de droit, creative commons, comment s'y retrouver ? Illustrer un livre numérique semble être, de prime abord, quelque chose d'assez simple à réaliser. En effet, que faire de plus que de choisir une image sur un moteur de recherche et la glisser dans son document ? Avec Lettres numériques Malheureusement, dans la réalité, les choses sont loin d'être aussi simples. Qu'il s'agisse de la couverture de votre livre numérique, des illustrations dont vous voulez le doter ou des tableaux, des vidéos ou des bandes sonores, enrichir un livre numérique vous oblige à vous pencher sur la question des droits d'auteurs. Il existe ainsi deux cas de figure. a) Vous voulez créer un livre numérique à partir d'un ouvrage papier existant L'éditeur papier a normalement déjà obtenu les droits des illustrations dont il a doté le livre. Si l'éditeur ou l'illustrateur refusent de vous céder leurs droits, vous êtes dans l'obligation de choisir d'autres illustrations. b) Vous créez un livre numérique de toutes pièces Plusieurs solutions s'offrent à vous. Exemple :

Metzbau ? : metzbau Le Metzbau est un projet artistique d'une grande ampleur. Vous pouvez lire ci-joint (en cliquant sur le lien) la première note de cadrage de l'initiateur du projet Mr Alain (Georges) Leduc. présentation.doc Sculpture en perpétuelle croissance, le Metzbau s’inspire naturellement des Merzbau de l’Allemand Kurt Schwitters. Il en est une transposition dans notre contexte socio-économique. L'idée principale, qui sert de base au projet, est d'utiliser le web (médium très à la mode et en pleine expansion) pour faire circuler des questions dans un espace presque illimité (le monde entier) et touchant tous publics. Ce blog sert avant tout de lien entre les étudiants du Metzbau et les internautes qui participent aussi à la construction grâce aux réponses qu'ils ont envoyées aux étudiants de l'ESAMM par e-mail. De plus, si vous voulez répondre à une ou plusieurs de ces questions, laissez un commentaire à la note correspondante ! Bonne visite

Le dispositif NFC est-il un outil de médiation pertinent ? L’exemple Dynamo L’exposition événement de ce printemps à Paris, vous ne l’aurez certainement pas manqué, est l’exposition phare et labyrinthique Dynamo aux galeries nationales du Grand Palais. Organisée par la Réunion des musées nationaux, cette exposition a vocation à présenter l’art cinétique à travers ses œuvres les plus emblématiques (170 artistes sur 4000m² tout de même). Un des partenaires de l’exposition, Orange, a développé avec la RMN un dispositif de médiation et collaboration d’un nouveau genre pour une exposition de ce type et de cette taille en France. Invitée à découvrir l’exposition et à tester le dispositif, je me suis rapidement interrogée sur la pertinence d’une telle technologie en tant qu’outil de médiation d’exposition. Qu’est-ce que la technologie NFC ? NFC veut tout d’abord dire Near Field Communication. NFC, une nouvelle technologie sans contact ? Enfin, dernière promesse de la technologie : permettre le paiement et l’échange de données sécurisés. Vue de l'application Dynamo

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