Le bureau des gouverneurs de la Réserve fédérale des États-Unis
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Réserve fédérale (officiellement Federal Reserve System, souvent raccourci en Federal Reserve ou Fed) est la banque centrale des États-Unis. Elle a été créée le 23 décembre 1913 par le Federal Reserve Act dit aussi Owen-Glass Act, à la suite de plusieurs crises bancaires, dont la panique bancaire américaine de 1907. Son rôle a évolué depuis et elle a renforcé son indépendance lors de l'instabilité monétaire des années 1975-1985. Le Congrès des États-Unis a défini trois objectifs de politique monétaire dans le Federal Reserve Act : plein emploi, stabilité des prix, et taux d'intérêt à long terme modérés[1]. La Réserve fédérale se compose d'un conseil des gouverneurs (dont Janet Yellen est la présidente depuis 2013), du Federal Open Market Committee (FOMC), de douze banques régionales (Federal Reserve Banks), des banques membres, et de plusieurs conseils consultatifs[4],[5]. Histoire[modifier | modifier le code]
Audit de la Fed : braquage à l'américaine
Le premier audit de la Fed avait rendu de décoiffantes conclusions en juillet 2011 : un hold-up de 16 000 milliards ! Un document connu des experts mais passé inaperçu auprès du grand public jusqu’à ce que le sénateur Bernie Sanders, qui avait dirigé la mission d’étude, décide de le poster sur son site le 1er septembre à disposition de ses concitoyens. Ce qui a ranimé le débat aux États-Unis en cette fin de campagne présidentielle avec des attaques du parti républicain contre la Fed et la proposition d’un audit annuel.Par Charles Sannat. Alors que Ron Paul mène une bataille épique contre la Fed, la Banque Centrale Américaine, une première victoire a été obtenu par cet homme politique avec la divulgation d’un rapport du GAO (Government Accountability Office) qui est l’organe d’État de vérification des comptes du Sénat. Des montants phénoménaux Phénoménal ! Bernie Sanders US Senator For Vermont Des conflits d’intérêt évident Des banques françaises qui vont si bien Une double conclusion s’impose
L'audit de la Federal Reserve indique $16 trillions dans des renflouements secrets
Traduction CrashdebugLe tout premier GAO (bureau de responsabilité de gouvernement) Audit de la Federal Reserve a été effectué pendant les derniers mois, à cause de l'amendement de Ron Paul et d'Alan Grayson au projet de loi Dodd-Frank, qui est passé l'année dernière. JIM DeMint, un sénateur républicain, et Bernie Sanders, un sénateur indépendant, ont mené la charge au sénat pour un audit de la Federal Reserve, mais la langue originelle du projet de loi a été édulcorée par la Maison Blanche (HR1207), de sorte qu'un audit complet ne soit pas effectué. Ben Bernanke Alan Greenspan, et les divers autres banquiers se sont énergiquement opposés à l'audit et ils ont menti au congrès au sujet des effets qu'un audit aurait sur les marchés. Néanmoins, les résultats de ce premier audit, dans l'histoire de presque 100 ans de la Federal Reserve, ont été signalés sur la page Web du sénateur Sander's plus tôt ce matin. Ce qui a été indiqué dans l'audit était effrayant
Les véritables raisons pour lesquelles l’Allemagne demande aux Etats-Unis la restitution de son or
Traduit par JFG-QuestionsCritiquesLes Allemands demandent aux Etats-Unis qu’ils lui rendent la totalité des 374 tonnes d’or détenues par la Banque de France et 300 tonnes sur les 1500 tonnes de lingots détenues par la Banque de Réserve Fédérale de New York. Certains disent que l’Allemagne demande le rapatriement de son or uniquement à cause de pressions politiques intérieures, et qu’aucun autre pays ne fera de même. Mais le co-directeur général de Pimco, [Mohammed] El Erian, déclare : En premier lieu, cela pourrait traduire des pressions sur d’autres pays pour qu’ils rapatrient également une partie de leurs avoirs en or. Après tout, s’il peut stocker en toute sécurité son or chez lui – un grand si pour certains pays – aucun gouvernement ne souhaiterait être vu comme l’un des derniers à externaliser l’ensemble de cette activité auprès de banques centrales étrangères. Voici ce que nous observions en novembre dernier : Combien d’or y a-t-il ? Source: Sott.net
Conflits militaires, or et crise monétaire...
