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Comment le "drive" va révolutionner nos hypermarchés

Comment le "drive" va révolutionner nos hypermarchés
Le principe : on achète en ligne, puis on va chercher sa commande. A peine besoin de descendre de voiture. Et ça change tout ! Christophe Bacot n’est pas peu fier de son coup. Cet heureux propriétaire du Leclerc de Verdun vient d’ouvrir un deuxième point de vente dans le coin. Sur les plates-bandes d’un Cora et à une poignée de kilomètres du centre-ville et de ses supermarchés. Abonnez vous à l'édition digitale

La grande distribution se lance à la reconquête du consommateur Les grandes surfaces ne séduisent plus. Pour répondre aux attentes de leurs clients, elles se réinventent dans le fond et dans la forme. Tout sous un même toit et au prix le plus bas. Le 15 juin 1963, lorsque le premier hypermarché – un Carrefour – ouvre ses portes à Sainte-­Geneviève-des-Bois, en région parisienne, c’est la cohue. Cinq mille personnes se précipitent pour découvrir les 2 600 mètres carrés de produits frais, d’épicerie, de textiles et d’électroménager. Et déambulent dans les allées en poussant des chariots qui relèguent au musée le filet à provisions. Abonnez vous à l'édition digitale Trouver le bon merchandising en grandes... - Produits Biologiques Comment distinguer un consommateur de produits bio d'un consommateur de produits conventionnels ? La réponse n'est pas évidente. Si le profil du premier était facilement identifié au début de l'ère bio, il ressemble de plus en plus à monsieur tout le monde aujourd'hui. Les acteurs développent de nouvelles recommandations d'implantation, mais il n'existe pas vraiment de règle type, plutôt deux écoles. La première, généralement celle adoptée par les marques spécialisées, préconise une implantation dans le rayon bio. Ainsi d'Alter Éco, qui du commerce équitable s'est orienté vers le bio (80 % des produits, avec pour objectif 100 % d'ici à un an). « Nous préférons être au rayon bio sous forme de " pavé ", car nos clients sont des écocitoyens. Si la majorité des marques bio préfèrent ce raisonnement, certaines, telle Hipp, optent pour la l'implantation au coeur des rayons conventionnels. « Nos consommatrices raisonnent par unités de besoin. Les distributeurs partagés Les enjeux Les reponses

Les grandes surfaces misent sur le catalogue pour les produits blanc, brun, gris Pour la rentrée 2010, les grandes surfaces alimentaires (GSA) et les grandes surfaces spécialisées (GSS) ont investi 21 millions d'euros bruts dans les médias pour les produits blanc, brun et gris, soit un recul de 23% par rapport à 2009 (1) . Ces résultats ont été communiqués dans le PanoBBG®, étude sur l’activité média et hors média des grandes surfaces alimentaires (GSA), des grandes surfaces spécialisées (GSS), mais aussi des sites e-commerce. À travers cette étude réalisée par Le Site Marketing, spécialiste du marketing “come & buy”, l'étude s'intéresse à l'analyse quantitative et qualitative des investissements média et hors média pour les produits blanc, brun, gris (BBG) sur la période “Back to school” du 15 juillet au 12 septembre 2010. Parmi les résultats, Le Site Marketing révèle que le prospectus demeure l'outil-phare des rayons . Chaque enseigne, qu'elle soit de la GSA ou de la GSS, mène une stratégie particulière dans le choix du mix média/hors média . Méthodologie:

La grande distribution va gagner la bataille du e-commerce par Pierre-Alain Baly - Chronique e-Business Plus simple, plus pratique, plus rapide, plus compétitif et plus performant... les consommateurs connaissent les qualités de la grande distribution. Après des années de discrétion dans le monde du e-commerce, ces marchands sortent leurs griffes et séduisent tous les jours de nouveaux clients. Pour l'acheteur : l'essayer c'est l'adorer !Quand on écoute Jeff Bezos, patron d'Amazon, le premier but d'un (e)commerçant est de servir le client ! La grande distribution a déjà conquis les clients ! Des millions de clients fidèles : toutes les familles françaises fréquentent une ou plusieurs chaînes de supermarché. Le chaînon manquant indispensable à la croissanceEncore incomparable en terme de volume financier avec les ventes du monde réel, le chiffre d'affaires online est tout à fait stratégique. Trop tard pour les autres acteurs ? Continuer d'accroître l'offre produits pour ne pas être déceptive sur la promesse d'un grand choix qu'attendent les clients.

