Scientists study serial killers to understand what lies behind their crimes They are fascinating and terrifying in equal measure, but for many people understanding what motivates serial killers to murder many times over can be difficult to grasp. Psychologists and neuroscientists are starting to build up a picture of the disturbing minds behind some of the most shocking crimes to have come to light in recent decades. They have discovered surprising similarities between these mass murderers and have even found evidence that suggests a genetic abnormality that may act as a trigger. While most people may be quick to dismiss serial killers as simply monsters, scientists are now attempting to understand what causes them to commit mass murder by studying their brains and their DNA. Dr Helen Morrison, a forensic psychiatrist based in Chicago, has studied and interviewed 135 serial killers, according to an infographic compiled by the website Best Counseling Degrees. Serial killer 'Son of Sam' arrested after NYC murder spree Loaded: 0% Progress: 0% MinimizeExpandClose
Le retour du criminel né ? Après de brillantes études de psychologie à Oxford et à York, Adrian Raine émigre en Californie en 1987. Deux raisons motivent ce choix, explique-t-il avec la spontanéité qui le caractérise : le climat… et la plus grande accessibilité des criminels à des fins de recherche que dans son Angleterre natale. « Neuro-criminologue » autoproclamé, l’universitaire britannique séduit par le soleil californien est surtout le premier chercheur à avoir eu l’idée de « scanner » le cerveau de criminels. En 1994, il utilise le PET scan* pour enregistrer l’activité cérébrale de 41 prisonniers américains. Aujourd’hui professeur de criminologie à l’université de Pennsylvanie, Adrian Raine clame invariablement sa théorie d’un fondement biologique du crime. Génétique de la violence La marque de Caïn ? Mais Raine ne s’en tient pas à la génétique. Il faut concéder une chose à Adrian Raine : sa thèse n’est pas manichéenne au point de rejeter l’influence de l’environnement social sur la criminalité.
Do serial killers have an extra chromosome? – Scientific Scribbles There is no such thing as a “killer gene”, but research is revealing genetic tendencies towards violent behaviour. Face of a serial killer. Photo Credit: Curtis John via Flickr [BY-ND-2.0], 2009. It’s a slippery, discreet mutation, after all we don’t see entire families of serial killers Parents of children, who have grown up to be serial killers, have reported that their child was markedly different from their other non-violent siblings. Cropped image of blood in water. Nature vs. Environment alone cannot explain deranged behaviour as too many abused and neglected children grow up to be law-abiding citizens. Nature vs. Chromosomal abnormalities in serial killers According to Dr Helen Morrison, an American forensic psychologist and writer, chromosome abnormality in serial killers begins to express itself during puberty. Conversely, serial killer Richard Speck’s had an extra Y chromosome, which his lawyers argued was the cause of his violent crimes. Nervous System. Causes for killing
X Y Y Syndrome Inheritance of an extra Y chromosome, known as XYY syndrome, can lead to higher levels of testosterone. This results, in sometimes severe, facial acne during adolescence and increased height. Though generally such people appear entirely normal and often completely unaware of their condition. Stefan Kiszko, who was jailed for the murder of 11-year-old Lesley Molseed in Manchester in 1975, had XYY syndrome. However, it is still often suggested that the high testosterone levels of XYY men can make them more prone to violence and criminal activity. The idea of a link between XYY and criminality was used as the basis of the television fiction series “The XYY man” about an individual with XYY, and thereby a natural criminal. The “Alien 3” movie also used this theme, being set in an off world penal colony for XYYs.
