Inist-Refdoc : rejoignez le collectif des auteurs en colère Le collectif SavoirsCom1 s’associe au mouvement de contestation des pratiques du service Refdoc de l’INIST récemment remis en avant par Olivier Ertzscheid. Refdoc ne respecte pas la volonté de la communauté créative (en l’occurrence les auteurs universitaires) en diffusant leurs écrits de manière commerciale, sans leur autorisation et sans lien vers les versions en accès libre. La politique de Refdoc, service de l’INIST qui est une composante du CNRS est d’autant plus incompréhensible qu’un grand nombre des documents référencés sont librement et gratuitement disponibles sur Internet dans des archives ouvertes, telles que HAL, plate-forme pourtant gérée, via le CCSD, par le CNRS, lequel est également une des tutelles du Centre pour l’Édition Électronique Ouverte (CLEO) qui propose 300 revues et 250 carnets de recherche en libre accès. Auteurs référencés dans Refdcoc, SavoirsCom1 vous propose [contact-form-7 id= »434″ title= »Demande de retrait »] En outre, SavoirsCom1 demande :
Lettre à l'Inist Cher(e) responsable du service Refdoc à l'Inist, Cher directeur de l'Inist, Je suis enseignant-chercheur et je publie donc un certain nombre d'articles dans différentes revues professionnelles et scientifiques. Avec d'autres, je milite pour que les résultats de la recherche publique (c'est à dire mes articles) soient immédiatement disponibles pour tout le monde. Donc, cher responsable de service Refdoc de l'Inist, et toi aussi, cher grand chef de l'Inist, je te signale que TOUS mes articles sont TOUS disponibles gratuitement et en texte intégral à divers endroits du web (sur des sites d'archives ouvertes mais aussi sur mon blog, dans des revues scientifiques ou professionnelles qui ont de leur côté fait le choix de l'open access, etc.) Si je te raconte tout ça ... C'est pourtant ce que fait depuis déjà très très très très longtemps (2009) le service Refdoc de l'Inist. 62 47 euros les photocopies de 3 articles gratuits et disponibles en ligne. On s'est pas d'jà vu quelque part ? Si.
Constitution Picture: National Archives and Records Administration (PD) It’s now painfully clear that the president has put out a contract on the Fourth Amendment. And at the Capitol, the hierarchies of both parties are stuffing it into the trunks of their limousines, so each provision can be neatly fitted with cement shoes and delivered to the bottom of the Potomac. Some other Americans are on a rescue mission. No argument for the Amash amendment was more trenchant than the one offered by South Carolina Republican Jeff Duncan, who simply read the Fourth Amendment aloud. To quote those words was to take a clear side: “The right of the people to be secure in their persons, houses, papers, and effects, against unreasonable searches and seizures, shall not be violated, and no Warrants shall issue, but upon probable cause, supported by Oath or affirmation, and particularly describing the place to be searched, and the persons or things to be seized.… Read the rest Share
Sometimes we should be spoil sports: The need for public protest. | shadowofthenoose Earlier this week, Trenton Oldfield was convicted of ‘Causing a Public Nuisance’ by a jury at the Isleworth Crown Court. Previous instances of this rarely prosecuted offence include impregnating the air with “noisome and offensive stinks and smells” causing “a nuisance to all the King’s liege subjects living in Twickenham” But Oldfield was the man who had the temerity to disrupt the Oxford and Cambridge Boat Race last April, by choosing to take a swim, just as both boats were getting into their stride. The prosecutor explained to the court that his actions had “spoiled the race for hundreds of thousands of spectators” and for this, the judge has adjourned sentence,commenting that she is not ruling out a prison sentence. We live in a Society which only tolerates public protest so long as it is clean, relatively quiet and does not inconvenience anyone. Ultimately, history treats the protestor far more equitably than the present. Like this:
« La mondialisation de l’inégalité » de François BOURGUIGNON Vendredi 14 septembre 2012 5 14 /09 /Sep /2012 14:03 - Par David Mourey - Publié dans : Livre d'économie Les Editions Le SEUIL, dans la Collection La République des Idées, viennent de publier le dernier ouvrage de François BOURGUIGNON « La mondialisation de l’inégalité « L’inégalité mondiale des niveaux de vie relève d’une évolution paradoxale. Ancien économiste en chef de la Banque mondiale, François BOURGUIGNON est directeur de l’École d’économie de Paris. Comme chaque titre de cette collection, dont vous trouverez un post sur ce blog, ce livre se lit très bien. On lit par exemple, dés l’introduction : « La mondialisation en cours est-elle le fossoyeur de l’égalité, le poison qui condamne tout espoir de justice sociale ? Voilà pour vous mettre en appétit. La République des idées
Jamel Debbouze sociologue ? C’est en tout cas ce que nous apprend un hebdomadaire de programmes TV que vous êtes probablement nombreux-ses à lire… Quoi, lui aussi aurait donc soutenu en cachette une thèse sous la direction de Michel Maffesoli ? Il est en effet de notoriété publique que la barrière à l’entrée de la profession de sociologue n’est pas très élevée : on se rappelle tous de l’octroi, il y a quelques années, du titre de docteur en sociologie à l’astrologue Elisabeth Teissier par un jury de complaisance dirigé par cet éminent collègue. Mais non, ce n’est pas ça : à en juger donc par la couverture du dernier numéro de Télérama[1], Michel Maffesoli, qui était le directeur de thèse de Teissier, s’était donné un peu trop de mal : il suffirait désormais d’une couverture de programme télé pour obtenir le titre tant convoité. Mais en quoi Jamel Debbouze est-il « sociologue », vous demandez-vous (enfin, les deux ou trois d’entre vous qui ne sont pas abonnés à Télérama) ? Ca c’est déjà du passé… Ca aussi…
LE BLOG DE YVES PATTE » Pourquoi je cite Jamel Debbouze dans mes cours de sciences sociales Il y a maintenant dix ans (j’étais encore étudiant en sociologie à l’époque), j’ai écrit un texte dénonçant le titre de « docteur en sociologie » octroyé à Elisabeth Teissier, à la suite de sa thèse sous la direction de Michel Maffesoli. Ce texte m’a valu quelques critiques : « de quel droit peut-on dire qui est sociologue et qui ne l’est pas ? », « comment peut-on invoquer la scientificité en sociologie ? », etc. Même si j’étais relativement jeune, j’assume pleinement mes propos de l’époque… Je crois donc ne pas être suspect de défendre une vision « molle » de la sociologie, où n’importe qui, pour peu qu’il ait une vague sensibilité sociale, pourrait se dire « sociologue ». Et pourtant, en tant que professeur de sciences sociales, dans l’enseignement secondaire, je fais référence à Jamel Debbouze. J’ai en particulier lu les articles de Denis Colombi (@Uneheuredepeine), « Sociologue, un métier, pas une vague sensibilité », et de Pierre Mercklé, « Jamel Debbouze sociologue ?
