Langue des Oiseaux
PLANCHE D'UNE SOEUR DE LA LOGE LIBRE "IMOTEPH" DE NICE SUR "LE PETIT PRINCE" DE SAINT EXUPERY
Bonjour à tous et toutes.Encore une nouvelle Loge Libre qui se lance dans la "production" de ses planches maçonnique sur le Portail des Loges Libres : IMOTEPH est donc la troisième après PHARAON de Brives, et THOT de Valence.Et c'est encore une très belle Planche, qui reprend cette fois l'étude de l'oeuvre colossale du "Maçon sans tablier" Antoine de Saint-Exupéry : "Le Petit Prince" :***"J’avais lu le PETIT PRINCE vers l’âge de 12-13 ANS à la préadolescence, période de la vie où l’enfance glisse imperceptiblement vers l’âge adulte, l’âge des grandes personnes pour reprendre les mots de l’auteur. Les personnages principaux sont :- Le Pilote tombé du ciel dans le désert. En panne de moteur sa première mission concrète est celle de réparer son avion car pour lui c’est une question de survie. Il représente l’homme, semence céleste (et par extension nous-mêmes) perdu dans le désert de la non connaissance. Mais qui est ce Petit Prince?
Symboles clés: signification des colonnes du temple - LOTUS
Le Temple du Roi Salomon Construit à partir de la géométrie sacrée, le Temple était divisé en trois lieux essentiels en relation aussi bien avec le macrocosme (ou monde cosmique) que le microcosme (ou monde individuel): Le Vestibule (“Oulam”), relié à la Terre dans le macrocosme et au corps dans le microcosme, humain et inondé par la lumière du jour.Le Saint lieu (“Hikal”), associé à l'Atmosphère dans le macrocosme et l'âme humaine dans le microcosme, reçoit la lumière du jour réfléchie.Le Saint des Saints (“Debhir”), représentant le Ciel dans le macrocosme ou l'Esprit dans le microcosme, est plongé dans l'obscurité. Sur les deux côtés du Vestibule, se tenaient deux colonnes appelées Jakin et Boaz, disposées le long d'un axe “vertical” qui a son équivalent tant dans le macrocosme que le microcosme. La vidéo du Temple de Salomon donne une bonne idée de sa splendeur, mises à part quelques étrangetés architecturales. L'axe du microcosme L'axe du macrocosme Les colonnes du Temple du Roi Salomon
Les symboles alchimiques
Symboles alchimiquespartie I - II - revu le 7 novembre 2003 abréviations : sy : symbole - d : droite - g : gauche. Tous les extraits de Pernety sont tirés du Dictionnaire Mytho-hermétique. Liste : Acide - acide muriatique - acide nitrique - acide sulfurique - acier - aimant et feu philosophique - aimant des sages - air - alambic - alun, alun de roche - alun de plume - airain brûlé, cuivre calciné - amalgame - Amalgame philosophique primaire - Amalgame philosophique supérieur - Ana, parties égales - Année - antimoine - Argent, Lune - Argile - Arsenic, Régule - Athanor - Atrament (vitriol blanchi) - Atrament (vitriol rougi) colcothar - Azur - Bain - Bain de fumier - Bain Marie - Bain de sable - Bain de vapeur - Baume - Bismuth - Blanc d'Espagne - Bol d'Arménie - Borax - Brique - Brique pulvérisée - Broyer, Trituration - Calciner, calcination - Acide Au centre, le Bélier qui permet de distinguer le dragon babylonien ou vitriol romain.
GEMINI & DANIEL COLOGNE
Le nombre d'or dans l'architecture grecque : mythe ou réalité ?
Filles des nombres d’or, Fortes des lois du ciel, Sur nous tombe et s’endort, Un Dieu couleur de miel. Paul Valéry, « Cantique des Colonnes ». Le nombre d’or est un nombre égal à (1+√5)/2, soit environ 1,618 et correspond à une proportion considérée comme particulièrement esthétique. Il apparaît dans la pensée grecque avec Pythagore, au tournant du VIème et du Vème siècle avant J.-C. mais Euclide, dans ses Eléments, est le premier à développer une théorie de ce nombre dans le passage où il tente de définir la façon la plus logique de couper harmonieusement un segment en deux parties inégales. Cette proportion, pour de nombreux artistes comme Léonard de Vinci ou encore Le Corbusier -pour ne citer que les plus célèbres-, donnerait la clef de l’harmonie d’une œuvre d’art. Mais dans quelle mesure n’y a-t-il pas là un mythe architectural ? Quelques propriétés mathématiques La section d’or La célèbre suite de Fibonacci, mathématicien du XIIIème siècle, entretient des liens étroits avec φ. P.
Le symbolisme de l'abeille - Dictionnaire des symboles
Etymologie et vocabulaire Le mot abeille vient de l’ancien provençal abelha, du latin apicula, diminutif d’apis. C’est au XVIe siècle qu'il remplace l’expression « mouche à miel »[1]. Les abeilles produisent le miel et la cire. Leur élevage est l’apiculture et les éleveurs sont des apiculteurs. On nomme couvains leurs œufs. Les abeilles dans l’histoire En 1653, on découvrit, à Tournai, dans l’actuelle Belgique, le tombeau de Childéric 1er, roi des Francs saliens et père de Clovis. Héraldique Vulson de la Colombière qui, dans la Science Héroïque (1644) aborde l’héraldique d’un point de vue symbolique, présente l’abeille comme symbole de vertu et voit dans l’essaim et la ruche l’incarnation de l’ « obéissance que les peuples sont obligés de rendre à leurs rois »[5]. Mgr Freppel, évêque d’Angers de 1870 à 1891 porte pour armoiries d’azur à l’abeille d’or. Traditions et croyances antiques On lui porte depuis la nuit des temps un rôle initiatique et liturgique. L’abeille dans le christianisme
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L’Épée Flamboyante et le Sentier du Serpent dans l’Arbre de Vie « Les Sephiroth « Kabbale
Article publié le 18 sept 2008 Par Spartakus FreeMann & Prospéro On décompose ce rituel en deux parties distinctes : la descente de l’Épée Flamboyante (Kether-Malkhuth) et la Remontée (ou Voie) du Serpent (Malkhuth-Kether). KETHER-MALKHUTH (Épée Flamboyante) Ce premier mouvement est considéré dans la tradition kabbalistique comme véhiculant les secrets de la Création. L’Épée Flamboyante a encore une autre signification dans la Kabbale : la Tradition veut que chaque Sephiroth prenne la forme d’un centre d’énergie déséquilibré et sans harmonie. L’Épée et le Psaume 18 La tradition kabbalistique relie la descente de l’Épée dans ses phases successives avec les mots du Psaume 18, versets 8 à 16. « 8 Il s’élevait de la fumée dans ses narines, Et un feu dévorant sortait de sa bouche : Il en jaillissait des charbons embrasés. 9 Il abaissa les cieux, et il descendit : Il y avait une épaisse nuée sous ses pieds. 10 Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du vent. Appendices