Polémique autour de la stratégie "low cost" de Renault LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Jacqué ((à Tanger)) "Avions-nous le choix entre créer une usine en France ou au Maroc pour produire des véhicules 'low cost' ? La réponse est non. Après le député Nicolas Dupont-Aignan, mercredi, l'ancien ministre de l'industrie Christian Estrosi (UMP) a jugé, jeudi, que la création d'une usine au Maroc pour un coût de 1 milliard d'euros "est tout à fait insupportable voire scandaleuse (...). Bruno Le Roux, porte-parole du candidat PS à l'élection présidentielle, François Hollande, a fustigé l'attitude de l'entreprise, dont l'Etat français détient 15 % du capital : "Renault part réaliser du dumping social au Maroc pour produire des voitures "low cost" destinées à l'Europe et à la France (avec un salaire de 240 euros par mois), une stratégie que l'Etat actionnaire ne peut ignorer." "Les 3 milliards de prêts avantageux accordés à l'entreprise par les contribuables l'auront aidée à construire une usine gigantesque à notre détriment au Maroc.
Messages Contraignants et Drivers Stress motivant ou stress inhibant ? Le concept des Drivers a été développé par Taïbi Kahler, Psychologue Américain et Analyste Transactionnel. Il cherchait à répertorier et à classer les signes extérieurs émis par la personne lorsqu’elle se trouve dans une situation qui provoque chez elle un stress. Le Message contraignant (ce qui se passe à l’intérieur de la personne) est une sorte de slogan interne à une personne qui, comme une directive brutale, la bouscule dans sa façon de se comporter seule ou avec les autres, et face à ses objectifs. C’est un message qui est donné par les parents à leurs enfants. Il devient négatif quand il est pris au pied de la lettre et qu’avec ce slogan ou cette directive est véhiculé, en sous-entendu, un « sinon… ».Exemple : « Sois Fort, sinon tu te feras marcher dessus ». Ainsi il va identifier 5 drivers (ce qui se voit à l’extérieur) : Implicitement, avec ce slogan ou cette directive est véhiculé en sous-entendu un « sinon… ». Scénario Mini-scénario N.B.
Qu’est ce que la valeur perçue d’un produit ? | Media Webtv ! Qu’est ce que la valeur perçue d’un produit ? Publie le 03 juin 2013 par admin Il ne vous a pas échappé que tout produit ou tout service a une valeur intrinsèque liée à son coût de fabrication et la marge souhaitée par l’entreprise. Mais est ce que ce sont ces seuls paramètres qui déterminent la valeur d’un produit ou d’un service ? Existe-il une valeur psychologique au produit ou au service ? Vous achetez des lunettes de soleil qui valent dans le commerce 100€. Lorsque vous voulez vendre un produit ou un service, veillez à ce que le produit ou le service ait une valeur bien supérieure à son propre coût réel. Vous proposez un DVD de formation de 2h de contenu. La valeur perçue est alors moindre et tout à fait acceptable. Le meilleur moyen d’illustrer cette notion de valeur perçue est la démonstration de Rory Sutherland, publicitaire de son état, il vous propose d’autres exemples très éloquents de valeur perçue.
Techniques de negociation CSI info 9 Chapitre 7 Techniques de négociation et gestion de conflit Techniques de négociation La capacité à négocier est une aptitude très importante chez un gestionnaire de projet. La négociation est utilisée pendant toutes les phases du projet. Les gens avec qui vous négociez comprennent : les bailleurs de fonds, les partenaires du projet, les autorités nationales et locales, les consultants extérieurs, les employés du projet. Dans ce manuel, nous ne pourrons pas vous fournir un aperçu complet des qualités d’un négociateur. Approche de la négociation Une approche très courante de négociation est celle qui dit ‘Je veux obtenir ce pour quoi je suis venu, je veux gagner la négociation, et si je gagne l’autre partie aura perdu’. Gagne-gagne C’est la situation dans laquelle les deux parties obtiennent au moins partiellement ce qu’elles veulent. Gagne-perd C’est la situation classique décrite plus haut – s’il y a un gagnant, alors, par définition, il y doit y avoir un perdant. Perd-perd 1. 2.
Decathlon : l'expérience client en magasin se digitalise Qu’elle soit au niveau de ses produits ou de la vente, l’innovation se doit d’être au service du client pour Decathlon. En cette rentrée 2014, l’enseigne sportive préférée des français déploie de nouveaux services digitaux sur l’ensemble des 262 magasins : retrait en magasin des commandes passées sur Decathlon.fr, outil Mobistore et RFID. Les puces RFID pour gérer les stocks et accélérer le passage en caisse Une puce électronique fonctionnant avec le système dit RFID – « Radio Fréquence Identification » – est intégrée à une étiquette collée sur chaque référence. En équipant ses produits de cette puce, il est possible de les suivre à distance, en direct et quelque soient les volumes. L’autre avantage pour le client réside dans le passage en caisse. Mobistore : le bras digital prolongeant celui du vendeur L’e-reservation prolonge celui du client Avec ces 3 dispositifs, Decathlon voit l’innovation comme la source permanente d’amélioration avec son client.