Les promotions devront coûter moins et Des mécaniques complexes, la pression d'internet et des technologies de l'information, des critiques sensées de consommateurs perdus devant tant de complexité, des habitudes difficiles à changer, des attentes nouvelles. C'est peu de dire que l'énorme chantier de la promotion reste à ouvrir pour en connaître vraiment les points forts, mais surtout se débarrasser de quantités de points faibles. Nul ne sait d'ailleurs précisément combien ces promotions coûtent, et pas plus combien elles rapportent. « Nous avons mené cette étude sur les promotions car elle est prioritaire pour nos administrateurs, confie Xavier Hua, délégué général d'ECR France, et elle concerne à la fois les industriels et les distributeurs. Un scepticisme croissant quant à la réalité de leur bénéfice Par ailleurs, les Français notent que ces promotions sont omniprésentes, qu'il n'y a pas « un jour sans », qu'elles sont régulières sur certaines catégories de produits (lessives, gel douche), voire sur certaines références.

Optimiser les ventes avec une mi se en avant... - Aménagement Commercial Un tiers des décisions d'achat sont faites en magasins. Le point de vente reste le lieu de communication privilégié. Il est donc essentiel que les marques soient le plus visibles possible par les consommateurs, une fois que ces derniers font leur entrée dans le point de vente. Il existe plusieurs emplacements de mises en avant (MEA) : la tête de gondole (les produits sont présentés en bout de rayon, à chaque extrémité du linéaire), l'allée pénétrante (zone par laquelle entre le client, qui va jusqu'à l'autre extrémité du magasin) et les zones promotionnelles (tous les espaces et les îlots promotionnels, hors allées pénétrantes et têtes de gondoles). Doubler son chiffre d'affaires Mais, selon une étude Nielsen menée en septembre 2011, le rendement est différent en fonction de l'implantation. Les grands fabricants se livrent une bataille afin d'optimiser leur présence à cet endroit du magasin. Et le succès varie en fonction de la configuration de la MEA. Le monopole du DPH et de l'épicerie

Ménage à trois entre les français, le web Le mois dernier, une étude du cabinet OC&C, réalisée dans huit pays affirmait que les consommateurs préfèraient les magasins physiques d'une enseigne plutôt que son site internet. Aujourd’hui, mercredi 10 octobre, une autre étude menée par l’Ifop et Wincor Nixdorf affirme l’inverse. Selon elle, les français penchent pour le web pour faire leur course. Et alors qu’ils divorcent d’avec la GMS, les français se réfugient aussitôt sur leur souris, pour la faire flâner sur les sites web. Mais ce sont les magasins de loisirs culturels qui préside dans le cœur des français comme lieux d’achats préférés avec 74% d'appréciation. Du contenu et de l’autonomie Si le web s’est imposé comme lieux d’achats, c’est en partie grâce aux informations sur les produits et les prix. Car les grandes surfaces demeurent le lieu d'achat le plus fréquenté. 50% des sondés y passent entre une et trois heures. Neuf sondés sur dix se plaignent du temps d'attente en caisse. De l’humain avant tout

Les Français et les points de vente connectés Dans le cadre d’une rentrée marquée par un contexte de crise économique et de fortes tensions sur le pouvoir d’achat, Wincor Nixdorf, partenaire stratégique des banques et des magasins, et l’Ifop, ont interrogé les Français pour mieux connaître leurs comportements d’achat, leurs perceptions et leurs attentes à l’égard des points de vente. Cette étude permet de mieux comprendre qu’Internet a profondément changé les habitudes de consommation des Français, et pousse les points de vente à s’adapter et à proposer de nouveaux services connectés. Echantillon de 1005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en ligne (CAWI - Computer Assisted Web Interviewing) Du 27 au 29 août 2012.

Un hypermarché E.Leclerc entièrement équipé d'étiquettes électroniques sans contact Tyler Olson /shutterstock.com (Relaxnews) - Avec l'ouverture du nouveau centre commercial So Ouest, à Levallois (Hauts-de-Seine), le centre E.Leclerc donnera accès à son tout premier hypermarché équipé intégralement d'étiquettes électroniques sans contact. La nouvelle génération de courses "sans contact" comptera, à partir du jeudi 18 octobre, sur un nouveau membre de la grande distribution : E.Leclerc. Dans la mouvance des annonces qui se succèdent, le distributeur a installé dans les rayons de son nouvel hypermarché, situé au sein du centre commercial So Ouest, à Levallois, en région parisienne, des étiquettes électroniques qui divulguent toutes sortes d'informations. Il suffit pour les consommateurs d'effleurer celles-ci de leur téléphone portable pour en prendre connaissance. Une application mobile dédiée Plusieurs conditions entrent en jeu pour profiter de cette technologie sans contact. Pas encore de paiement mobile, mais... © 2013 www.relaxnews.com A lire aussi

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