bulletin de liaison des études sur les mouvements révolutionnaires - Gérard BORVON, Plogoff. Un combat pour demain, Saint Thonan, éditions Cloitre, 2004. - Jean-Marie BROHM, Pierre de Coubertin, le seigneur des anneaux. Aux fondements de l'olympisme , Paris, éditions Homnisphères, collection Horizon critique, 2008, 144 p., 12 € - Gilles CANDAR, Guy DREUX, Une loi pour les retraites. Débats socialistes et syndicalistes autour de la loi de 1910 , Latresne, Le bord de l'eau, 2010, 325 p., 20 € - Robert CASTEL, La discrimination négative. - Frédéric CEPEDE, Eric LAFON, dir, Le monde ouvrier s'affiche. - Collectif de soutien aux Sans-papiers, Feu au centre de rétention. - Xavier DAUMALIN, Sylvie DAVIET, Philippe MIOCHE (dir.), Territoires européens du charbon. - Dominique DECEZE, Services publics. - Dominique DECEZE, Gare au travail. - Alèssi DELL'UMBRIA, C'est de la racaille ? - Bernard DESMARS, Militants de l'utopie ? - Nicolas DUBOST, Comités d'entreprise, syndicats, patrons. - Rodolphe DURAND, Jean-Philippe VERGNE, L'organisation pirate. - E.
Arnaud Parienty » Blog Archive » 35 heures et compétitivité Zappant sur la 5 pendant un arrêt de jeu d’un match de tennis, je tombe sur une journaliste politique, Catherine Nay, expliquant que les 35 heures étaient à l’origine des délocalisations, qu’elles coûtaient 15 milliards d’euros à l’Etat chaque année et qu’une telle usine à gaz ne pouvait exister qu’en France. Plusieurs autres « experts » l’écoutaient pérorer, qui n’ont pas jugé utile de réagir. Au moins, les choses sont claires : on peut dire n’importe quoi à la télévision du moment qu’on a l’air suffisamment sûr de soi. Pourtant, les articles du Figaro sur lesquels s’appuie madame Nay, qui n’a pas de lumières particulières en économie, sont plutôt nuancés. De fait, obliger toutes les entreprises, grandes ou petites, industrielles ou de services, employant du personnel qualifié ou non, utilisant le travail posté ou non, à passer à 35 heures était certainement une mauvaise idée. Cette mise en place à marche forcée a eu certains effets négatifs. Exit le fantôme
How I chose your mother How I chose your mother En regardant Titanic, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi Rose tombe amoureuse de Jack et non de son fiancé ? Et pourquoi Jack a le coup de foudre pour cette inconnue apparemment inaccessible ? Pourquoi CETTE personne, alors qu’il y en a des centaines d’autres sur le bateau ? Certains critères de choix du partenaire sont connus depuis bien longtemps : en dehors de la forme intellectuelle, un homme voudra une femme jolie et sensuelle, et une femme cherchera l’homme riche et fort. Ces critères peuvent sembler extrêmement caricaturaux, certes, mais ils s’expliquent par la théorie de l’évolution darwinienne, selon laquelle toute espèce est sujette à la sélection naturelle et doit s’adapter pour survivre. Mais à ces critères connus s’ajoutent des conditions découvertes il y a bien moins longtemps : les deux individus doivent être compatibles génétiquement. Pour résumer, le choix du partenaire se fait aussi en fonction de ses allèles de gènes immunitaires. Maria Pothier
Article11 Interview dans Books de Colin Crouch : « La démocratie est de plus en plus une coquille vide « «DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE 24 mars 2009 par gillesbehnam L’hebdomadaire allemand Der Spiegel avait récemment publié un entretien avec Colin Crouch sur l’actualité et le devenir de la démocratie. Ce texte vient d’être traduit par Catherine Delcour et publié dans Books, ce magazine grand format récemment lancé qui veut rendre compte de l’actualité par les livres => www.booksmag.fr Colin Crouch est sociologue et enseigne à la Warwick Business School en Grande-Bretagne. Peu de ses ouvrages sont disponibles en français (signalons Les Capitalismes en Europe, La Découverte, 1996) mais gageons que son dernier livre paru sera rapidement traduit. Selon Colin Crouch, rien de très réjouissant lorsqu’on observe et analyse le devenir des démocraties dans le monde. Sous les démocratie d’apparence et d’apparat se glissent des oligarchies notamment financières et médiatiques et Crouch donne l’exemple de Silvio Berlusconi qui "a bien été élu démocratiquement tandis que c’est une minorité qui dirige". Like this: J'aime chargement…