Le marshmallow challenge : exercice de cohésion d’équipe. Votre humble serviteur a eu la joie, l’honneur et l’avantage d’être sollicité pour "l’Agile tour de Rennes". De quoi s’agit-il me direz vous ? En synthèse, l’agilité est une méthode de travail, fortement inspirée du Lean management, qui est proposée au sein des sociétés de services informatiques (SSII), bien que ce soit démultipliable dans bien d’autres structures. Mon propos ici n’est pas de vous faire partager cet outil que d’autres maitrisent mieux que moi, mais plus de vous relater l’expérience que j’ai vécue lors de cette animation. Le pourquoi de mon intervention ? Qui dit méthode de travail, dit collaborateurs. Lors de cette intervention, co animée par Xavier Torpe de chez Logica, nous avons organisé un « Marshmallow challenge ». C’est quoi un marshmallow challenge ? Le groupe est divisé en 3 équipes. Chaque équipe dispose de : 1 chamallow 20 Spaghettis (non cuit, je précise, ça a son importance pour la suite), 1 rouleau de scotch, Une ficelle L’objectif : L’organisation : 1 manager L’équipe
Son rêve: "enchanter" les clients, les consommateurs et les utilisateurs Vous en avez assez des hot-lines injoignables, des services après-vente incompétents, des livraisons-fantôme ? Le forum de "l'expérience-client" a pour but de recenser les meilleurs initiatives permettant de résoudre ces points noirs et, au-delà, de faire du processus de vente un acte "enchanteur" -pour reprendre l'adjectif favori de Guy Kawasaki, ex-apôtre de l'expérience-client chez Apple. Le forum a lieu du 10 au 12 septembre à La Baule et Manuel Jacquinet, organisateur de l'événement et directeur de la rédaction de En-Contact, le magazine de la relation-client, nous en explique les enjeux. Vous organisez le forum de "l'Expérience client": ce terme est à la fois très connoté "marketing" et semble aussi très vague... En fait, "l'expérience client" mesure la différence entre ce à quoi le client s'attend quand il achète un produit ou un service, et ce qu'il ressent en réalité lors de l'achat. En tout cas elles en sont de plus en plus conscientes. Non !
Stéphane Haefliger Sociologue - Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub En cas d’accident, Esurance propose de faire l’expertise par chat vidéo depuis un smartphone Les conducteurs assurés aux Etats-Unis auprès de la compagnie Esurance peuvent désormais faire expertiser par téléphone les dégâts sur leur véhicule. Le service s’intitule « video appraisal » et il est d’une telle simplicité qu’il est étonnant qu’il ne soit pas plus développé dans le monde de l’assurance. Pour faire évaluer les dégâts sur son véhicule, l’automobiliste prend rendez-vous téléphonique, grâce à l’application mobile de Esurance, avec un conseiller de la compagnie. Il suffira alors de filmer pendant l’entretien les parties endommagées. L’assureur fixe immédiatement le montant des réparations prises en charge et envoie aussitôt le paiement électronique. Plus besoin de déposer sa voiture chez un garagiste et d’attendre le passage de l’expert. Plus d’infos : engadget Nicolas lance une hotline sur Twitter pour répondre à toutes les questions sur le vin marketing-pgc.com Les Taxis Bleus Creapills
L'assertivité ou la communication saine et équilibrée L’assertivité consiste à refuser d’adopter les comportements suivants : - agression ou domination par la force. - manipulation ou domination par la ruse. - soumission ou résignation. Les comportements de soumission peuvent induire d’autres comportements tels que la fuite ou l’abandon ou pire la destruction de soi. Le concept de "position de vie" permet de caractériser le type de relations aux autres et au monde, à partir de la valeur que chacun leur attribue ainsi qu’à soi-même. Ainsi et selon l'analyse transactionnelle, on peut dénombrer quatre positions de vie : - "idéale" : « Je suis OK, vous êtes OK ». - de mépris : « Je suis OK, vous n'êtes pas OK ». - d'infériorité : « Je ne suis pas OK, vous êtes OK ». - de renoncement : « Je ne suis pas OK, vous n'êtes pas OK ». Les comportements assertifs correspondent à une position de vie "idéale" : « Je suis OK vous êtes OK ». L’assertivité, c’est "être en phase" avec son interlocuteur, donc sans exercer de pression ni en subir. C’est aussi :
Diaporama | L'hypertesting renouvelle la relation client Laisser les clients tester les produits avant de les acheter et les soumettre ainsi à l'épreuve de la réalité, telle est la tendance mise en avant par le dernier cahier de tendances IfopTrends Marques S, et dont notre magazine Marketing s'est fait l'écho cet été (article publié dans le n°177, juin-août 2014). Les consommateurs apprécient ce service et les marques relèvent le défi en faisant preuve d'imagination. Elles créent des outils digitaux perfectionnés, qui reproduisent les conditions du réel, voire les amplifient. Elles organisent des événements qui mettent en scène produits et services. Les enseignes, à l'heure du développement de la vente en ligne, ont plus que jamais besoin d'enchanter le parcours du client, et l'hypertesting est un bon moyen de créer du trafic vers le point de vente. Les exemples suivants montrent que le lien entre canaux virtuels et réels se renforce, les premiers devenant les promoteurs des seconds.