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"Theory" in sociology What is a sociological theory? And how does it relate to the challenge of providing explanations of social facts? In the natural sciences the answer to this question is fairly clear. A theory is a hypothesis about one or more entities or processes and a specification of their operations and interactions. A theory is articulated in terms that permit rigorous and unambiguous derivation of implications for the behavior of a body of phenomena -- perhaps through specification of a set of equations or through a set of statements with deductive consequences. A theory may specify deterministic properties of a set of entities -- thus permitting point predictions about future states of the relevant system; or it may specify probabilistic relations among entities, giving rise to statements about the distribution of possible future states of the system. Is there anything like this construct in the social sciences? Consider this taxonomy of the field of social knowledge-creation: ; link, link, link).

Audios de conférences données sur le thème de l'Internet et du n Audios de conférences données sur le thème de l'Internet en SHS La modélisation informatique, Giuseppe Longo. logicien et épistémologue, professeur à l’ENS et Franck Varenne., MCF .France-Culture 13 septembre 2007 duree : 1h05 Communautés d’apprenants, Julien Bénard-Capelle (univ. Paris V), et autres. ENS « diffusion des savoirs », 4 juillet 2007 Classer et décrire, Mickaël Cozic (ENS) . Les sciences cognitives et les TICE. Place de l’image comme substitut de l’observation, Bruce Velde (ENS)ENS « diffusion des savoirs », 24 octobre 2003 De nouveaux processus éditoriaux, Jean-Claude Guédon et Paul MathiasSéminaire « Economie politique de l’Edition numérique », ENS, janv 2007 Instruments et recherche en Education ; quelques remarques, Gérard Sensevy. La conscience à l’heure des objets temporels, Bernard Stiegler.Décembre 2002 sur France Culture Le cinéma, ou la synchronisation des consciences, Bernard Stiegler Décembre 2002 sur France Culture

BBC Radio 4 Programmes - Frontiers, Acts of Creation Pourquoi je n'achèterai pas un iPad Hier, vendredi 28 mai, soit deux mois après les États-Unis, Apple a lancé officiellement la commercialisation en France de l’iPad. L’occasion pour nous de traduire cet article de Cory Doctorow dont le titre ne souffre d’aucune ambiguïté. L’ami Cory est l’un de nos plus brillants défenseurs des libertés numériques, et il n’est guère étonnant de le voir ici monter au créneau pour y manifester sa grande perplexité, arguments percutants et convaincants à l’appui. Avec notre billet iPad’libertés pour les utilisateurs de la Free Software Foundation, cela nous fait deux bonnes raisons d’expliquer aux adorateurs du Veau d’or[1] que sous le vernis clinquant d’une fausse modernité se cache une réalité bien moins reluisante qu’il n’y paraît. Remarque : Cette traduction a été entièrement réalisée le samedi 29 mai de 11h à 14h dans le cadre du premier « Traducthon », atelier original organisé par l’équipe Framalang et inséré dans l’Ubuntu Party de Paris. Et mes parts ne vaudraient pas grand-chose.

Le désordre domestique Entretien avec Jean Paul Filiod PDF Imprimer Envoyer Jean Paul Filiod est anthropologue…en France. Pour télécharger la version complète et mise en page du document. « Esthétiquement on accepte de plus en plus que les choses soient mélangées. Leroy Merlin Source (LMS) : Quelle est exactement votre spécialité ? LMS : Pourquoi vous définissez-vous alors comme socio-anthropologue du quotidien ? LMS : Vous distinguez habitat et habiter. LMS : Votre compréhension de cet espace à la fois public et privé ne cesse d’évoluer. LMS : Le chez-soi est présenté depuis de nombreuses années comme un refuge contre le monde extérieur. LMS : Le désordre est au cœur de vos recherches. LMS : Au terme de votre travail, quelles sont les manières de comprendre le désordre ? Bibliographie :Jean Paul Filiod, Le désordre domestique, essai d’anthropologie, collection Logiques sociales, L’Harmattan, 2003. Pour télécharger la version complète et mise en page du document.

La boutique contre le bazar Imaginons le web comme une ville. Avec son centre : urbain, social ; avec ses activités : trouver un job, faire ses courses ; avec ses services ; Et puis avec sa banlieue mal famée, ses quartiers "chauds" (spywares, spams et malwares). L'article du NYTimes "The Death of The Open Web" (intégralement traduit sur Framablog) file cette métaphore jusqu'à nous amener dans l'une de ces si typiques entrées de mégalopoles modernes : les zones de chalandise que constituent les "magasins" ou autres boutiques, plus précisément celles d'Apple (avec l'IPhone et l'Ipad notamment, puisque ce sont là les deux éléments centraux dudit article). "People who find the Web distasteful — ugly, uncivilized — have nonetheless been forced to live there: it’s the place to go for jobs, resources, services, social life, the future. Toujours selon les termes de l'article, nous serions ainsi les témoins d'une "urban decentralization, suburbanization and the online equivalent of white flight." White flights.

• Fétiches et molécules « Le blog de Tobie Nathan Tobie Nathan * Texte paru dans le Dossier Hors-série Sciences et Avenir n°169 intitulé Qu’est-ce que l’Homme ? — 100 scientifiques répondent À la question « qu’est-ce que l’homme ? », je donnerais une réponse immédiate, abrupte : « l’homme n’est rien ! Évidemment, lorsque je parle des « objets », je n’ai pas seulement en tête les objets manufacturés — qui ne sont pas « rien », mais qui ne sont évidemment pas tout. Plus qu’aux objets, je pense à ces « choses » inouïes que l’homme a fabriquées depuis des centaines de milliers d’années, peut-être même des millions : les langues, par exemple. Dans mon travail clinique avec les populations immigrées en France et dans les recherches que j’ai menées sur les dispositifs thérapeutiques traditionnels, essentiellement en Afrique francophone, mais aussi à la Réunion et au Brésil, j’ai constaté que les peuples avaient fabriqué d’autres « choses ». Chapelet du Fa Fétiche Congo Tobie Nathan chez un vendeur de fétiches au Burundi Like this:

Tracés. Revue de Sciences humaines Le plus souvent connoté péjorativement, le terme irrécupérables ne désigne pas une catégorie instituée des sciences humaines et sociales. Dans le langage courant, on qualifie d’irrécupérables des personnes ou des choses qui ne peuvent pas être récupérées, et dont on cherche le plus souvent à se débarrasser parce qu’elles résistent à toute entreprise de réinsertion ou de recyclage. À l’heure de l’injonction à tout récupérer, réinsérer et recycler, ce dossier fait l’hypothèse que cette injonction exprime aussi un déni de la production massive et constante d’êtres et de choses irrécupérables par les sociétés capitalistes industrielles. Il ne s’agit pas nécessairement de placer sur un même plan la mise au rebut des choses et l’exclusion irréversible des individus, mais plutôt d’aborder conjointement les enjeux sociaux et environnementaux qui découlent de cette hypothèse.

Levi-Strauss Humanisme ? Donneur de voix : Augustin Brunault | Durée : 2min | Genre : Histoire Pour Lévi-Strauss, un humanisme véritable implique le respect de la vie sous toutes ses formes. « J’ai le sentiment que toutes les tragédies que nous avons vécues, d’abord avec le colonialisme, puis avec le fascisme, enfin les camps d’extermination, cela s’inscrit non en opposition ou en contradiction avec le prétendu humanisme sous la forme où nous le pratiquons depuis plusieurs siècles, mais, dirai-je, presque dans son prolongement naturel. [...] » > Consulter la version texte de ce livre audio. NB.

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