Psychopathes d'entreprise : ils sont parmi nous Vous trouvez que votre boss est charmant superficiellement mais que derrière cette façade se cache une personnalité manipulatrice, impulsive et qui fait preuve d'un manque total d'empathie ? Prenez garde, vous avez peut être affaire à un psychopathe. Même si les chances de se trouver face un psychopathe sont plus grandes en prison (7 à 25% de la population carcérale), le taux de psychopathes dans la population générale est estimé à 6 pour 1000. Tous ne sont pas violents. Il est donc possible que vous en croisiez au cours de votre vie. À quoi reconnaît-on un psychopathe Selon le psychologue Robert Hare et sa checklist de psychopathie, trois faisceaux de traits de personnalité doivent être réunis pour diagnostiquer un psychopathe : déficits interpersonnels : à première vue, un psychopathe est tout à fait normal, même charmant. Qu'est ce qui fait un psychopathe La psychopathie présente une composante génétique importante. Peut-on soigner la psychopathie ? Conclusion
Le goût du risque: Avez-vous le gène guerrier? Le goût du risque et le succès peuvent avoir une origine génétique. La variante de gène MAOA-L, le "Gène Guerrier", provoque chez les porteurs une plus haute disposition à prendre des risques et les aide à estimer mieux leurs chances de succès dans des situations critiques. Pour une étude publiée récemment des scientifiques du California Institute of Technology ont laissé joué 83 jeunes hommes une simulation financière. Ils devraient investir leur capital initial de 25$ dans des divers jeux et le faire augmenter. Les hommes devraient choisir 140 fois entre une option sure (100% pas de profit, pas de perte) et une option risquée (diverses risques de perte et chances de profit). Le résultat de l’étude a montré que les porteurs "Gène Guerrier" ont pris plus de risque financier, mais seulment si c'était favorable. Le comportement humain est complexe et est influencé par les gènes ainsi comme l'environnement d'une personne.
Le neurobiologiste qui a découvert qu'il était psychopathe Je vous avais déjà résumé les grandes lignes du dernier cours de Parlons cerveau IV intitulé « Neuroscience et libre arbitre » qui aura lieu ce mercredi 27 novembre (voir le premier lien ci-bas). En cherchant un article récent pour illustrer ce propos, je tombe sur cette histoire digne d’un titre de livre d’Oliver Sacks. Celle d’un chercheur en neuroscience qui découvre, en analysant les résultats d’une de ses expériences en imagerie cérébrale, que son cerveau a toutes les caractéristiques classiques de celui d’un… psychopathe ! L’histoire remonte à 2005 alors que James Fallon analysait les PET scans de milliers de sujets pour en distinguer des patterns d’activité typique de schizophrènes, dépressifs , psychopathes et personnes souffrant d’Alzheimer . Plusieurs personnes de sa famille, y compris lui-même, avaient participé à cette dernière étude. C’est sur l’une de ces images de cerveau d’un membre de sa famille que Fallon s’arrête, pétrifié. Parlons cerveau IV
La chimie du cerveau | Les bases en neuropédagogie et neuroéducation | Neuropédagogie et neuroéducation Le cerveau est un lieu où se produisent de nombreuses réactions chimiques. Celles-ci sont influencées par nos actes comme notre environnement (nourriture, activités physiques, etc.), qui modifient à leur tour nos émotions, comportements, capacités cognitives et même ce que nous pensons ! Neurotransmetteurs, neuromodulateurs et hormones influencent donc considérablement notre vie. Les neurotransmetteurs, appelés également neuromédiateurs, sont des produits chimiques synthétisés (créés) par le cerveau. Ils sont généralement libérés par les neurones présynaptiques pour agir sur les neurones postsynaptiques. Les neuromodulateurs sont aussi des substances chimiques synthétisées par le cerveau, mais leur rôle se limite à moduler (modifier) la libération des neurotransmetteurs ou la sensibilité des récepteurs. Les hormones sont des molécules sécrétées par une glande. 1. 2. Le mot « adrénaline » est une marque déposée, aussi emploierons-nous le mot scientifique, épinéphrine. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
PHYSIOLOGIE DU NEURONE - Excitabilité et conductibilité Excitabilité et conductibilité sont deux propriétés inséparables du neurone. La première lui permet d'émettre un potentiel d'action à la suite d'une excitation supraliminaire, la seconde de propager ce même potentiel d'action jusqu'à l'arborisation terminale de l'axone sans atténuation. Dans l'organisme, le potentiel d'action peut apparaître de deux façons selon que l'on se trouve en périphérie ou dans le névraxe. Dans le premier cas, c'est un stimulus de nature physique (pression, lumière, température, etc.) ou chimique (taux de glucose sanguin, pH, molécule aromatique, etc.) détecté par un récepteur sensoriel qui est à l'origine du potentiel d'action. Comme on le voit, la dépolarisation doit donc toujours atteindre un seuil critique (on parle de potentiel seuil ou de potentiel critique) pour que le potentiel d'action apparaisse. Toutefois, au moment où le potentiel d'action est émis, la fibre étant dépolarisée, il est impossible de la dépolariser à nouveau.