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Pearltree tiers 2 : Plus de 4% des utilisateurs sont «addicts» à Facebook

Pearltree tiers 2 : Plus de 4% des utilisateurs sont «addicts» à Facebook
Facebook, Twitter, Lin­kedIn… Certains utilisateurs des réseaux sociaux sur Internet sont indéniablement accros à leurs connexions. À tel point que ces outils censés faciliter les relations sociales aboutissent parfois à un effet diamétralement opposé en isolant ceux qui ne peuvent s'en passer au cours d'un repas de famille ou d'un dîner entre amis! La maladie est si nouvelle que les psychiatres discutent encore de son existence réelle. Facebook, créé en 2004, a pourtant dépassé le milliard d'utilisateurs le 4 octobre dernier. C'est donc muni d'une batterie de tests, que le Dr Étienne Couderc, psychiatre à l'hôpital Esquirol de Limoges (Haute-Vienne) a coordonné au début de cette année une enquête, auprès de 517 utilisateurs du réseau social Facebook, âgés essentiellement de 18 à 36 ans et étudiants, pour la moitié d'entre eux. Des amis virtuels Évidemment lorsque l'addict est privé d'accès à son réseau social, l'envie de se connecter devient impérieuse.

Contenu de référence 3 : Addiction aux jeux vidéo : des enfants à risque ou un risque pour tous les enfants ? Bull. Acad. Natle Méd., 2012, 196, no 1, 15-26, séance du 10 janvier 2012 Communications Addiction aux jeux vidéo : des enfants à risque ou un risque pour tous les enfants ? Mots-clés : adolescent. comportement de dépendance. deficit de l’attention avec hyperactivite. enfant. jeux vidéo Videogame addiction : a danger for only at-risk children or for all children Keywords (Index medicus) : adolescent. attention deficit hyperactivity disorder. behavior, addictive. child. video games Marie-France Le Heuzey *, Marie-Christine Mouren ** Résumé L’intérêt croissant des jeunes pour les jeux vidéo, en ligne ou hors ligne, inquiète les adultes qui craignent que leurs enfants deviennent dépendants de ces jeux et développent une addiction. Summary With the rapid growth in the number of children and adolescents having access to videogames, there is a risk of addictive behavior, especially among those with underlying mental illnesses. Place des jeux chez les enfants et adolescents Les troubles de l’humeur Br.

Contenu de référence 1: 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M. Notons en passant que les psychologues évoquent aussi des cas de dépendance au téléphone portable (Wilska, 2003). * 52 « There is three kinds of death in this world. * 56 Littéralement « sans vie ».

Pearltree tiers 1 : Trouble de dépendance à internet Commentaires des différentes ressources Ressource 1: Addictions Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Des dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence. Certaines substances semblent avoir un pouvoir addictif supérieur à d’autres compte tenu de la proportion de personnes dépendantes parmi leurs consommateurs. Part des usagers développant une dépendance à la substance qu'ils consomment. Parmi les jeux vidéo, ceux en réseau sont réputés être les plus addictogènes, particulièrement les jeux de rôle multi-joueurs. Un diagnostic très normé Des conséquences délétères Des mécanismes complexes © Inserm, F.

Ressource 2: Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies a étudié le comportement de 2 000 élèves de 12 à 16 ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo. C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*. Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette. De Candy Crush à World of Warcraft en passant par les Sim’s ou GTA V...le jeu vidéo est pratiqué au moins une fois par semaine par 86 % des élèves interrogés, les garçons étant nettement plus nombreux que les filles. « Négliger d’autres activités pour jouer »

Ressource 3: Une meilleure appréhension du concept de cyberaddiction Ressource 4: Internet : un amplificateur pour les addictions comportementales Au Centre médical Marmottan nous avons développé depuis le début des années 2000 un accueil spécifique pour des personnes en butte à certaines addictions sans drogue. Dans le cadre de cette consultation nous recevons principalement des usagers de jeux vidéo, des joueurs d’argent et de hasard et des usagers de sites pornographiques. Nous adhérons au consensus selon lequel la majorité des personnes s’adonnant à ces pratiques ne sont pas des usagers problématiques. Ces trois groupes de sujets peuvent avoir plusieurs supports d’usage. La pérennité de cette technologie nous convainc que ces usages problématiques ne relèveront pas d’un simple phénomène de mode mais généreront de manière régulière, bien que parcellaire, des formes de difficulté relevant de notre mission d’accompagnement et de soin. Si le recours au réseau Internet constitue le dénominateur commun de ces trois catégories de consultants, ils n’en présentent pas moins des caractéristiques sociales et cliniques propres.

Oui ça fait peur.. Bonne continuation à toi aussi ! by lifshitzperez_groupe1_psy Apr 7

Stupéfiants ces chiffres. Merci pour cette Pearl. Bonne continuation ! by roussel_group4_psy Apr 4

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