Voici ce que nous observions en novembre dernier : La Roumanie a demandé pendant de nombreuses années à la Russie qu’elle lui restitue son or. L’année dernière, le Venezuela a demandé à la Banque d’Angleterre la restitution de 90 tonnes d’or. *** Voici ce que Zero Hedge observe (citant Bloomberg) : Le gouvernement de l’Equateur veut que les banques du pays rapatrient environ un tiers de leurs avoirs à l’étranger pour soutenir la croissance nationale, a dit le chef de l’agence fiscale de ce pays. Carlos Carrasco, le directeur de l’agence fiscale connue sous l’acronyme SRI, a déclaré aujourd’hui que les sociétés de prêt équatoriennes pourraient rapatrier environ 1,7 milliard de dollars et quand même remplir leurs obligations vis-à-vis des clients internationaux. Quatre membres du parlement suisse veulent que la Suisse réclame la restitution de son or. Certaines personnes aux Pays-Bas veulent aussi qu’ont leur rende leur or. Ma supposition est que tout nouvel étalon or sera sui generis [c.
De l’obsolescence du systeme politique
[Note perso : article très fouillé, complet et faisant une excellente synthèse ... à lire ! ] Au cours du 20ème siècle, l’humanité est passée de 1.7 milliards d’êtres humains à plus de 6 milliards. L’explosion sans précédent de notre courbe démographique est la conséquence directe de l’avènement de la société industrielle, entièrement perfusée à la consommation du pétrole, à ses nombreux dérivés, et à tout ce qui conditionne leur fabrication. La mortalité, notamment infantile, a fortement reculé. Si les pays occidentaux furent les premiers à bénéficier de ce que d’aucun considèrent comme les bienfaits de l’industrialisation des sociétés humaines, les pays du tiers-monde, hier appelés pays en voie de développement, aujourd’hui les émergents, en ont bénéficié également, bien que dans une moindre mesure au regard des richesses notamment minières et pétrolifères sur lesquels ils sont assis. Comme l’a écrit Alexandre Soljenitsyne : Mais revenons quelque peu en arrière, du coté des vainqueurs…
FED ET SECTE DU DOLLAR
La petite île Jekyll est située à quelques encablures de la côte de Georgie. Ce petit bout de terre devrait être marqué d'une croix noire sur toutes les mappemondes et être considéré par le monde entier comme un des lieux les plus néfastes pour l'humanité qui n’ait jamais existé. En effet, les résultats des décisions qui y furent prises furent si calamiteux pour tout le XXème siècle que ses conséquences n'en sont pas épuisées ; et le pire est à venir. C'est dans ce petit îlot bucolique que se tint, en novembre 1910, une réunion secrète qui donna naissance, trois ans plus tard, la veille de Noël 1913, à la création du monstre de l'île Jekyll : la Federal Reserve Bank, connue sous le sigle de FED, et à son bras armé, le dollar. Incontestablement, nous avons déjà un pied dans la réalité et l'autre dans le roman c'est-à-dire dans les souterrains de l'action. Or, quand une fortune fabuleuse est édifiée en quelques lustres, dans une époque troublée, Mister Hyde n'est jamais loin.
Novus Ordo Seclorum
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origines[modifier | modifier le code] Cette phrase inspirée par la 4e églogue des Bucoliques de l'auteur latin Virgile est devenue une des devises des États-Unis en 1782. Elle est imprimée sur les billets de banque de la monnaie de ce pays depuis 1935. Passage qui inspira l'expression (elle n'existe pas en toute lettre dans le texte de Virgile) : Ultima Cumaei venit iam carminis aetas; magnus ab integro saeclorum nascitur ordo. iam redit et Virgo, redeunt Saturnia regna, iam nova progenies caelo demittitur alto. Elle a été proposée en 1782 par Charles Thomson, père fondateur choisi par le Congrès continental pour présenter la conception finale du grand sceau des États-Unis. « Sur la base de la pyramide est inscrit MDCCLXXVI en chiffres romains ». « Et, au-dessous, la devise suivante : "Novus Ordo Seclorum" ». « Un nouvel ordre laïc ». C'est aussi la devise de la faculté de management de l'université Yale aux États-Unis.